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- Au bout de la rue étroite des pas perdus, La foulée du vent danse les mots. - l'écho d'un murmure s'emmure dans un silence, Quand le bruit du cœur afflue par la force d'un regard. - Tu étais là chaque matin. - Chaque matin à semer ton parfum aux senteurs de rosées. - Les jonquilles offrent aux junkies l'éclat de leur âme, comme j'enquille l'ombre de ta silhouette. - Ta silhouette qui épouse les courbes des pavés. - Je me retournais sans cesse à toi jusqu'à ce que je heurte le destin. - Inconscient j'étais, tu t'es retournée. - J'étais léger comme l'air que tu me chantais. - On s'est envolés dans un nouvel horizon avant la moisson des corps perdus. - Aussi doux que la caresse d'un baisé. - Aussi doux que la paresse d'un aisé souvenir. - Le souvenir de t'avoir croisé là chaque matin. - Avant que ce matin se réveille enfin. - Afin de pouvoir s'épanouir à nos côtés. - Et bien heureux de s'endormir avec nous dans la somnolence d'une belle journée. - Tel le somnambule funambule attiré par une force invisible. - Nous voici toi et moi, attirés par cette folle envie. - L'envie qui nous a vu naître dans cette rue. Rd
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Salut rloman. Le monde du travail m'appel dans son peuple inconnu. Je dois filer avant que le fil de l'histoire se découd dans un scénario que je ne maîtrise. Mais je suis l'acteur malgré-moi dans cette comédie musicale de ses inconnus. Seuls mes pas sauront les faire danser à mes côtés.
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on ne doit pas s'ennuyer avec toi , quelle imagination!!
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Bonjour Super beau texte Un régal à lire
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occitania (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "davibilitus"- Au bout de la rue étroite des pas perdus, La foulée du vent danse les mots. - l'écho d'un murmure s'emmure dans un silence, Quand le bruit du cœur afflue par la force d'un regard. - Tu étais là chaque matin. - Chaque matin à semer ton parfum aux senteurs de rosées. - Les jonquilles offrent aux junkies l'éclat de leur âme, comme j'enquille l'ombre de ta silhouette. - Ta silhouette qui épouse les courbes des pavés. - Je me retournais sans cesse à toi jusqu'à ce que je heurte le destin. - Inconscient j'étais, tu t'es retournée. - J'étais léger comme l'air que tu me chantais. - On s'est envolés dans un nouvel horizon avant la moisson des corps perdus. - Aussi doux que la caresse d'un baisé. - Aussi doux que la paresse d'un aisé souvenir. - Le souvenir de t'avoir croisé là chaque matin. - Avant que ce matin se réveille enfin. - Afin de pouvoir s'épanouir à nos côtés. - Et bien heureux de s'endormir avec nous dans la somnolence d'une belle journée. - Tel le somnambule funambule attiré par une force invisible. - Nous voici toi et moi, attirés par cette folle envie. - L'envie qui nous a vu naître dans cette rue. Rd bjr David. Soudain , ce joli texte , vient de me faire penser à une chanson de Julien Clerc : "la Fille aux bas nylon" .
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Citation de "davibilitus"- Au bout de la rue étroite des pas perdus, La foulée du vent danse les mots. - l'écho d'un murmure s'emmure dans un silence, Quand le bruit du cœur afflue par la force d'un regard. - Tu étais là chaque matin. - Chaque matin à semer ton parfum aux senteurs de rosées. - Les jonquilles offrent aux junkies l'éclat de leur âme, comme j'enquille l'ombre de ta silhouette. - Ta silhouette qui épouse les courbes des pavés. - Je me retournais sans cesse à toi jusqu'à ce que je heurte le destin. - Inconscient j'étais, tu t'es retournée. - J'étais léger comme l'air que tu me chantais. - On s'est envolés dans un nouvel horizon avant la moisson des corps perdus. - Aussi doux que la caresse d'un baisé. - Aussi doux que la paresse d'un aisé souvenir. - Le souvenir de t'avoir croisé là chaque matin. - Avant que ce matin se réveille enfin. - Afin de pouvoir s'épanouir à nos côtés. - Et bien heureux de s'endormir avec nous dans la somnolence d'une belle journée. - Tel le somnambule funambule attiré par une force invisible. - Nous voici toi et moi, attirés par cette folle envie. - L'envie qui nous a vu naître dans cette rue. Rd hummm !!ça donne des idees !!!!
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