Citation de brahim2018
Aiiie Aiiie , que le seigneur mets les poils dans les fesses de cette femme , elle est trop vulgaire wlh
AMEEEEEEEEN!
Bon, admettons que cette dame n'ai pas de poils aux fesses, peut-être y êtes-vous pour quelque chose vu quelle vous considère comme rasoir? Mais de là à en appeler au seigneur, faut pas pousser!!! Trop facile! Ses voies sont impénétrables, soit, mais ce n'est pas une raison pour qu'il aille mettre des poils dans celles des autres...
Citation de tedoreillet
Bon, admettons que cette dame n'ai pas de poils aux fesses, peut-être y êtes-vous pour quelque chose vu quelle vous considère comme rasoir? Mais de là à en appeler au seigneur, faut pas pousser!!! Trop facile! Ses voies sont impénétrables, soit, mais ce n'est pas une raison pour qu'il aille mettre des poils dans celles des autres...
"peut-être y êtes-vous pour quelque chose vu quelle vous considère comme rasoir"??
Désolé mais je suis un lécheur des fesses des gentilles femmes et non un rasoir
si j'ai bien compris tu veux pas les poils dans les fesses de cette femme? attend
Seigneur Seigneur fais comme si je ne t'ai rien dit Merci !
Citation de rienousipeu
J'adorais quand j'habitais dans le Sud, me faire cette étape de la Trinité au col du Turini, même et surtout en hiver offrant le contraste de se dire que c'était "chaud" dans les épingles à cheveux.
Et même sans être escarpées et gelées, il y a tant de ses petites routes qui offrent un regard, une réflexion, plusieurs réflexions :
…des images de cette autre vie, loin, parfois pas si loin, presque proche du tumulte de la grande ville.
Des petites routes, juste à coté de l’autoroute, longeant celle-ci parfois, mais tellement différentes par le rythme, tellement différentes par les regards qu’on y croise, par les regards sur l’autre qu’on en a, cet autre qui semble avoir comme suspendu le temps qui passe si vite pour le citadin.
Ah ! Les campagnes, les p’tits villages, les gros bourgs, presque une tit’ ville, qui offrent au voyageur d’un jour une image, une image qui peut être si variée, colorée ou grise.
Suivant les régions, le terroir, le passé économique, industriel, cette ruralité prend bien des aspects.
Elle peut offrir le visage rayonnant d’une campagne fleurie, paisible et lumineuse…des trucs qui renvoient à certains souvenirs de premières vacances quand on était allé passer un mois dans une ferme…c’était l’été…elle était si fraiche…elle sentait si bon…elle s’abandonnait dans la meule de foin, dans l’herbe fraiche à notre étreinte…point de maquillage chez elle, juste quelques brins de paille dans les cheveux qu’on prenait plaisir à ôter un à un, comme un intermède avant d&rsquoer l’embrasser. Ces campagnes ou les gens avec ce qui semblent être des petits riens, prennent encore le temps de vivre.
Et puis, il y a ces campagnes, ces villages, ces p’tites villes qui offrent ce visage si triste, où les maisons, les routes, les gens…tout est gris…gris et triste d’un passé perdu, d’une activité économique s’étant éteinte….même les arbres semblent gris, tristes, comme s’ils voulaient eux aussi participer à l’ambiance…celle où les gens subissent le temps de survivre.
La Nationale 7, c’est tout ça, une sorte de Route 66 chez nous…ça vous traverse des terroirs si différents…des endroits encore rayonnants, des endroits devenus presque déserts depuis que l’autoroute l’a désengorgée, l'a vidée d’une grande partie de son fluide.
C’est un périple que j’aime bien faire de temps en temps…elle vous raconterait presque comme un livre, la vie, l’histoire de gens si différents :
…elle vous montre aussi bien l’image de cette jeune femme sous un beau soleil printanier (bon, je ne roule par que le printemps et je ne regarde pas que les jeunes femmes, c’est pour forcer l’image) s’en allant encore toute joyeuse et pimpante acheter ses œufs frais à la ferme plus loin et son lait cru et encore tiède, ramené dans ce broc en aluminium (on croirait presque le sentir, tellement l’imaginaire vous rappelle à certains souvenirs),
…et, elle vous montre aussi l’image de ce petit bourg accolé entre la route et la montagne ou les maisons si grises n’offrent à leurs habitants comme espace vital que les quelques pauvres pièces aux murs si noirs…derrière il n’y a comme horizon que le rocher accolé à la maison ; et devant, juste séparé par un trottoir défoncé, il y a la route, elle aussi même pas rénovée…alors parfois au détour d’une porte ouverte ou d’un rideau timidement tiré, on y aperçoit le regard si triste et si vague d’un de ces habitants oublié de la vie, du temps, des autres qui passent mais ne le voit pas.
Je délaisse presque toujours les autoroutes, j’aime toujours prendre les routes, les nationales, les ex-nationales, les départementales, jusqu’aux communales…ça vous raconte tellement d’histoires, ça vous raconte tellement les gens, autrement…images souriantes ou parfois tristes, plus ou moins fugitives mais qui peuvent tellement vouloir dire…
Que de souvenirs vous faites resurgir en moi, notamment mon premier été à la campagne, moi un gamin de la ville, de la région parisienne pour être précis. J’allais partir passer mes premières vacances scolaires seul, j’entends par là sans mes parents, chez mes grands-parents, en Vendée, au milieu de nulle part... et j’appréhendais...
Persuadé que j’allais au-devant de moments gâchés par avance, de journées d’un ennui "Iseultesque", parmi des rustres sanguinaires qui ne pensaient qu’à " tuer le cochon", aller à la pêche, à la chasse ou à faire des fêtes mémorables que tout le monde oublierait dès le lendemain, car trop alcoolisé ( fête de la chasse avec ball-trap en option, fête des pêcheurs avec le célèbre concours du même nom, fêtes du village ainsi que toutes celles des autres bourgades avoisinantes...).
Un mois avec des personnes n’ayant que très peu évolué depuis la révolution, proclamant presque encore qu’ils étaient royalistes... vous imaginez... lorsque l’on a que 12 ans et demi ???
Beurk et re-beurk !!!
Maudit Jules Ferry, son école et les vacances qui vont avec... maudits tueurs de cochons, de poules et autres mignonnes bestioles que je ne connaissais que par les images en noir et blanc diffusées sur la télé familiale... qu’est-ce qu’on peut être con à cet âge...
5h de voyage en Renault 10 sur des routes ou ne poussaient que des platanes et des moulins à vent en état de décomposition.
Et puis, il y a eu cette fille à peine plus âgée que moi. Elle, que beaucoup ont pris un malin plaisir à dénigrer quelques années plus tard, prétextant qu’il n’y avait que le train qui n’était pas passé dessus... alors que la première gare se trouvait à près de 100 km....
C’est elle qui m’initia une fin d’après-midi à la traite des vaches. Assise derrière moi ,son torse, ses petits seins d’ado à peine cachés par un T-shirt mouillé suite à nos jeux d’enfants , excroissances pointant contre mon dos, alors que nous étions tous deux assis sur un modeste tabouret de bois, elle prit ma main, mes mains pour être précis, et me fit tenir le pi d’une vache, ses doigts posés sur les miens...
Dans de langoureux mouvements de va-et-vient faisant pression sur le haut et se relâchant sur le bas, elle me permit de comprendre le fonctionnement de la "bête" et ce jusqu’à ce que je tombe du tabouret, seul moment où je pus apprécier son sourire que j’interprétais à l’époque comme amusé et ironique, mais qui s’avérera quelques années plus tard comme étant coquin et enchanteur...
Brrrrr ! 43 ans plus tard, j’en ai encore les poils qui se dressent d’y penser… et il n’y a pas queue.
Vive les petites routes de campagne !!!
Modifié il y a 6 ans, le lundi 19 novembre 2018 à 20:36
Citation de tedoreillet
Bon, admettons que cette dame n'ai pas de poils aux fesses, peut-être y êtes-vous pour quelque chose vu quelle vous considère comme rasoir? Mais de là à en appeler au seigneur, faut pas pousser!!! Trop facile! Ses voies sont impénétrables, soit, mais ce n'est pas une raison pour qu'il aille mettre des poils dans celles des autres...
Citation de tedoreillet
Il faut une certaine dose de courage pour dire en ces lieux que l’on apprécie la fumette, sachant très bien que l’on va au-devant d’une volée de bois vert notamment de la part de certaines bigotes, qui, à les lire, ont toutes les vertus ; "Moi, je ne couche pas, je ne bois pas, je ne me masturbe pas, je suis bio de la tête au pied... " Mais qui fantasme dès qu’un nouveau membre pointe le bout de son nez, ou qu’un nouveau-né pointe le bout de son membre... pour finir par dire qu’elle est harcelée et trop bien pour les ignares qui sont ici...
Loreen, un camé(e) est une pierre précieuse donc aucune honte à avoir…
Mouais...oui je sais pas trop !
Vous avez une drôle de conception du courage ici.
Quoi qu'il en soit je me fiche qu'elle fume le bedo, belle ou moche, qu'elle est des amants ou pas et tout le tralala...
Je pense que les autres forumeurs aussi, Laurine titille, agace et se mêle de tout donc ...la camée est pour certains un moyen de la blesser, j'imagine.
Ici vu que (presque) personne n'a de vie dans réel, tout est grossi, déformé, amplifié, trafiqué, salit..
Citation de tedoreillet
Que de souvenirs vous faites resurgir en moi, notamment mon premier été à la campagne, moi un gamin de la ville, de la région parisienne pour être précis. J’allais partir passer mes premières vacances scolaires seul, j’entends par là sans mes parents, chez mes grands-parents, en Vendée, au milieu de nulle part... et j’appréhendais...
Persuadé que j’allais au-devant de moments gâchés par avance, de journées d’un ennui "Iseultesque", parmi des rustres sanguinaires qui ne pensaient qu’à " tuer le cochon", aller à la pêche, à la chasse ou à faire des fêtes mémorables que tout le monde oublierait dès le lendemain, car trop alcoolisé ( fête de la chasse avec ball-trap en option, fête des pêcheurs avec le célèbre concours du même nom, fêtes du village ainsi que toutes celles des autres bourgades avoisinantes...).
Un mois avec des personnes n’ayant que très peu évolué depuis la révolution, proclamant presque encore qu’ils étaient royalistes... vous imaginez... lorsque l’on a que 12 ans et demi ???
Beurk et re-beurk !!!
Maudit Jules Ferry, son école et les vacances qui vont avec... maudits tueurs de cochons, de poules et autres mignonnes bestioles que je ne connaissais que par les images en noir et blanc diffusées sur la télé familiale... qu’est-ce qu’on peut être con à cet âge...
5h de voyage en Renault 10 sur des routes ou ne poussaient que des platanes et des moulins à vent en état de décomposition.
Et puis, il y a eu cette fille à peine plus âgée que moi. Elle, que beaucoup ont pris un malin plaisir à dénigrer quelques années plus tard, prétextant qu’il n’y avait que le train qui n’était pas passé dessus... alors que la première gare se trouvait à près de 100 km....
C’est elle qui m’initia une fin d’après-midi à la traite des vaches. Assise derrière moi ,son torse, ses petits seins d’ado à peine cachés par un T-shirt mouillé suite à nos jeux d’enfants , excroissances pointant contre mon dos, alors que nous étions tous deux assis sur un modeste tabouret de bois, elle prit ma main, mes mains pour être précis, et me fit tenir le pi d’une vache, ses doigts posés sur les miens...
Dans de langoureux mouvements de va-et-vient faisant pression sur le haut et se relâchant sur le bas, elle me permit de comprendre le fonctionnement de la "bête" et ce jusqu’à ce que je tombe du tabouret, seul moment où je pus apprécier son sourire que j’interprétais à l’époque comme amusé et ironique, mais qui s’avérera quelques années plus tard comme étant coquin et enchanteur...
Brrrrr ! 43 ans plus tard, j’en ai encore les poils qui se dressent d’y penser… et il n’y a pas queue.
Vive les petites routes de campagne !!!
Salut, toi.
J'ai beaucoup aimé, avec cette façon très imagée et fluide que tu as de raconter, ce magistrale renversement d'état émotionnel entre un début si sombre et une suite qui éclaire .
( En aparté ; j'ai même failli dire qui t'as habitée, la fameuse suite ; mais, Shut ! Je laisse à la phonétique similaire se commettant desprogienne, tout le loisir de s'en être avec talent et subtilement amusée. )
Citation de tortue-punk
Mouais...oui je sais pas trop !
Vous avez une drôle de conception du courage ici.
Quoi qu'il en soit je me fiche qu'elle fume le bedo, belle ou moche, qu'elle est des amants ou pas et tout le tralala...
Je pense que les autres forumeurs aussi, Laurine titille, agace et se mêle de tout donc ...la camée est pour certains un moyen de la blesser, j'imagine.
Ici vu que (presque) personne n'a de vie dans réel, tout est grossi, déformé, amplifié, trafiqué, salit..
(presque )Pas de vie dans le réel ici? Ah bon!?
Peut-être faut-il différencier ceux qui répondent jour et nuit et ceux qui ne le font qu'en soirée la semaine, ou la journée pour les plus chanceux dotés de divers moyens de communication "pro" et qui profitent de leur pauses pour se détendre.