Chères amies lectrices, chers amis lecteurs -
Nous retrouvons notre nouvel ami. Nous suivons les aventures de Régis avec curiosité, avec amusement, parfois avec passion. Aujourd'hui nous accompagnons Régis dans une de ses nouvelles expériences. Tout comme lui nous aimons découvrir les réactions de nos contemporains dans des situations souvent extraordinaires, insolites et très étonnantes.
Régis tente la compote aux pommes avant la piscine
Ce mardi Régis se rend dans son supermarché préféré. Au volant de sa Mercedes classe E, il aime écouter les concertos de Mozart. Il se gare à côté de l'abri des caddies. Ce n'est pas pour prendre un chariot, non, c'est pour repérer plus facilement sa voiture. Tirant le petit panier à roulettes, notre ami flâne un peu dans les rayons qui l'interpellent. Le rayon des confitures, des compotes et des miels. Sur l'étagère "Bonne Maman" il fait son contrôle.
Le pot qui contient son magnifique étron est toujours là. Habilement dissimulé derrière les autres confitures. C'est donc satisfait que Régis choisit un flacon de compote aux pommes Andros. 700 gr d'une compote de qualité sans sucres ajoutés. Pour un prix modique chacun peut déguster le choix de ces délices poires, pommes, bananes ou encore une combinaison des différents fruits. La compote aux pommes. La préférée de notre héros qui en prend deux flacons.
Régis se dirige vers la caisse No 8. C'est là qu'il a repéré la jeune étudiante souriante. C'est son job de vacances. Régis les repère très vite les étudiantes qui font caissières comme job d'été. Contrairement aux "professionnelles" , les caissières étudiantes sont souriantes, aimables, souvent belles et mignonnes et surtout, elles ne font pas la gueule. Juste à l'instant où notre ami arrive, il y a une petite grosse aux cheveux courts, aux pieds plats qui se pointe !
La moche se place devant lui. Régis contemple cette nuque épaisse. Le col du T-shirt de la vilaine est la cause de ce bourrelet de gras qui suinte d'un peu de sueur. Cette conne range d'abords ses achats en prenant tout son temps. Comme si elle était seule dans le magasin. Elle paie ses courses avec des billets et des pièces. Cette nouille fouille dans son porte-monnaie longuement. Disant à haute voix : << Mais j'étais certaine d'avoir une pièce de cinq cents ! >>.
Derrière Régis un autre mec se met à soupirer en murmurant : << Elle va nous faire chier encore longtemps la moche ! >>. Régis en profite. À haute voix il lance : << C'est vrai qu'elle commence à nous faire chier la grosse ! >>. La petite moche aux cheveux courts s'écrie : << Non mais dites donc ! Vous n'avez pas à m'insulter ! N'avez qu'à passer à la caisse d'à côté ! >>. Régis s'exclame : << Mais je ne t'insulte pas espèce d'horreur. Tu nous fais juste chier. C'est tout ! >>.
Il peut enfin poser ses achats sur le tapis. Régis tente d'accrocher le regard de la superbe petite brunette aux beaux yeux bleus. Il murmure : << Vous en avez beaucoup des clientes aussi répugnantes qui sentent le cornichon au vinaigre ? >>. Cette boutade fait beaucoup rire la jeune fille. Régis chuchote : << Vous êtes absolument "craquante". Et je "craquerais" volontiers ! >>. La jeune étudiante, ravie, adresse son plus beau sourire à Régis. Mais sans répondre toutefois.
Voilà Régis au volant de sa grosse berline allemande. Direction la piscine municipale. Sur le parking, il sort la petite cuillère de la boîte à gants. Il savoure les 700 gr de compote aux pommes en écoutant le concerto en Do# pour harpe de Mozart. La caissière fait une épouvantable grimace en voyant arriver Régis. Régis qui adore lâcher une caisse sonore dans le hall. Il adore entendre résonner le bruit sourd de son pet profond. Il y a deux femmes écœurées.
Régis monte directement aux cabines. La dame des cabines lui fait un merveilleux sourire. << Bonjour Josiane, tout va bien. Vous êtes encore toute belle cet après-midi ! >> lance t-il à son endroit. << Merci monsieur Régis, vous me faites rougir ! >> répond la dame. Régis rajoute avec un clin d'œil : << Je connais d'autres moyens de vous faire rougir ! Coquine va ! >>. Il ferme la porte de la cabine derrière lui. Il se change. Le voilà en slip de bain en lycra. Il s'admire dans le miroir.
Lorsque Josiane le voit arriver, montagne de muscles saillants, elle ne sait quelle partie de son corps regarder. Régis jette un coup d'œil depuis le balcon. Il y a peu de baigneurs. C'est mardi. Deux jeunes femmes, un sénior, deux jeunes adolescents qui s'amusent avec une balle dans le petit bassin. Notre ami commence à ressentir les effets de la compote aux pommes au fond de ses viscères. Ça gargouille longuement. Voilà le premier pet qui se pointe sournoisement.
Régis est obligé de serrer les fesses. Il se doute bien que ce sera un pet mouillé. Une de ces pastilles Valda qui fondent rapidement dans le fond des slips. Notre héros dévale les escaliers. Un rapide passage sous la douche. Le nouveau maître nageur reconnait notre athlète. Il le garde à l'œil. En passant à côté de lui, Régis lui fait un clin d'œil en disant : << Salut bonhomme, ça gaze ? >>. En prononçant ces mots, Régis lâche une caisse. Il précise : << Moi, ça gaze ! >>.
Régis sent bien que le proute qu'il vient de lâcher est entrain de se déliter au fond du maillot. Il se dépêche de monter l'échelle du plongeoir. Du haut des trois mètres, Régis exécute le plus beau des sauts de l'ange. Ses 90 kg forment une énorme gerbe en tombant dans l'eau. Régis aime plonger et remonter à la surface en imitant le cri du cachalot. Ça résonne étonnamment dans la grande salle gothique. Le ventre de Régis se contracte. C'est presque douloureux. Crampe.
Son slip de bain à mi-cuisses, sous l'eau qu'il agite, notre héros se lâche dans une diarrhée d'une incroyable abondance. Régis pousse pour bien se vider. Une méga chiure qui ne va pas tarder à remonter pour flotter à la surface de l'eau chlorée. Aussi, replongeant pour remonter son maillot, Régis se dépêche de s'éloigner. Il va dans le petit bassin pour admirer son nouveau chef-d'œuvre. C'est un véritable hurlement poussé par une des deux jeunes femmes qui nagent.
Elle n'a pas anticipé. La voilà à faire de la brasse, de la merde tout autour du cou, Ça s'imbibe dans les cheveux qui dépassent de son bonnet jaune et ridicule. L'autre nageuse arrive trop tard. Elle aussi prend son bain de caca. << Put-Hein ! Mais c'est dégueulasse ! >> s'écrie la première. << Il y a un salopard qui a chié dans l'eau ! >> hurle l'autre. Régis passe les doigts dans sa raie culière afin de bien finir de la nettoyer. Le maître nageur arrive en courant, affolé.
Il répand de sa sciure sur l'eau. Elle va s'imprégner de la chiure qu'elle empêche de se répandre. Avec une grande épuisette, il commence à la récupérer. Les deux jeunes femmes sortent de l'eau pour courir vers les douches. Notre ami Régis, satisfait de cette nouvelle expérience fort concluante, sort à son tour du bassin. Un des jeunes gars, en admiration devant son impressionnante musculature, demande : >> C'était Toi ? >>. Régis répond : << Diarrhée ! >>.
Quand Régis passe à côté du maître nageur qui lui arrive à peine aux épaules, il lui fait un nouveau clin d'œil. Il sait bien qui a chié dans l'eau mais il ne veut pas faire de "vague". Après tout, à part l'odeur immonde, tout a déjà disparu. Régis rejoint les douches où les deux jeunes femmes achèvent de se rincer. Là, en poussant, il lâche une caisse caverneuse et sonore. << Mais quel porc ! >> lance une des deux baigneuses. << Dégueulasse ! >> s'écrie l'autre. Régis leurs sourit.
Lorsqu'il remonte aux cabines Josiane murmure : << Bravo ! J'ai tout vu ! Pizza ? >>. Régis pose ses mains sur ses épaules pour chuchoter : << Compte aux pommes ! >>. Il dépose un bisou sur le front de la dame avant de s'enfermer dans sa cabine. Avant de partir il dit à la dame des cabines : << Alors Josiane, que diriez-vous d'une bonne turlutte un de ces jours ? >>. La dame rougit en baissant les yeux. Juste avant que Régis ne disparaissent elle crie : << Oui ! >>.
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