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Citation de vagab_onder
------il était minuit passé qd dans son lit ses idées noirs lui revenaient ,se retournant sans cesse dans son lit ,elle eu envie de suicide ,de mort ,d emprunter le noir couloir , elle décidait de sortir sous le couvre feu et le confinement ,les rues étaient désertes ,seuls les camions de flics patrouillaient , que cherchait telle? ,,elle eu envie de marcher seule ,que voulait elle ?? elle se disait qu'avec un peu de chance ,un flic la confondrait et lui tirerait dessus elle serait morte ,disparue ,pour elle une aubaine ,enfin libérée ,,
elle marchait le long de la cote déserte ,pas d’âmes vivantes en vue et la nuit était sombre noir ,,les claquetais des vagues lui parvenait a l oreille et l odeur de l iiode fraiche l aidait a marcher ,elle aimait plus que tt de penser ,voir la mer ce merveilleux bleu ,qui jusque la l’aida a supporter la vie ,,,personne ! depuis une heure et demi déja quelle marchait il etait plus de trois heure du matin ,,parvenue a une des criques ,ou petite elle adorait se baigner ,elle décida de faire un crochet et descendait en bas des rochers ,plus bas encore elle voulait recevoir les gouttelettes de la mer en plein visage ,lavant toute sa peine ses regrets et ses remords ,il se faisait très très tard ,elle se sentait si vivante a cet instant précis de la nuit ,bientôt c'est l appel a la prière ,le mouadhine lançait ,la prière del fadjrr ,elle resta longtemps sur ce rocher a se rappeler,,des moments merveilleux de son enfance entre ses frères et sœurs ,son père les avaient gâter ,sur cette même crique ,il eu tant de joies et d' insouciance ,sur ce rocher elle oublia le temps ,,,un bout de soleil pointait bientôt son nez doucereux d'espoir et d'appel a la vie ,,,,une aurore merveilleuse s'afficher a ses yeux annonçant un jour nouveau ,, la priant de reprendre le chemin du retour ----------celui la menant à sa maison
" …il était minuit passé, lorsque dans son lit ses idées noires lui revinrent ; se retournant sans cesse dans son lit, elle eu envie de suicide, de mort, d’emprunter le noir couloir.
Elle décida de sortir malgré le couvre feu et le confinement.
Les rues étaient désertes ; seuls les camions de flics patrouillaient.
Que cherchait telle ? Elle eu envie de marcher seule. Que voulait-elle ? Elle se dit qu'avec un peu de chance, un flic la confondrait et lui tirerait dessus.
Elle serait morte, disparue ; pour elle une aubaine, enfin libérée…
Elle marchait le long de la cote déserte ; pas d’âmes vivantes en vue et la nuit était si noire.
Le claquement des vagues lui parvenait à l oreille et l’o.deur de l’iode fraiche l’aidait à marcher.
Elle aimait plus que tout, de penser, de voir la mer, ce merveilleux bleu qui à présent l’aida à supporter la vie. Personne !
Depuis une heure et demi déjà qu’elle marchait ; il était plus de trois heure du matin.
Parvenue à une des criques où petite elle adorait se baigner, elle décida de faire un crochet et descendit en bas des rochers, et plus bas encore ; elle voulait recevoir les gouttelettes de la mer en plein visage, lavant toute sa peine, ses regrets et ses remords.
Il se faisait très tard ; pourtant elle se sentit si vivante à cet instant si avancé de la nuit.
Bientôt ce serait l’appel à la prière ; le mouadhine lancerait la prière del fadjrr .
Elle resta longtemps sur ce rocher à se rappeler des moments merveilleux de son enfance, entre ses frères et sœurs ; son père les avait gâtés sur cette même crique.
Il y avait eu tant de joies et d'insouciance sur ce rocher.
Elle en oublia le temps ; un bout de soleil pointait déjà son nez doucereux d'espoir et d'appel à la vie.
Une aurore merveilleuse s'afficha à ses yeux, annonçant un jour nouveau ; la priant de reprendre le chemin du retour…celui la menant à sa maison. "
Vagues abondent. Hé !...quel beau texte mêlant de façon touchante le désespoir et l'appel à la vie.
Quel que soit le désespoir, il y a toujours une possible petite lumière à laquelle encore pouvoir accrocher le destin de sa vie.
Son père l’avait fait naître deux fois ; et la deuxième était la plus belle en lui ayant offert la force que peut encore intimer un si beau souvenir.
Maintenant elle savait qu’elle serait plus forte à l’avenir ; emportant à jamais dans l’escarcelle de sa destinée, le contre-déclencheur magnifique à toutes les noirceurs qui viendraient à poindre…le merveilleux souvenir qu’elle conjuguerait toujours au présent.
Modifié il y a 4 ans, le vendredi 19 juin 2020 à 08:07
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Citation de morganna
Une belle histoire, d'une lassitude de la monotonie.
Un trait de la réalité démontrant que l'on peut toujours avoir envie de combler un manque qui se fait rattraper par la réalité.
J'aime l'évasion par l'air de la mer.
toujours aussi belle morganna ,tu ne vieillis point
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Citation de rienousipeu
" …il était minuit passé, lorsque dans son lit ses idées noires lui revinrent ; se retournant sans cesse dans son lit, elle eu envie de suicide, de mort, d’emprunter le noir couloir.
Elle décida de sortir malgré le couvre feu et le confinement.
Les rues étaient désertes ; seuls les camions de flics patrouillaient.
Que cherchait telle ? Elle eu envie de marcher seule. Que voulait-elle ? Elle se dit qu'avec un peu de chance, un flic la confondrait et lui tirerait dessus.
Elle serait morte, disparue ; pour elle une aubaine, enfin libérée…
Elle marchait le long de la cote déserte ; pas d’âmes vivantes en vue et la nuit était si noire.
Le claquement des vagues lui parvenait à l oreille et l’o.deur de l’iode fraiche l’aidait à marcher.
Elle aimait plus que tout, de penser, de voir la mer, ce merveilleux bleu qui à présent l’aida à supporter la vie. Personne !
Depuis une heure et demi déjà qu’elle marchait ; il était plus de trois heure du matin.
Parvenue à une des criques où petite elle adorait se baigner, elle décida de faire un crochet et descendit en bas des rochers, et plus bas encore ; elle voulait recevoir les gouttelettes de la mer en plein visage, lavant toute sa peine, ses regrets et ses remords.
Il se faisait très tard ; pourtant elle se sentit si vivante à cet instant si avancé de la nuit.
Bientôt ce serait l’appel à la prière ; le mouadhine lancerait la prière del fadjrr .
Elle resta longtemps sur ce rocher à se rappeler des moments merveilleux de son enfance, entre ses frères et sœurs ; son père les avait gâtés sur cette même crique.
Il y avait eu tant de joies et d'insouciance sur ce rocher.
Elle en oublia le temps ; un bout de soleil pointait déjà son nez doucereux d'espoir et d'appel à la vie.
Une aurore merveilleuse s'afficha à ses yeux, annonçant un jour nouveau ; la priant de reprendre le chemin du retour…celui la menant à sa maison. "
Vagues abondent. Hé !...quel beau texte mêlant de façon touchante le désespoir et l'appel à la vie.
Quel que soit le désespoir, il y a toujours une possible petite lumière à laquelle encore pouvoir accrocher le destin de sa vie.
Son père l’avait fait naître deux fois ; et la deuxième était la plus belle en lui ayant offert la force que peut encore intimer un si beau souvenir.
Maintenant elle savait qu’elle serait plus forte à l’avenir ; emportant à jamais dans l’escarcelle de sa destinée, le contre-déclencheur magnifique à toutes les noirceurs qui viendraient à poindre…le merveilleux souvenir qu’elle conjuguerait toujours au présent.
bjr
toujours aussi vague et abonde ,elle ne renoncerais pas a son pas ,son tt petit éclat de lumière ,tourbillonne sans cesse autour de ses coins d ombre -------------------------------
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Citation de vagab_onder
toujours aussi belle morganna ,tu ne vieillis point
Je vieillis, je cumule les coups et les heurts,
Je panse pensées et cœur.
Mille mercis, mille baisers
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Citation de sassi55
kwé ?
je manque à Ki --------------sassi ?
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chose promise chose due
je suis revenue avec une seconde histoire ,aussi intrigante que la première,
c'est lhistoire d un petit oiseau ,qui n'est ni voyageur ,ni migrateur mais bien solitaire ,,un jour le petit oiseau que jai aimais nommé,, Albert !
décide de partir en voyage ,un très long voyage , qd le moment arriva ,albert le petit oiseau prit son envole et vola haut ds le ciel , il vola pendant si longtemps que lhiver le rattrapa ,n en pouvant plus de ses ailes si frêles et frileux ,épuisé ,fatigué et gelé il tomba raide mort sur la neige ,,couvert de neige ,un corbeau ,lui chia dessus ,,,réchauffé et bientôt dégelé ,le petit oiseau recommençait a vivre,
vint à passer un Chat ! il remarqua le petit oiseau étendu sur la neige ,,il s'en approcha ,le renifla ,gratta la merde ,le chat trouva le petit oiseau il le manga
moralité de lhistoire dit: il n'est pas toujours ton ennemi celui qui te met ds la merde ,comme il n'est pas forcement ton ami celui qui te fait sortir de la merde
bonne soirée à TOUS
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sassi55 (clôturé)
il y a 4 ans
Citation de vagab_onder
chose promise chose due
je suis revenue avec une seconde histoire ,aussi intrigante que la première,
c'est lhistoire d un petit oiseau ,qui n'est ni voyageur ,ni migrateur mais bien solitaire ,,un jour le petit oiseau que jai aimais nommé,, Albert !
décide de partir en voyage ,un très long voyage , qd le moment arriva ,albert le petit oiseau prit son envole et vola haut ds le ciel , il vola pendant si longtemps que lhiver le rattrapa ,n en pouvant plus de ses ailes si frêles et frileux ,épuisé ,fatigué et gelé il tomba raide mort sur la neige ,,couvert de neige ,un corbeau ,lui chia dessus ,,,réchauffé et bientôt dégelé ,le petit oiseau recommençait a vivre,
vint à passer un Chat ! il remarqua le petit oiseau étendu sur la neige ,,il s'en approcha ,le renifla ,gratta la merde ,le chat trouva le petit oiseau il le manga
moralité de lhistoire dit: il n'est pas toujours ton ennemi celui qui te met ds la merde ,comme il n'est pas forcement ton ami celui qui te fait sortir de la merde
bonne soirée à TOUS
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 21 juin 2020 à 21:25
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Citation de vagab_onder
chose promise chose due
je suis revenue avec une seconde histoire ,aussi intrigante que la première,
c'est lhistoire d un petit oiseau ,qui n'est ni voyageur ,ni migrateur mais bien solitaire ,,un jour le petit oiseau que jai aimais nommé,, Albert !
décide de partir en voyage ,un très long voyage , qd le moment arriva ,albert le petit oiseau prit son envole et vola haut ds le ciel , il vola pendant si longtemps que lhiver le rattrapa ,n en pouvant plus de ses ailes si frêles et frileux ,épuisé ,fatigué et gelé il tomba raide mort sur la neige ,,couvert de neige ,un corbeau ,lui chia dessus ,,,réchauffé et bientôt dégelé ,le petit oiseau recommençait a vivre,
vint à passer un Chat ! il remarqua le petit oiseau étendu sur la neige ,,il s'en approcha ,le renifla ,gratta la merde ,le chat trouva le petit oiseau il le manga
moralité de lhistoire dit: il n'est pas toujours ton ennemi celui qui te met ds la merde ,comme il n'est pas forcement ton ami celui qui te fait sortir de la merde
bonne soirée à TOUS
Dis voir...ça serait dans le style de Lafontaine, ta fable.
Ne pas toujours se méfier de ce que de prime abord on craint, mais parfois se méfier de ce qui parait saint.
Il en va ainsi de cette dualité qu'offre la vie à tout voyageur de l'existence ; le souvent insaisissable d'une certitude, car l'autre, l'alter qui ne l'est pas d'égo, avance quelquefois à visage masqué.
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Citation de rienousipeu
Dis voir...ça serait dans le style de Lafontaine, ta fable.
Ne pas toujours se méfier de ce que de prime abord on craint, mais parfois se méfier de ce qui parait saint.
Il en va ainsi de cette dualité qu'offre la vie à tout voyageur de l'existence ; le souvent insaisissable d'une certitude, car l'autre, l'alter qui ne l'est pas d'égo, avance quelquefois à visage masqué.
Bonsoir
Vs avez de belles repliques et des phrasés inédites ☺
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Citation de vagab_onder
Bonsoir
Vs avez de belles repliques et des phrasés inédites ☺
Bonjour.
Houla, pas facile de rebondir sur un tel compliment.
Faut que je laisse la place au jour et la nuit dans ce qu'ils pourraient dire :
" Il était mi-nuit passée, donc proche de zéro heure, alors que pourtant la nuit n'en étant qu'à sa mi, il devait bien encore et logiquement lui en rester des heures, avant que par partage du temps qui passe, elle ne laisse au jour, son suiveur, le loisir d'en disposer d'un certain nombre d’icelles.
Ces heures, qui filent au presque galop si on compte - pas les heures - mais sur le fait que cavaliers que nous sommes de la monture de la destinée de nos êtres, il nous parait illusoire d’y assoir l’équilibre parfait et surtout, pérenne, de nos désirs.
Et pendant ce temps, elle la nuit et lui le jour, doivent bien se marrer de l’alternative fréquentation très parcellaire dans la durée de nos êtres en leur demeure.
Ils sont même et aussi, deux curieux amants étrangement si complices ; se fréquentant depuis presque toujours par l’immuable alternative de leur prise et de leur fin de rendez-vous ; se sachant si complémentaires l’un de l’autre sans pourtant - pour temps - que cela ne le soit jamais en même temps. "
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toujours un bonjour ds la lumière
qui a dit que la nuit se passer du jour !
et qui a dit que le jour se passer de se plonger ds la nuit !
ils ne ce sont jamais quittés ces deux la ,fidèles a leur vœux éternels ,d"être amoureux pour le pire comme pour le meilleur ,se chevauchant sans cesse ds leur course frénétique ,narguant le temps !!! ce dernier toujours ds son essaie sans relâche les attelant ,en vain !ces deux fidèles continue leur course toujours aussi folle et ds leur rires o éclats ! main ds la main les heures ne comptent pas ,,leur destinée est infinie
Modifié il y a 4 ans, le mardi 23 juin 2020 à 15:58
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Bonsoir
je vois que personne na une histoire pour moi
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Citation de vagab_onder
------il était minuit passé qd dans son lit ses idées noirs lui revenaient ,se retournant sans cesse dans son lit ,elle eu envie de suicide ,de mort ,d emprunter le noir couloir , elle décidait de sortir sous le couvre feu et le confinement ,les rues étaient désertes ,seuls les camions de flics patrouillaient , que cherchait telle? ,,elle eu envie de marcher seule ,que voulait elle ?? elle se disait qu'avec un peu de chance ,un flic la confondrait et lui tirerait dessus elle serait morte ,disparue ,pour elle une aubaine ,enfin libérée ,,
elle marchait le long de la cote déserte ,pas d’âmes vivantes en vue et la nuit était sombre noir ,,les claquetais des vagues lui parvenait a l oreille et l odeur de l iiode fraiche l aidait a marcher ,elle aimait plus que tt de penser ,voir la mer ce merveilleux bleu ,qui jusque la l’aida a supporter la vie ,,,personne ! depuis une heure et demi déja quelle marchait il etait plus de trois heure du matin ,,parvenue a une des criques ,ou petite elle adorait se baigner ,elle décida de faire un crochet et descendait en bas des rochers ,plus bas encore elle voulait recevoir les gouttelettes de la mer en plein visage ,lavant toute sa peine ses regrets et ses remords ,il se faisait très très tard ,elle se sentait si vivante a cet instant précis de la nuit ,bientôt c'est l appel a la prière ,le mouadhine lançait ,la prière del fadjrr ,elle resta longtemps sur ce rocher a se rappeler,,des moments merveilleux de son enfance entre ses frères et sœurs ,son père les avaient gâter ,sur cette même crique ,il eu tant de joies et d' insouciance ,sur ce rocher elle oublia le temps ,,,un bout de soleil pointait bientôt son nez doucereux d'espoir et d'appel a la vie ,,,,une aurore merveilleuse s'afficher a ses yeux annonçant un jour nouveau ,, la priant de reprendre le chemin du retour ----------celui la menant à sa maison
no, it's not bad it 's interesting, write more new stories. keep writing... https://mediabox.buzz/
Modifié il y a 4 ans, le jeudi 2 juillet 2020 à 14:40
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