Ce texte que je viens d'écrire, si on l'analyse, on peut se dire qu'il évoque le fait de ne pas se sentir prisonnier d'un confinement obligé (vous noterez la nuance entre imposé et le choix d'avoir mis, obligé) et de s'en servir pour faire quelque chose et aussi penser.
Mais on peut dire aussi, qu'il relève d'un certain égoïsme ; vous ne trouvez-pas ? Parce-que, en ce qui me concerne et personnellement, je le pense.
Citation de alice-2
Dommage, c'est pourtant joli, Guantanamo
Joli ?
Quand tu seras prête à me rouler le cigare sur l'une ou l'autre de tes cuisses ou dessous tes aisselles façon "kloug", fais-moi signe. Je te parlerais alors de ce qui est joli ou pas - et même, je te ferais un dessin avec un doigt comme dans de la crème chantilly ou de la purée, mais en attendant...
Je consens à te répondre, mais c'est juste bien parce que t'es con comme une bite et que ça me fait plaisir de parler avec une tête de nœud comme la tienne. Ceci dit sans animosité aucune.
Citation de onenri
L'Avenir de l'Humanité repose sur tes frêles épaules Marcel !
Nous t'abandonnons tous, pour nous entasser dans l'incinérateur, cendres qui s'éparpilleront au gré de nos humeurs.
Sauf Une !
Que nous avons choisie, qui sera ta Ève.
Surprise... :)))
Ma Ève ?
Mon rêve !
Et mon cauchemar...
(qui ne va pas tarder à répliquer telle une secousse sismique et/ou tellurique, à la façon dont certains vieux prouts se croient obligés d'ajouter toujours quelque relent nauséeux à leur inodore silence)
Pour ma part, pas besoin de te voir, ni de t'entendre pour me rappeler que tu existes.
Tu existes même encore bel et bien, car on sent que l'être n'est pas mort psychologiquement ; c'est à dire qu'au delà du souffle ventilant encore les alvéoles pulmonaires, il y a l'autre de souffle ; celui qui ventile une certaine lucidité qui se veut ne pas s'arrêter d'être toujours en quête de l'autre ; et pas une quête de simplement circonstance facile, mais une quête qui tente d'aller plus droit au but d'une certaine difficulté...à la fois provoquer l'autre dans sa possible léthargie et lui signifier qu'on a conscience aussi qu'il existe.
EDIT :
Je m'aperçois que j'ai oublié du coup de répondre à ton interrogation concernant...comment on vit la Chose.
Et bien, de cette problématique, j'essaie d'en évacuer un certaine partie en m'occupant ; par exemple, étant du genre procrastinateur, à faire différentes chose et travaux chez moi que j'ai délaissé. Et puis, si confinement devait encore durer bien au delà de 3 à 4 semaines, je vais me programmer pour arrêter de fumer...manière d'échanger une contrainte contre quelque chose de positif.
L'autre.
Qu'est-ce ? Sinon soi-même.
Un étranger que l'on connaît si bien que lorsqu'on le rencontre, on change de trottoir. Et de crottoir. Sachant trop bien à quoi s'en tenir et à quoi ne pouvoir se retenir. Je suis croyant, j'ai foi, mais hormis moi je ne vois pas...
À avoir trop d'amour pour l'Humanité ne mène finalement qu'à finir par la haïr.
Citation de schnockdu
Exemple type de l'homo conardus viral.
Dangereusement mortel et ennuyeux, pour ne pas dire fâcheux, avec une certaine tendance à se répandre exponentiellement de post en post à la vitesse d'un pet.
Précaution à prendre avant de lui répondre, un masque et des gants !
lol...
tu sais combien..
je porte l’extrême droite dans mon cœur...
sourire..
m’étonne pas à ce que tu me con sidères..
comme un pestiféré..
ce qui m'étonne...
c'est que croire que chier sans arrêt..
dans la position...
du penseur de Rodin...
pourrait te donner une légitimité quelconque..
mdr face à l'intox..
sourire..
Modifié il y a 4 ans, le dimanche 22 mars 2020 à 23:17
Citation de schnockdu
Je consens à te répondre, mais c'est juste bien parce que t'es con comme une bite et que ça me fait plaisir de parler avec une tête de nœud comme la tienne. Ceci dit sans animosité aucune.
Il est revenu constipé notre petit faurisson smalien.....
Il est à craindre qu'après la sérénité dont parle RIENOUSIPEU ne vienne le temps de l'ennui et du tournage en rond allant jusqu'au pétage de plomb, voire la folie. Le confinement peut rendre fou. Est-ce le but ?
Le réveil va nous être difficile...
Et douloureux !
Citation de schnockdu
Il est à craindre qu'après la sérénité dont parle RIENOUSIPEU ne vienne le temps de l'ennui et du tournage en rond allant jusqu'au pétage de plomb, voire la folie. Le confinement peut rendre fou. Est-ce le but ?
Le réveil va nous être difficile...
Et douloureux !
Une fois de plus dans l'excès Marcel... :)
Rendre fou un but ?
Je penserais plutôt que ce confinement, dès qu'il cessera, va générer une telle liesse que le gouvernement pourra agir à sa guise, en catimini quoique...
Rien n'est effacé, des revendications pré-virus, de l'aveuglement et du manque de réaction de ce gouvernement face au virus, ni d'une crise économique probable...
En laquelle ils vont tenter de serrer l'étau... :)
Citation de rienousipeu
Ce texte que je viens d'écrire, si on l'analyse, on peut se dire qu'il évoque le fait de ne pas se sentir prisonnier d'un confinement obligé (vous noterez la nuance entre imposé et le choix d'avoir mis, obligé) et de s'en servir pour faire quelque chose et aussi penser.
Mais on peut dire aussi, qu'il relève d'un certain égoïsme ; vous ne trouvez-pas ? Parce-que, en ce qui me concerne et personnellement, je le pense.
Peut-être faut-il le mettre à profit pour une intropection ? :)
Citation de schnockdu
En cette période historico-hystérique, comment ça s'passe pour toi ?
Pour vous...
Historico-hystérique ?
Nous n'en sommes pas encore là.
Peu avant le confinement, j'ai quitté Paris pour rentrer chez moi, à moto, alors qu'il pleuvait, ventait, neigeait, grêlait...
200 km qui furent une épreuve alors que j'aurais pu attendre quelques jours.
L'impulsion était de rentrer chez moi.
J'aurais pu attendre deux jours.
Je suis arrivé gelé parce que le carénage de la moto n'a aucun effet sur un vent de travers à 90 km/heure.
En claquant des dents dès que je me suis arrêté. :)
Une longue douche, un thé brûlant et un petit Dominicain dans mon fauteuil préféré...
J'ai souffert.
C'était mon choix.
Par contre ?
Cette "pandémie" ?
M'inquiète.
Parce que ce n'est plus mon choix, parce que je suis "confiné", ce que vis, après une semaine, sans trop de dommage mais ?
Parce que je réalise, ou pas, parce que lecteur de science-fiction dans les années 70, je n'ai jamais exclu ce genre d'épisode dans l'histoire de l'humanité, nous serons de plus en plus confrontés à ces microbes, bactéries et virus qui émergent au fil des temps.
Ce me semble être dans l'ordre des choses, du réchauffement climatique, de la promiscuité générée par la facilité de voyager, de consommer exotique...
Aussi parce que l'on en fait, en dehors de l'aspect sanitaire, l'alimentation des médias, une autre forme de "pandémie".
Lorsqu'on voit, en cette période de confinement, un journaliste aller interviewer un boulanger ou autre, lui tendant un micro à 40 cm du visage, on se demande où est la réalité ?
Lorsqu'on réalise qu'un gouvernement, alerté parce qui se passe "ailleurs", fait preuve de dénie et d'inertie ?
Que certains habitants des grandes villes et banlieues ne respectent rien ?
Que la police, avant de faire de la prévention, a "rentré" un demi-million d'Euros d'amendes en 24 heures ?
Que cette même police déclare, à Lille, que la moitié des appels sont de la délation :
"Mes voisins ont reçu des invités hier." !
Cette "pandémie" m'interpelle donc sur un plan social mais également pour l'avenir de l'humanité, de mes enfants, petit-enfant et de cette belle terre... :)
(qui ne va pas tarder à répliquer telle une secousse sismique et/ou tellurique, à la façon dont certains vieux prouts se croient obligés d'ajouter toujours quelque relent nauséeux à leur inodore silence)