blonq

Oh mon amie

il y a 5 ans
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blonq il y a 5 ans

Un lit rond couvert d'un drap de satin rouge tendu dans le léger courant-d'air de deux portes entre-ouvertes, tu es là ; allongée nue te caressant machinalement l'entre- jambe .

Du bout des doigts, je frôle ton épaule, glisse sous ton aisselle, te chatouille ce qui te fait rire, nous jouons, nous nous taquinons, entre câlineries et baisers enflammés… nous nous roulons sur le lit, l’un sur l’autre, nos mains se cherchent, nos corps se redécouvrent, se recouvrent avec passion . Je goutte tes fruits divins et suaves, je les aime, tu sais oh combien je les aime chaque fois que tu me les offres amoureusement et même quand je te les dérobe.

Telle une plume je descend ma menotte le long de ton flanc, surprise tu me pousses un peu et …. Boum à terre je suis. Tu es pliée de rires, tu me tends la main à laquelle je donne un baiser et me dirige à genoux vers le pied du lit.
Je prends ton pied à deux mains, le porte vers mes lèvres le couvre de baisers depuis le gros orteil que j’avais en bouche, jusque ta cheville en le caressant comme un petit chat. Des frissons parcourent ta cuisse, je les suis de la langue jusque tes mollets dont la peau douce frémis. Soulevant ta jambe, j’en mordille le dessous, en la frôlant du dos de la main telle une plume. Ma bouche poursuit son chemin vers le galbe de ta fesse soyeuse. Très sensible à mon geste tu t’ouvres un peu plus, laissant mes doigts te caresser et contourner ton sexe déjà bien en feu pour remonter sur ton pubis. Y poser ma joue, mon oreille comme pour écouter, détecter peut-être le battement d’un tout petit cœur, d’un petit enfant que nous aurions préconçu lors de nos nuits de furie, d’amour tendre, de volupté, de joie magique ma douce fée des bois, douce princesse à mon cœur. Mais tu as deviné ma recherche, une larme de joie perle de tes yeux, et puis tu souris heureuse…. Belle amie. Je t’aime plus que tout. De baisers en câlins je me glisse vers ton nombril comme s’il m’était inconnu ; Combien d’heures l’ais-je pourtant massé contre le mien en te limant à faire fondre mon outil ! A le tourmenter de mes coups de reins.
Oh ma déesse, laisse-moi l’aimer encore et encore du bout de la langue, l’aspirer comme un autre téton, le contourner du bout des ongles, le chatouiller, l’irriter, le titiller. Le pincer entre le bout de mes pouces, paumes des mains sur ton ventre, que je masse à petites doses jusque la base de tes seins en les écartant pour descendre jusque tes hanches, pour revenir vers le premier parcours , celui qui conduit à ton cœur. Mes lèvres ouvertes s’y appliquent comme des sensues, remontent, vont viennent, redécouvrent ce paysage pourtant très connu où de chaudes larmes blanches ont ruisselé trop souvent. Sensuel décor de nos batailles, de nos amours, de nos passions, de nos fusions, toujours ouvert à d’autres assauts, à vibrer à la cadence du bélier se débattant absorbé dans un de tes antres sacrés. Combien de secrets pourra t’il encore garder ? Comment fait-il pour nous supporter ; nous amants très souvent pris dans des tornades incontrôlables, des orages violents de plaisirs, de jouissances, d’orgasmes sans fin… . Comment n’est-il pas grisé de nos faiblesses, de nos forces, de notre démence, de notre diablesse, de notre folie furieuse ! Tel un terrain de jeu s’ouvrant indéfiniment à nos ébats….

Modifié il y a 5 ans, le dimanche 21 juillet 2019 à 22:53

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morganna il y a 5 ans

Jolie idée, toute en tendresse et légèreté.
On y sent la complicité et le sourire.
Que c'est beau l'amour



Bisou bonjour bel homme (k)

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blonq il y a 5 ans

Citation de morganna Jolie idée, toute en tendresse et légèreté.
On y sent la complicité et le sourire.
Que c'est beau l'amour



Bisou bonjour bel homme (k)


Bonjour douce muse

Me suis rappelé nos nuits de folies .


Bisous bisous bisous .
Merci pour le com.

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blonq il y a 5 ans

Citation de morganna Jolie idée, toute en tendresse et légèreté.
On y sent la complicité et le sourire.
Que c'est beau l'amour



Bisou bonjour bel homme (k)


Bonjour belle amie.


As tu encore encore en mémoire cette journée qui fut témoin de notre première fois à Paris ?


Une semaine de vacances à Paris, en visitant la Rue aux Fleurs je te remarque avec un rafraîchissement à la terrasse d’un bistro. Directement nos yeux se croisent, tu me souris.
Instinctivement je me dirige vers toi.

> Bonjour, puis- je profiter un peu de votre compagnie, et vous offrir une autre collation ?
Après avoir accepté ma demande, nous discutons de tout et de rien, comme dans ces cas …

Finalement tu en viens un peu aux aléas et anecdotes de ta vie en te décriant comme une fille ayant une vie toute a fait normale, bien rangée, travailleuse et discrète… aimant la nature le calme et la fraîcheur des forets. Alors à chaque occasion tu gagnes cet antre de douceurs.


Mais entre temps, nos échanges devinrent de plus amicaux, la douceur planait, la tendresse n’était pas loin. Suit un échange de n°s de phone et adresses, je te frôlais la main sentant déjà que tu apprécias mon geste banal….

Il n’est pas bien tard et nous avons un petit creux. L’idée me prit de t’inviter à dîner dans un resto/bateau sur la Seine.

Une heure plus tard, nous prenons l’apéro blottis l’un contre l’autre.

Tout le trajet en voiture, on s’échange quelques peu notre parcours de vie, nos journées, nos amours, nos rencontres sans lendemain. Tu sembles me faire comprendre que tu es très discrète et réservée et que des aventures, tu n’en pas connu beaucoup.

Que c’est après- midi tu as aimé ma manière de faire connaissance et je t’ai complimentée en retour à te faire rougir un peu. Tu me dis que ce fut le coup de foudre pour toi, que tu m’aimes et me veux toute la nuit dans tes bras…. Je reste muet en te souriant. Tu me prends la main dans les tiennes, la caresse sage, très sagement, avec tendresse. Et la pose sur ta cuisse, jusqu’à notre arrivée au bateau.

A peine assis, je me reproche de ne pas t’avoir complimentée sur ta robe magnifique. M’en excuses te dis que tu es vraiment radieuse sous cet éclairage de nuit tombante et t’embrasse dans le cou. Tu apprécies ce long baiser. Je t’explique que j’ai choisi ce resto pour ses menus très spéciaux, réservés aux couples qui veulent un peu de stimulant pour s’aimer vraiment fort toute une nuit et plus encore. Tu me regardes en souriant un peu étonnée…..sans trop comprendre où je veux en venir. Me faisant entièrement confiance.

Le personnel s’avance avec les programmes de la soirée, nos visites sur la rivière et cartes boissons, en nous ventant déjà leurs spécialités du moment. C'est-à;-dire qu’il s’agit de bouchées et quelques plats légers. De commun accord, nous lui laissons toutes libertés quand au repas, et l’informons que nous nous limitons aux boissons sans alcool après l’apéro.


Apéro qui fut simplement un Baciami subito, mélange de vodka noire, purée de pêche et ingrédients spécialité maison, comme dans tout le repas. Secret du chef….A demi vide, il te gagne du pétillant dans le regard, accentue ton sourire et te donne un peu de rosé aux joues. Tu poses la tête sur mon épaule, tu es merveilleusement bien.

Les plats se suivent tout naturellement, tu commentes le paysage qui défile, tes souvenirs de jeunes filles, tes moments un peu plus chauds avec elles, tu me confies tes nuits de folies dans leurs bras quand tu étais en pension… je pose ma main sur ta jambe, doigts tournés vers l’intérieur de ta cuisse, remuant quelque peu, tu la presses de la tienne. Nous dégustons lentement en savourant ce succulent repas. Agrémenté de cocktails de fruits.


Les premières bouchées avalées, la chaleur gagne ton entre- jambe ….tu me dis ; chéri, que c’est bon. Je pousse ma main vers le haut de tes cuisses, tu la couvres de ton sac pour rester discrets, bien que les autres invités plus échauffés ne se gênaient nullement pour se caresser entre eux. Et te souffle à l’oreille, pose le sur la table, c’est normal ici.

Chaque bouchée avalée fait monter en toi un besoin de plus en plus fort, ....
Tu te tournes vers moi prends ma main et la glisse sur ton sein en me disant, chéri dans la voiture, je t’ai un peu raconter n'importe quoi, je ne suis pas une fille réservée ni discrète mais une cochonne, une vraie salope, j'ai tout le temps envie de baiser. Je ne sais ce que sont ces aliments, mais j'ai le feu dans la chatte, le ventre qui se tord d’envie, les seins durs comme la pierre et les tétons plus encore. Mon amour, prends moi, baises moi ici sur la table tout de suite ou j'appelle un serveur ...j’ai trop envie, çà me fait mal entre les cuisses.

 Viens suis-moi par là !

Évidemment le resto a prévu de pareilles réactions de la part de ses clients ..... Une loupiote dans un coin, une table basse, des fauteuils….
Je te tourne face contre le mur.. et te plaque les mains contre la cloison comme pour une fouille au corps. Tu obéis. Sans un mot, je me mets à parcourir ton corps de mes mains. Tu es comme folle, sentant mes caresses sur ta robe, je frôle tes seins, ton ventre, tes cuisses. Ma main remonte vers ta culotte. Tu essaies de te retourner, mais d'un geste autoritaire, je te force à rester contre le mur. Mes doigts dégrafent ta robe, qui se boutonne derrière Tu es dans une attente folle, le fait de me livrer à toi parmi des inconnus, quelqu'un dont je ne sais presque rien, augmente mon désir. Mes mains s'emparent de tes seins, aux pointes dressées. Tu gémis doucement sous mes caresses, tout en pressant mon corps contre le tien. Tu mets la tête en arrière, mes lèvres glissent dans ton cou. Nos parfums se mélangent. Tu te retournes un peu, pour que ma bouche prenne la tienne. Nos langues se mélangent. Tu sens ta chatte se mouiller de désir. Puis je te plaque à nouveau contre le mur. Mes mains remontent le long de tes jambes, elles vont jusqu'à ta culotte, qu’elles baissent sur tes cuisses. Tes fesses sont nues, J’ai remonté ta robe au dessus pour les mater. Tu es dans une position totalement indécente, certainement sous les yeux d'inconnus... tu as honte mais tu aimes ça. Tu as une envie folle de prendre mon sexe dans tes mains, mais je t’en empêche. Mes mains glissent le long de tes jambes et remontent vers ton sexe humide. Tu gémis de plus belle, tu es au bord de l'extase, tandis que mes doigts s'emparent de ta chatte. Elle est trempée. Je caresse ton pubis et glisse subitement dans ta fente humide un doigt qui s'enfonce tout seul. Tu pousses un gémissement plus fort, sentant le désir monter d'un cran Mon doigt s'active, entrant et sortant de ta fente. Tu es en carence avec tous ces aphrodisiaques absorbés ce soir, tu as envie d’être défoncée. Je le sens et m'empare maintenant de ton sexe avec deux doigts, qui vont et qui viennent, te procurant un plaisir inouï. Je te gode, tu tends tes fesses en arrière pour m'exciter. Tu sens l’orgasme monter, et essaies de te retenir, mais une vague te submerge et tu exploses, tandis que j’ai glissé trois doigts en même temps. Tu jouis en étouffant tes cris, pour ne pas te faire entendre à l’assistance entière du resto, ton corps tremblant sous le plaisir immense. Je m'arrête alors, retire mes doigts plein de mouille et j’ai ce geste qui t'excite sans savoir pourquoi: je les essuie sur tes cuisses. Puis je descends la braguette de mon pantalon. Tu sens alors mon sexe dur et chaud contre la raie de tes fesses; Tu as envie d’être pénétrée. Mais je te retourne. Tu vois mon Jack dressé par le désir. Tu le regardes. Mon impassibilité te rend folle. Je mets alors ma main sur tes cheveux et pousse ta tête en direction de mon gland. Tu t'agenouilles devant moi et tu prends mon sexe dans la bouche. Tout doucement pour faire monter le désir. Ta langue joue avec ton bout, qui secrète un liquide que tu connais bien. Puis tu te retires, me lèche encore, de bas en haut. Quand ta langue arrive vers le gland, je suis au bord de l'extase. Je prends alors ta tête à deux mains et "t'oblige" à me sucer. Tu t'actives, serrant le plus possible tes lèvres pour que le plaisir soit au maximum. Mon sexe va et vient dans ta bouche au rythme qu'il impose, en guidant ta tête avec mes mains. J’accélère le mouvement et te pousse vers la table basse où tu poses les mains. Enfin, mon ami se faufile dans ta chatte inondée, il va tout au fond chercher en toi cette jouissance qui recommence à gronder entre tes reins, je te pistonne sans relâche, tu cries, les gens sourient dans la salle, ils on compris nos activités. La robe pliée sur le dos, j’emprisonne tes tétons et pompe en toi à te faire défaillir, tes genoux tremblent, enfin un immense orgasme t’envahi à nouveau, tu en avais vraiment besoin. Mais non calmée tu vas et viens encore sur ma queue, tu diriges toi-même ta jouissance, ma jouissance, et me dis viens en moi. J’éclate finalement, me répand en une multitude de jets brûlants… Tu reprends tes esprits, refais un minimum de maquillage devant ce petit miroir et, croisant des curieuses échauffées par le spectacle, nous regagnons notre repas

Tu es heureuse, gaie, belle, merveilleusement belle,
Quand ton corps à fait l’amour encore.

Au final, une mousse au chocolat, boule de glace à la vanille surplombée d’une fraise le tout accompagné d’une coupe de champagne. Nous cuillères se mélangent, ta fraise entre les lèvres tu me les offres, nous jouons comme des amoureux.

Le bateau arrive au port et nous quittons les lieux.


La nuit ne fait que commencer.

Nous regagnons la voiture où je te propose un petit streap-tease au Secret Square, joli resto à la mode.


A suivre…. ( un extrait de l.histoire reprise en 42 pages )

Modifié il y a 5 ans, le lundi 22 juillet 2019 à 13:30

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morganna il y a 5 ans

Au creux de la nuit caressée par la douce lumière opalescente d'une lune insolente, les maisons ronronnantes s'endorment au chant des cigales qui chantent la sérénade aux amoureux.
Derrière les fenêtres aux lourds rideaux qui obligent les volets à rester ouverts, s'offre au regard céleste la valse des corps qui se joignent et se rejoignent, pareils à des ombres en demande.
Allongées sur des draps de satin, les courbes généreuses se découpent, rondes et pleines, charnues, appétissantes comme des fruits qui se seraient gavés de soleil.
Douce est la peau qui se dévoile au tombé délicat d'une robe de soie. L'épaule dorée appelle à la douceur du baiser, au passage furtif d'une langue qui s'aventure dans le cou délicat d'un cygne qui se pâme.
Chaude est l'odeur du torse qui se couche dessus la douceur, acceptant la caresse dans son dos , dessinant les muscles qui se louvoyent.
Appétissantes sont les lèvres, rouges comme des cerises, délicieusement dessinées entre ces joues rosées. Un battement de cils sur les yeux étincelants et le coeur n'y tient plus, gobant langue et bouche, l'un se rapproche de l'autre. Ensuite descendent les mains, s'entrecroisent les doigts, se défont les les corps, s'offrent, s'observent, se découvrent les amoureux.Hardiesse d'une langue aventurière qui accompagne une bouche avide sur le parcours didactique d'un corps qui se laisse découvrir, cambrure des reins qui libèrent l'accès à une croupe cavalière, découpage des muscles qui gonflent sous l'attaque de doigts mi tendres mi redoutables.
Les sourires miroirs et les yeux qui brillent remplacent les lampes et les bougies, rivalisent avec les étoiles qui dehors brillent.
Explosion de sensualité emplie de sucre et de sel, fermant les yeux et donnant le corps, brûlant le ventre et enfonçant les ongles dans la peau.
Se fondent les corps et les âmes en un seul instant qui défie le temps, oubliant toute retenue, se déchirent les peaux sous le rythme régulier puissant des respirations qui s'épuisent.
S'arc-boute le fragile corps désirant, s'agrippent les rondeurs et se griffe le dos. Se déverse dans une dualité de gémissements le désir qui s'en va encore grandissant. S'alignent et s'évadent les perles de sueur qui trahissent les chaleurs d'été.
Varie le rythme dans une houle incessante, entretenant la longévité de la pénétration du bonheur, se mangent les lèvres et le cou, se saccadent les coups, se portent au limites de la raison l'envie d'explosion qui , dans une accélération ultime arrache un cri étouffé par un avide baiser.
Et les coeurs palpitants de garder encore soudés les corps luisants, ne voulant perdre aucune once de la chaleur humide qui se répand et glorifie leur union sous le regard bienveillant d'une lune qui rosit.

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blonq il y a 5 ans

Bonjour douce chérie

Tu seras toujours et de loin la meilleure , merci tendre amante ,
Chemin sublime et divin empli d’une fièvre cuisante

Je comprend maintenant la raison de ces lacérations dans mon dos

Bisous dans le cou ma belle , je sais que tu les adores

Modifié il y a 5 ans, le mardi 23 juillet 2019 à 11:02

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morganna il y a 5 ans

Citation de blonq Bonjour douce chérie

Tu seras toujours et de loin la meilleure , merci tendre amante ,
Chemin sublime et divin empli d’une fièvre cuisante

Je comprend maintenant la raison de ces lacérations dans mon dos

Bisous dans le cou ma belle , je sais que tu les adores


tu sais bien que je ne peux résister à ton dos et ton corps lorsqu'ils portent le souvenir du soleil.

bisous tendres


Participants

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