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Citation de "atton32"Citation de "revoila"Citation de "atton32"je mescuse je suis allait trop loing maachou pardonne moi le dimanche , had ma issal had je suis pas maachou regarde les topics tu le sera je ne trouve pas que tu sois maachou , juste un bel enfoire (je precise que c'est de l'humour )
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carmencitalarevoila (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "rloman"Kanelle ma bichette Ah non rloman!! tu ne vas recommencer à draguer Ta mère te l'interdit
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Citation de "rloman"Dans tous les cas, j ai parle plus aux inconnues merci mais je garde l'invitation pour la prochaine fois lol
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atton32 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "maachou258147"Citation de "atton32"je mescuse je suis allait trop loing maachou pardonne moi ok atton mais dis moi j'aimerais savoir qui c'est cet copine et on devera tous savoir qui c'est. alors tu tacrifice pour elle mais elle te donne aucun affection. elle ne te merite pas atton cet femme elle maime je le sais
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Citation de "atton32"Citation de "amnesie"Citation de "atton32"je mescuse je suis allait trop loing maachou pardonne moi Tu as bien raison de t'excuser! Il t'insulte ta femme et toi, il tient des propos odieux lorsqu'ils sont compréhensibles, il appelle publiquement à la haine quotidiennement, et enfin, il suinte le racisme par tous les pores de sa peau. Bref, un individu charmant comme on aimerait en croiser davantage sur ce site A ta place, je m'excuserais tous les jours de l'avoir offensé ! bon écoute je suis pas raciste Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laqu'elle car elle as une particularité que la planéte n'as méme pas l'existence . Leur apparence releve de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage ést blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Reve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable .
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Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte
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Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte Merci Monsieur de m'avoir répondu , belle soirée soyez heureux
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Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais à toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "rêves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Pour vous : (de : Le travail, la maladie et la mort, de Tolstoï. Extrait du recueil : ce qu'il faut de terre à l'homme. ) Ceci est une légende des âges lointains. Aux temps les plus reculés, Dieu avait créé les hommes de façon à ce qu'ils n'eussent pas à travailler pour vivre, puissent se passer de gîte, de vêtements ou de nourriture, et tous vivaient ainsi jusqu'à cent ans sans connaître la maladie. Après un certain laps de temps, Dieu s'enquit de ce qui se passait sur la terre. Et voici ce qu'il vit : Les hommes, au lieu de vivre en parfait accord, se querellaient entre eux parce que chacun ne songeait qu'à lui-même. Aussi l'existence leur était devenue tellement intolérable que tous la maudissaient. "La cause provient de leur égoïsme", se dit alors Dieu. Afin que cette situation cessât, Dieu arrangea les choses de façon à ce que personne ne put vivre sans travailler. Pour ne pas souffrir de faim et de froid, les hommes étaient tenus de labourer la terre, de la cultiver, de récolter les graines et les fruits, de construire des habitations. "Le travail les unira, pensa Dieu. Un homme livré à lui-même ne saurait tout faire : abattre les arbres, les transporter, puis s'en servir pour construire sa maison ; isolé, il ne saurait fabriquer des outils, semer, moissonner, filer, tisser, coudre des vêtements. Il sera donc bien obligé de se rendre compte de la nécessité de vivre en bon accord avec ses semblables, car plus les hommes travailleront en commun, plus ils produiront et, par suite, plus heureuse sera leur existence. Ainsi le travail sera pour eux une source d'union." Quelques temps après, Dieu revient pour se rendre compte si les hommes étaient maintenant heureux de leur nouvelle façon de vivre. Or, leur existence était devenue plus malheureuse qu'auparavant. Ils travaillaient bien par équipes - car ils ne pouvaient faire autrement - mais non en commun, c'est-àire solidairement. Chaque équipe s'efforçait de dépouiller l'autre du fruit de son travail, et, usant leur temps et leurs forces à des luttes continuelles, toutes rendaient le labeur commun presque improductif en empoisonnant ainsi l'existence de tout le monde. Voyant que le moyen employé n'avait produit aucun effet, Dieu s'avisa d'un autre stratagème : les hommes devaient désormais ignorer le terme précis de leur vie, et pouvaient mourir à tout instant. Il prit la peine de les en instruire. "Ainsi, songeait Dieu, sachant que chacun d'eux peut mourir à toute heure, les hommes n'auront plus, en raison du caractère éphémère de leur existence, aucun motif de nourrir la haine les uns pour les autres, ni de passer en de vains soucis leurs heures incertaines." Mails il en fut autrement. Lorsque Dieu revint sur la terre, il s'aperçut que la situation ne s'était en aucune façon améliorée. Les plus forts, profitant de ce que leurs congénères pouvaient mourir à tout moment, avaient asservi les plus faibles en mettant à mort quelques-uns d'entre eux et en terrorisant les autres. La vie sociale s'organisait donc de telle façon que les forts et leurs descendants passaient leur temps dans l'oisiveté et, partant, dans l'ennui, tandis que les faibles s'exténuaient de travail et souffraient de n'avoir plus aucun repos. Les uns et les autres se témoignaient dans leurs rapports communs une crainte et une haine réciproques. La vie des hommes était donc devenue plus malheureuse que jamais. Pour remédier à cet état de choses, Dieu résolut d'employer un dernier moyen : il chargea l'homme de toutes sortes de maladies; Dieu s'imagine qu'étant tous exposés aux maladies, les hommes comprendraient que les gens en bonne santé devaient avoir pitié des malades, leur venir en aide, afin d'obtenir en retour, quand ils ne seraient plus bien portants, une assistance analogue. Mais lorsque Dieu descendit à nouveau sur la terre, il ne tarda pas à s'apercevoir que, depuis le temps où tous étaient touchés par le mal, leur existence était devenue plus pénible encore. Les maux qui, dans la pensée de Dieu, auraient dû unir les hommes dans un sentiment unanime de commisération, n'avaient fait que les éloigner davantage les uns des autres. Ceux qui obligeaient les autres à travailler pour eux les forçaient en même temps à être leurs gardes-malades, ce qui dispensaient les plus forts de prendre soin personnellement des malades. Ceux qui étaient contraints de travailler pour leurs maitres et de les soigner étaient tellement absorbés et exténués de fatigue qu'ils n'avaient plus le loisir de s'occuper de leurs propres malades, parents ou amis, et ceui demeuraient abandonnés à leur malheureux sort. Enfin, la plupart des maladies étant jugées contagieuses, les hommes, dans la crainte de la propagation du mal, fuyaient non seulement les malades, mais jusqu'à ceux qui se trouvaient en contact avec eux. Cette fois, Dieu se dit : "Puisque ce dernier moyen n'a pas réussi plus que les autres à montrer aux hommes la voie qui conduit au bonheur, à eux de la chercher désormais au prix de leurs souffrances." Demeurés seuls, les hommes vécurent pendant un long espace de temps sans parvenir à comprendre qu'ils pouvaient et devaient être heureux. Ce n'est que tout récemment que certains d'entre eux ont commencé à s'apercevoir de ce fait que le travail, au lieu d'être un épouvantail pour les uns et un bagne pour les autres, pouvait être au contraire une joie pour tous, unissant les hommes dans une même oeuvre productive. Etant donné que la mort peut nous surprendre à tout instant, d'aucuns ont compris de même que l'unique conduite à tenir ici-bas, c'est de vivre les années, les heures ou les minutes qui nous sont mesurées, dans un esprit de concorde et d'affection mutuelle afin d'atteindre la suprême joie.
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Citation de "madoureva"Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte Merci Monsieur de m'avoir répondu , belle soirée soyez heureux Bonsoir , mais non , sib est une dame , pas un monsieur lol
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Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais à toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "rêves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Pour vous : (de : Le travail, la maladie et la mort, de Tolstoï. Extrait du recueil : ce qu'il faut de terre à l'homme. ) Ceci est une légende des âges lointains. Aux temps les plus reculés, Dieu avait créé les hommes de façon à ce qu'ils n'eussent pas à travailler pour vivre, puissent se passer de gîte, de vêtements ou de nourriture, et tous vivaient ainsi jusqu'à cent ans sans connaître la maladie. Après un certain laps de temps, Dieu s'enquit de ce qui se passait sur la terre. Et voici ce qu'il vit : Les hommes, au lieu de vivre en parfait accord, se querellaient entre eux parce que chacun ne songeait qu'à lui-même. Aussi l'existence leur était devenue tellement intolérable que tous la maudissaient. "La cause provient de leur égoïsme", se dit alors Dieu. Afin que cette situation cessât, Dieu arrangea les choses de façon à ce que personne ne put vivre sans travailler. Pour ne pas souffrir de faim et de froid, les hommes étaient tenus de labourer la terre, de la cultiver, de récolter les graines et les fruits, de construire des habitations. "Le travail les unira, pensa Dieu. Un homme livré à lui-même ne saurait tout faire : abattre les arbres, les transporter, puis s'en servir pour construire sa maison ; isolé, il ne saurait fabriquer des outils, semer, moissonner, filer, tisser, coudre des vêtements. Il sera donc bien obligé de se rendre compte de la nécessité de vivre en bon accord avec ses semblables, car plus les hommes travailleront en commun, plus ils produiront et, par suite, plus heureuse sera leur existence. Ainsi le travail sera pour eux une source d'union." Quelques temps après, Dieu revient pour se rendre compte si les hommes étaient maintenant heureux de leur nouvelle façon de vivre. Or, leur existence était devenue plus malheureuse qu'auparavant. Ils travaillaient bien par équipes - car ils ne pouvaient faire autrement - mais non en commun, c'est-àire solidairement. Chaque équipe s'efforçait de dépouiller l'autre du fruit de son travail, et, usant leur temps et leurs forces à des luttes continuelles, toutes rendaient le labeur commun presque improductif en empoisonnant ainsi l'existence de tout le monde. Voyant que le moyen employé n'avait produit aucun effet, Dieu s'avisa d'un autre stratagème : les hommes devaient désormais ignorer le terme précis de leur vie, et pouvaient mourir à tout instant. Il prit la peine de les en instruire. "Ainsi, songeait Dieu, sachant que chacun d'eux peut mourir à toute heure, les hommes n'auront plus, en raison du caractère éphémère de leur existence, aucun motif de nourrir la haine les uns pour les autres, ni de passer en de vains soucis leurs heures incertaines." Mails il en fut autrement. Lorsque Dieu revint sur la terre, il s'aperçut que la situation ne s'était en aucune façon améliorée. Les plus forts, profitant de ce que leurs congénères pouvaient mourir à tout moment, avaient asservi les plus faibles en mettant à mort quelques-uns d'entre eux et en terrorisant les autres. La vie sociale s'organisait donc de telle façon que les forts et leurs descendants passaient leur temps dans l'oisiveté et, partant, dans l'ennui, tandis que les faibles s'exténuaient de travail et souffraient de n'avoir plus aucun repos. Les uns et les autres se témoignaient dans leurs rapports communs une crainte et une haine réciproques. La vie des hommes était donc devenue plus malheureuse que jamais. Pour remédier à cet état de choses, Dieu résolut d'employer un dernier moyen : il chargea l'homme de toutes sortes de maladies; Dieu s'imagine qu'étant tous exposés aux maladies, les hommes comprendraient que les gens en bonne santé devaient avoir pitié des malades, leur venir en aide, afin d'obtenir en retour, quand ils ne seraient plus bien portants, une assistance analogue. Mais lorsque Dieu descendit à nouveau sur la terre, il ne tarda pas à s'apercevoir que, depuis le temps où tous étaient touchés par le mal, leur existence était devenue plus pénible encore. Les maux qui, dans la pensée de Dieu, auraient dû unir les hommes dans un sentiment unanime de commisération, n'avaient fait que les éloigner davantage les uns des autres. Ceux qui obligeaient les autres à travailler pour eux les forçaient en même temps à être leurs gardes-malades, ce qui dispensaient les plus forts de prendre soin personnellement des malades. Ceux qui étaient contraints de travailler pour leurs maitres et de les soigner étaient tellement absorbés et exténués de fatigue qu'ils n'avaient plus le loisir de s'occuper de leurs propres malades, parents ou amis, et ceui demeuraient abandonnés à leur malheureux sort. Enfin, la plupart des maladies étant jugées contagieuses, les hommes, dans la crainte de la propagation du mal, fuyaient non seulement les malades, mais jusqu'à ceux qui se trouvaient en contact avec eux. Cette fois, Dieu se dit : "Puisque ce dernier moyen n'a pas réussi plus que les autres à montrer aux hommes la voie qui conduit au bonheur, à eux de la chercher désormais au prix de leurs souffrances." Demeurés seuls, les hommes vécurent pendant un long espace de temps sans parvenir à comprendre qu'ils pouvaient et devaient être heureux. Ce n'est que tout récemment que certains d'entre eux ont commencé à s'apercevoir de ce fait que le travail, au lieu d'être un épouvantail pour les uns et un bagne pour les autres, pouvait être au contraire une joie pour tous, unissant les hommes dans une même oeuvre productive. Etant donné que la mort peut nous surprendre à tout instant, d'aucuns ont compris de même que l'unique conduite à tenir ici-bas, c'est de vivre les années, les heures ou les minutes qui nous sont mesurées, dans un esprit de concorde et d'affection mutuelle afin d'atteindre la suprême joie. Merci pour le texte presque aussi long que mon histoire de Buffalo et calimity Jane . Tenez je vous met une parcelle de mon jardin mais vous aurez besoin des autres pour l'entretenir . J'ai commencé par y semer des graines de bonne humeur , j'en ai mis plusieurs paquets pour que chacun en est sa part lors de la récolte . J'ai planté des fleurs d'amour en forme de coeur c'est une espéce qui doit étre chouchouté pour le bien de tous . J'ai également mis des doses de tendresse et de joie ou sinon ou serais l'interret d'avoir des fleurs d'amour . Au milieu du jardin se trouve une fontaine qui distille la sérénité sans modération . Des colombes y viennent en permanence j'en profite pour les envoyé semé la paix dans les jardins des environs , mais elles iront au dela de ça car la paix beaucoup la veule mais hélas leur fait défaut .
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Citation de "rloman"Bonsoir Madoureva Bonsoir Rloman , j'ai vu que Kanelle est passé dommage je l'ai raté
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Citation de "maxence1"Citation de "madoureva"Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte Merci Monsieur de m'avoir répondu , belle soirée soyez heureux Bonsoir , mais non , sib est une dame , pas un monsieur lol Bonsoir , J'étais persuadé que c'était un homme , je m'en excuse auprés de la Dame , merci de me l'avoir dit
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colombine54 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "madoureva"Citation de "maxence1"Citation de "madoureva"Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte Merci Monsieur de m'avoir répondu , belle soirée soyez heureux Bonsoir , mais non , sib est une dame , pas un monsieur lol Bonsoir , J'étais persuadé que c'était un homme , je m'en excuse auprés de la Dame , merci de me l'avoir dit Bonsoir madou, Tu les calme pour ce soir et demain ca repartira! De grands enfants et de grands kons! bisous
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Citation de "colombine54"Citation de "madoureva"Citation de "maxence1"Citation de "madoureva"Citation de "sibelius"Citation de "madoureva" Bonsoir Monsieur je profite de l'inter et vous met ceci Dans une contrée lointaine encore inconnue par l'humanité vivait une tribu . Pas n'importe laquelle car elle as une particularité que la planète n'a même pas connaissance de l'existence . Leur apparence relève de l'irréel mais a toi de voir . Leur visage est blanc , le torse noir , les bras et les mains jaunes , les jambes et les pieds basanés , leurs cheveux aux couleurs de l'arc-en-ciel . Le nom du village "Mon Rêve" , les habitants les "réves debout" Aucun chef n'as été désigné car tout le monde était semblable . Tolstoï aurait aimé ce texte Merci Monsieur de m'avoir répondu , belle soirée soyez heureux Bonsoir , mais non , sib est une dame , pas un monsieur lol Bonsoir , J'étais persuadé que c'était un homme , je m'en excuse auprés de la Dame , merci de me l'avoir dit Bonsoir madou, Tu les calme pour ce soir et demain ca repartira! De grands enfants et de grands kons! bisous Bonsoir Colombine Je préfére la paix ne suis je pas un ange ? Nous sommes tous de grands enfants mais ceraines limites a ne pas dépassé non plus Bisous de nous 2 et belle soirée
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