Cher ami, cher esthète
Je suis honoré par vos mots empreints d'une élégance inégalée, tout comme votre passion pour les belles choses qui transparaît dans chacune de vos réalisations. Vos perspectives sur le succès de mes activités réchauffent mon cœur comme un bon feu de cheminée dans une froide nuit d'hiver.
Votre récit pittoresque sur les exploits de votre ami ferronnier d'art a égayé ma journée autant qu'il a mis en lumière la diversité des talents artisanaux. Les jeux "bondages" et les accessoires métalliques semblent avoir trouvé leur public, même parmi les âmes bourgeoises et argentées, dont je suppose, je fais aussi partie, quoique modestement.
L'anecdote de votre soirée mouvementée dans le grenier m'a arraché un sourire complice. Ah, les aléas de la vie ! Il semble que même les plus inattendus des imprévus puissent être résolus avec grâce et un peu d'aide extérieure. Je suis ravi que votre compagne ait finalement retrouvé sa liberté, ainsi que votre pouce son intégrité, bien que légèrement blessé dans l'effort.
Et que dire de votre dévouement à contacter l'artisan ferronnier à une heure si tardive ? C'est là un véritable acte d'amour et de désespoir, qui a trouvé sa juste récompense dans la générosité de son intervention et dans le souvenir impérissable qu'il a emporté avec lui.
Je vous souhaite donc, cher ami, cher collègue d’envergure au masculin, un avenir aussi riche en péripéties et en rencontres aussi étonnantes que celles que vous avez partagées avec moi aujourd'hui. Puissiez-vous toujours manier le chibre avec autant d'adresse et de passion, et que vos créations continuent d'embellir le monde qui nous entoure.
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En vous remerciant pour votre confiance et pour cette histoire des plus divertissantes, permettez-moi à mon tour de vous partager une petite anecdote qui, je l'espère, saura vous divertir tout autant je l’espère.
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Nous avons consacré ma petite amie et moi, le samedi passé à une longue promenade dans les magasins et les sehop de Paris. Nous avons fait l’acquisition d’un nouveau godemiché en bois de faible diamètre.
Ensuite, nous avons chiné et trouvé de merveilleuses boules de geisha, l’une en titanium et l’autre en or blanc. Il faut vous dire cher ami que depuis un certain temps qu’elle en avait envie d’une nouvelle paire, lorsqu’elle les introduit dans son sanctuaire intime, l'effet à chaque vibration des billes est des plus délicieux.
Ainsi équipés, nous nous sommes rendus au bistrot le plus proche, je commandais un ristretto pendant que mon amie s’isola pour les glisser en elle, elle connue dès lors une agréable fin d’après-midi.
Nous nous sommes rendus ensuite dans un magasin pour récupérer nos kilt écossais commandés en début Janvier, pour elle un petit mini kilt très audacieux avec un pull en cachemire de chez Loro Piana, pour moi avec mon kilt une chemise blanche et cravate italienne dans le pur style sartorial.
Mon amie était nue dans sa cabine pour les essais lorsqu’elle me fait querir et en profita pour mal se conduire, son sexe vibrant déjà depuis des heures, elle avait un grand mal à se maitriser, chacun de ses mouvements faisant monter le plasir du plus profond d’elle. Elle se jeta sur mon vit et se mit à le palucher tout en me prodiguant une belle fellation, 20 minutes sans épanchement, je finis pas retirer de sa bouche le turgescent pour le remettre dans mon djean car je ne porte jamais de sous vêtement.
Retour à la maison. Je nous prépare un tartare de saint pierre aux fines herbes et coriandre accompagné de gingembre frais.
Après le bain sensuel nous consacrâmes la nuit à des jeux inspirés de pratiques ancestrales, drapée dans son peignoir elle était nue sous le sien alors que j’avais le bas couvert d’une culotte composée de bandes de tissus façon sumotori, et nous jouâmes dans la pénombre. A l’aide d’une bande de tissu, elle se noua ensuite le godemiché à la cheville, contre son talon, le gland de bois tourné vers l’arriere du pied, elle imita ainsi les dames du soleil levant usant de de leur harigata, d’un geste lent de la jambe, ramenant le gros engin en bois conte sa vulve, se caressa et se pénétra.
Je restais là assis sur le fauteuil à admirer le spectacle en sirotant mon jus de goyave au piment d’espolette.
Puis nous nous sommes liés l’un à l’autre par une corde de jute dont nous ne devions pas nous défaire durant l’échauffourée. Vous n’êtes certainement pas sans savoir cher Maître, que de jouer de telles partitions n’est pas sans risque, en particulier celui de s’emberlificoter à tout jamais dans cette fichue corde.
Après 1 heure quarante minutes et trois giclées, elle s’essuya délicatement et en fit autant pour moi en utilisant de minces feuilles de papier qu’elle éparpilla sur le sol en signe de satisfaction, de nombreux papiers éparpillés jonchaient par terre exprimant l’intensité de son plasir
On ne discute pas avec les traditions chez elle.
La nuit se déroula ainsi jusqu’au petit matin.
Avec toute ma gratitude et mon amitié,
Milord
Etudiant
Modifié il y a 8 mois, le lundi 26 février 2024 à 17:55