Quand elle me les gratte - Épisode 1

mr.robert il y a 2 ans

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C'est toujours dans les endroits les plus insolites que mes couilles me grattent. Je vous raconte quelques amusantes anecdotes. L'autre jour nous faisons nos courses au Super U. J'ai la couille droite qui me gratte. Ça picote. Je résiste. Je me concentre sur les promotions que me montre ma compagne. J'essaie de penser à autre chose. J'ai l'envie folle de glisser ma main dans mon pantalon, dans mon slip pour soulager ces démangeaisons. Un véritable enfer.

Là, dans l'allée des vêtements, il y a peut-être la possibilité de me la gratter. Je dis à ma compagne : << Je n'en peux plus, il faut que je me soulage ! >>. En riant elle se met tout contre moi. Plaqués tous deux entre le caddie et les manteaux, ma compagne fait écran. Je peux enfin glisser ma main dans mon jeans. Avec quelques contorsions, au risque de me faire une entorse du poignet, j'arrive enfin aux boules. C'est toujours la droite qui me gratte.

<< Il faut que tu trouves une rime pour la gauche ! >> murmure ma compagne avant de me déposer un bisou sur la bouche. Quel bonheur d'être enfin libre de toute démangeaison. Je sors ma main. Ma douce complice saisit alors mon poignet. Elle porte mes doigts sous son nez pour humer les effluves parfumées de mes roubignolles. << Dis donc, c'est pas Chanel No 5 dans ton slip ! >>. Nous éclatons tous deux d'un rire sonore avant de quitter le rayon fringues.

A peine sommes-nous au rayon informatique que ma couille droite me rappelle une nouvelle fois son existence. << Toi, tu as chopé le covid des roupettes ! >> me lance ma compagne. En se serrant contre moi pour palper ma braguette, elle rajoute : << Probablement le variant Omacouille! >>. Nous rigolons comme des bossus devant les MacBook Air et les MacBook Pro. << Je peux tenter de trouver l'endroit précis de ton tourment ? >> me demande t-elle.

Nous allons dans le rayon jardinage. À cette période de l'année, début janvier, il n'y a là strictement personne. Elle se serre contre moi. Je tiens les pans de mon manteau écartés pour cacher sa main exploratrice. Elle fouille mon slip, empoigne fermement mon Zob et continue la descente dans les tréfonds. Ma compagne, adroite et précise, arrive aux deux orphelines. Exactement à l'endroit de la terrible démangeaison, elle me soulage en tripotant la couille responsable.

Quel bonheur de retrouver l'insouciance après la torture. Ma compagne joue encore un peu avec la bite toute molle qu'elle enroule délicatement avant de retirer sa main. Elle me dépose un bisou sur la bouche en chuchotant : << Tout à l'heure, dans la voiture je vérifie ça de plus près ! >>. Elle hume ses doigts en rajoutant : << J'en profiterai pour te mettre un peu de Chanel No 5 ! >>. Je ne suis plus indisposé par d'incessants grattages. Merci douce complice.

Maître Robert - (Couillu de nature)