Lorsque nous nous promenons dans la nature, dans la campagne ou au bord de la rivière, nous aimons pratiquer nos petits "rituels". Ils sont comme autant d'habitudes très sympathiques qui nous amusent beaucoup. Oui, nos rituels pisseux nous font bien rire. Et c'est lorsqu'elle tient ma bite pour en diriger les jets contre le mur, quand elle rit, qu'elle nous éclabousse les chaussures. Parfois mon pantalon.
C'est le mur de l'ancien lavoir. Elle adore diriger mes jets pour faire de petits dessins très rigolos. Parfois, elle réussi à dessiner des bonhommes. C'est rigolo. Nous prenons à chaque fois une belle photo de nos réalisations. C'est lorsqu'elle secoue délicatement les dernières gouttes, que les risques d'éclaboussures sont les plus fréquents. Il faut nous voir rigoler comme des bossus quand ça gicle n'importe comment.
Dimanche dernier nous nous sommes fait surprendre en pleine création artistique par deux bonnes femmes qui se baladaient. Il y a très rarement des gens qui passent par ici. Les deux promeneuses, une quinquagénaire et une plus jeune, environ la trentaine. Peut-être sa fille. Elles nous lancent un de ces regards incendiaires, chargés de ce courroux viscéral des femmes divorcées, seules, qui ont raté leur vie amoureuse.
Ma compagne, qui aime beaucoup mettre ce genre de vieilles pouffes mal à l'aise, leurs lance un : << Bonjour mesdames ! >>. La plus vieille, acariâtre, frustrée et pleine de rictus, ne répond pas. La plus jeune, probablement envieuse de nos jeux, de notre complicité amoureuse, répond par un : << Bonjour ! >> . Un bonjour timide mais sonore. Bien évidemment, nous ne bougeons pas. Les deux pouffes ne peuvent que deviner ce qui se passe.
C'est en constatant la tache, cette création murale de toute beauté, que les deux promeneuses ont confirmation de ce qu'elles supputent. Je lâche d'ailleurs une des dernières giclées. Ma compagne, sans perdre son sens artistique, en profite pour réaliser la finition de la gauche du personnage. C'est magnifique. Aussi, espiègle et mutine comme à son habitude, elle demande à la moins conne : << C'est beau non ! Vous ne trouvez pas ! >>.
L'autre, la vieille frustrée saisit alors sa collègue par le bras. << Viens, on y va ! >> dit elle en l'entraînant sans lui laisser la possibilité d'admirer notre œuvre. Dommage. Les coquines qui s'intéressent à nos créations sont souvent très sympathiques. Elles désirent forcément faire connaissance avec d'authentiques artistes qui exercent leurs talents en plein air. Pour éviter qu'elles ne puissent voir ma queue, je reste contre le mur. Je bande mou. Bite mollasse mais déjà ferme.
Quand je bande mou, il est beaucoup plus facile de contrôler les jets. J'en lâche plusieurs. Autant que ma compagne en a besoin pour réaliser sa fresque murale. Bien secoué, les dernières gouttes tombées, je peux remballer mon chibre sans risquer de coulures inopinées au fond de mon slip. Ma compagne prend la photo. La lectrice passionnée, le lecteur extasié trouveront ci-dessous une de nos magnifiques dernières compositions. Non. Elle n'est pas à vendre. Nous comptons organiser une exposition au printemps. Il y aura plus d'une centaine de Chef-d'œuvres.
Maître Robert - (Hédoniste mondain)
Nous présentons ci-dessus une des merveilleuses œuvres à chaque fois unique que nous réalisons en plein air...
Toujours soucieux de ne pas laisser les gens dans des considérations autres que les miennes, j'offre ici, à mes fidèles admiratrices, à mes amis lecteurs, une de nos dernières œuvres.
Ne me remerciez pas, c'est tout naturel entre amis chers...
Citation de mr.robert
Toujours soucieux de ne pas laisser les gens dans des considérations autres que les miennes, j'offre ici, à mes fidèles admiratrices, à mes amis lecteurs, une de nos dernières œuvres.
Ne me remerciez pas, c'est tout naturel entre amis chers...
j'adore ce que tu écris , je ne me lasse pas de te lire , ailleurs aussi , j'ai suivi ton conseil , j'ai crée un post dans l'érotisme au bout des doigts et du reste ,
une petite participation en musique , je n'ai pas ton talent , mais Chelon , il l'à
Citation de libertana
j'adore ce que tu écris , je ne me lasse pas de te lire , ailleurs aussi , j'ai suivi ton conseil , j'ai crée un post dans l'érotisme au bout des doigts et du reste ,
une petite participation en musique , je n'ai pas ton talent , mais Chelon , il l'à
je suis aussi un fidèle de l'Ailleurs dont parle Liber
Citation de libertana
j'adore ce que tu écris , je ne me lasse pas de te lire , ailleurs aussi , j'ai suivi ton conseil , j'ai crée un post dans l'érotisme au bout des doigts et du reste ,
une petite participation en musique , je n'ai pas ton talent , mais Chelon , il l'à
Chère "libertine"
Bientôt, dans "l'ailleurs", je te contacterai par messagerie privée. Rassure-toi. Ce sera purement "littéraire". Nous pourrons partager quelques impressions, quelques ressentis quand à ce qui nous interpelle. Mais tu peux très bien m'y contacter. Dans cet "ailleurs", nul besoin de se prémunir des malfaisants.
Ici, sur ce forum, j'ai supprimé volontairement la fonction "Messagerie Privée". J'en avais assez d'être sollicité, de recevoir jusqu'à cinq demandes de contacts par jour. D'être harcelé par des brouteurs aux pseudos féminins.
D'ici là, je prends plaisir à lire tes interventions ici. J'espère te découvrir "ailleurs"...
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Cordialement
pour ma part je ne me permettrai pas de te contacter ailleurs en MP sans ton autorisation préalable
Bientôt, dans "l'ailleurs", je te contacterai par messagerie privée. Rassure-toi. Ce sera purement "littéraire". Nous pourrons partager quelques impressions, quelques ressentis quand à ce qui nous interpelle. Mais tu peux très bien m'y contacter. Dans cet "ailleurs", nul besoin de se prémunir des malfaisants.
Ici, sur ce forum, j'ai supprimé volontairement la fonction "Messagerie Privée". J'en avais assez d'être sollicité, de recevoir jusqu'à cinq demandes de contacts par jour. D'être harcelé par des brouteurs aux pseudos féminins.
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Cordialement
ok , ça marche je te laisserai de ma plume avec grand plaisir
Avant que je m'en aille
A la vaille que vaille
Avant qu'une bataille
Me couche loin de toi
Avec beaucoup de joie
Et beaucoup de tendresse
Je veux mourir d'ivresse
Une dernière fois
Je veux à contre-crasse
Garder sur moi les traces
Les traces de tes doigts
De nos étreintes, de nos ébats
Je veux sentir ton corps
Longtemps encore au creux de moi
Je veux que des combats
Aient le murmure de ta voix
Je veux quand l'heure viendra
Qu'un peu de toi parte avec moi
Avant qu'aux quatre dunes
Le soleil m'entremêle
Et le vent m'écartèle
Je veux avoir de toi
Celui qui restera
Quand après les prières
Tu m'auras mis sous terre
Une seconde fois
Je veux à contre-guerre
Laisser sur cette terre
Le fruit de nos ébats
Un peu de moi
Beaucoup de toi
Un autre qui sera
Ce que je ne deviendrai pas
Je veux quand l'heure viendra
Qu'un peu de moi
Reste avec toi
Et que mon dernier cri
Soit le murmure de sa vie