Les médias, décidément aux ordres des directives les plus nauséeuses de la sphère politique osent appeler "fait divers" une expédition criminelle. Une volonté délibérée de tuer à l'arme blanche.
Ces mêmes médias, évidemment dirigés et briffés par différents ministères, osent faire de la récupération politique en affichant :
- Crépol. Du pain béni pour l'extrême droite -
Alors qu'il est flagrant que de véritables expéditions criminelles vont êtres menées contre les petites communes de la France profonde. Avec des assassins venus des cités et dont les origines ne font aucun doute. Qui affirment haut et fort << Je vais planter du blanc ! >>
Prenons nos informations à la source tant que c'est encore possible car les salopards de la politique veulent censurer les réseaux sociaux pour éviter que les vérités ne circulent.
Vous avez raison. Il suffit de savoir qui sont les patrons des médias et savoir qui sont les patrons des institues de sondage pour comprendre. Sur You Tube certains mots sont interdit . Si vous les prononcez, ils vous enlèvent la vidéo et même ils leur arrivent de supprimer votre chaine parce que le mot interdit est dans plusieurs vidéo.
Merci de vos sujets intéressant, le forum reprend des couleurs
Modifié il y a 1 an, le mardi 21 novembre 2023 à 14:05
" Le gouvernement cache les noms des barbares de Crepol
Lorsque le gouvernement cache volontairement les noms des barbares de #Crepol et que la circonstance aggravante de racisme n'est pas retenue dans leurs mises en examen, ça va devenir compliqué de faire confiance à notre justice... #RomansSurIsere "
pic.twitter.com/JCMXEmxUbi
— Arthur de Watrigant (@WatrigantArthur) November 26, 2023
" Ils savaient. Ils savent. Ils savent même très bien. Ils ? Les « celles et ceux » qui nous gouvernent. Idem pour les médias…
Ils savaient. Ils savent. Ils savent même très bien. Ils ? Les « celles et ceux » qui nous gouvernent. Qui nous gouvernent depuis plus de quarante ans, aux doux accents de la social-démocratie ou de la démocratie libérale, interchangeables qu’ils et qu’elles sont. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit, lorsqu’on lit ceci : « Ils sont français, mais pas un seul n’a un nom à consonance française, confie, après coup, ce ministre, en soupirant. Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… Cette affaire traumatise légitimement nos compatriotes. Il faut remettre des règles et de l’ordre, sinon le pays partira à vau-l’eau. » Cela est tiré du Figaro : des propos rapportés par le journaliste Louis Haushalter. « Ils » ? Pour le coup, pas les « celles et ceux » qui nous gouvernent mais les suspects de la razzia meurtrière de Crépol. En marge du Conseil des ministres, nous raconte le quotidien, le ministre de l’Intérieur montre cette liste à l’un de ses collègues qui aurait donc eu cette réaction. Une réaction qui dit tout, révèle tout, résume tout.
Une réaction qui dit la réalité que l’on devine depuis des jours à travers les non-dits, les mal-dits, les trop-dits. Un procureur, aux ordres de la Chancellerie, rappelons-le, obligé de préciser que le principal suspect serait de nationalité française, né de mère française. Pourquoi, aujourd’hui, en France, est-il nécessaire d’apporter d’emblée cette précision ? Du reste, une précision bien maladroite : et le père, du coup, de quelle nationalité est-il ? Des non-dits, mal-dits ou trop-dits qui en disent long. Parce que les Français savent très bien lire entre les lignes : ils ont le décodeur. Si ces suspects avaient été des jeunes issus de la mouvance d’extrême droite, comme on dit, si l’un d’eux avait été le cousin issu de germain par alliance d’un candidat FN en 1985 à une élection cantonale dans la Creuse, pas de doute qu’on ne se serait pas gêné pour nous révéler ce scoop avec, en sus, son prénom et, pourquoi pas, sa généalogie depuis Louis XIV.
La prédiction de Gérard Collomb
Une réaction qui révèle que le pouvoir sait et qu’il a peur. Qu’il a peur que la prédiction de Gérard Collomb se réalise. Ou, plutôt, que cela aille bien au-delà de la prédiction. Jusqu’à maintenant, cette « France des territoires » n’a pas provoqué d’émeutes, n’a pas trouvé son Assa Traoré. Il y a bien eu les gilets jaunes, dont on « fêtait », la semaine dernière, le cinquième anniversaire. Les gueux s’étaient levés contre le coût du carburant et cette dîme des temps modernes qui consiste à payer, à travers des taxes, le droit d’aller travailler à une demi-heure, voire plus, de chez soi. Le sinistre Castaner avait réprimé tout ça comme il se devait et Macron avait terminé le travail à travers une grande séance d’anesthésie collective baptisée « Grand débat national ». Mais cette France ne brûle pas de bagnoles, ne se victimise pas et rentre sagement chez elle après la marche blanche. Jusqu’à quand ? C’est bien là, la grande peur du gouvernement : « Vous verrez ce que ça suscitera dans le pays… », confesse ce ministre. Et puis, en juin prochain, il y a les élections européennes. Si vous voyez ce que je veux dire…
Une réaction qui résume tout. L’échec, le gâchis, le désastre, après des décennies de politiques de la ville, de plans ci, de plans ça, de lutte contre un racisme plus ou moins fantasmé, de politique de l’excuse. Tout ça résumé dans la pitoyable intervention d’Élisabeth Borne, ancienne directrice de cabinet de Ségolène Royal, mercredi au Sénat, nous resservant l’éternelle rengaine que l’on connaît par cœur : « Ce moment appelle à la retenue et à la décence. Utiliser ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes. » L’idée, on l’a bien compris : tout finit par se savoir et « cela » va donc se savoir. Alors, gagnons du temps. Glissons sur l’émotion du moment. Demain sera un autre jour et les Français, vous savez, ont la mémoire courte. Regardez comment ils ont été « résilients » (le grand mot à la mode, depuis une décennie) face aux attentats islamistes. Alors, une « rixe » en marge d’un bal de village, vous pensez-bien… Jusqu’à quand ? "
" Révélation explosive dans l’affaire Thomas : le journal Le Parisien détruit la version d’ « une expédition punitive », la Droite se fâche "
6 décembre 2023
" Réécriture d’un fait-divers tragique qui aura tenu en haleine toute la France pendant plusieurs jours ou présentation objective des faits? Allez savoi! En tout cas, plus d’une semaine après la mort tragique de Thomas à Crépol, une nouvelle version présentée par le média Le Parisien remet l’affaire au devant de la scène médiatique.
En effet, invité sur le plateau de « Quotidien », le journaliste du Parisien Damien Delseny balaise l’hypothèse d’une « expédition punitive » pourtant jusqu’ici vigoureusement défendue par la droite française qui accuse une bande de jeunes des cités d’avoir tué le jeune Thomas à Crépol.
« L’hypothèse d’une expédition punitive, comme elle a pu être présentée au départ, c’est-àire des gens qui se déplacent uniquement pour venir se battre, elle ne correspond pas à la réalité des témoignages et des constatations puisque, c’est ce qu’on explique, il y a également une partie du groupe qui participe à la soirée (au bal) dès 23H00. C’est une constatation d’enquêteurs », dit le journaliste.
« L’hypothèse d’une expédition punitive ne correspond pas à la réalité des témoignages et des constatations » @DamienDelseny, chef du service police justice au Parisien, revient sur les informations nouvelles révélées par son journal sur le drame de Crépol #Quotidien pic.twitter.com/cN2jPMrEYg
— Quotidien (@Qofficiel) December 5, 2023
Une version qui est loin de convaincre la droite française. D’ailleurs, dans un édito au vitriol présenté sur CNews, ce 05 décembre, Pascal Praud, en colère, s’est vertement attaqué au « système ». « Le système, insidieusement, met en place les nouveaux éléments pour expliquer que la mort de Thomas n’est pas celle qu’on a racontée. La réécriture est en marche », s’insurge-t-il.
Sur son compte X (ex-Twitter), Gilbert Collard, proche d’Eric Zemmour, n’a pas, non plus, caché sa grosse déception à la suite de l’enquête du Parisien qui apporte une toute autre version. « Détestable article du Parisien qui commence la réécriture ‘convenable’ du drame de Crepol malgré la réalité des couteaux, doigts coupés, coup de feu, blessures et mort de Thomas, écœurant ! », a-t-il réagi.
Détestable article du Parisien qui commence la réécriture « convenable » du drame de Crepol malgré la réalité des couteaux, doigts coupés, coup de feu, blessures et mort de Thomas, écœurant !https://t.co/pYdqsz2MtS
— Gilbert Collard (@GilbertCollard) December 5, 2023 "
" Italie : Un commerçant est pris en otage par 2 assaillants. Sa fille de 17 ans est ligotée. Ils le menacent avec des armes ainsi que son épouse.
Il se défend et leur tire dessus. Il tue les deux agresseurs.
Il vient d'être condamné à 17 ans de prison "
" Je fais partie d’une génération qui a accueilli à bras ouverts les migrants. Étudiant, je donnais des cours d’alphabétisation pour faciliter l'intégration de nouveaux venus. J'ai fait des pieds et des mains pour accueillir une personne réfugiée pendant la guerre en Serbie et… "
pic.twitter.com/gBjkxiTL0s
— François Ducrocq (@FrancoiDucrocq) December 21, 2023