Chères amies
Ma coquine, libre cet après-midi, est venue me rejoindre pour quatorze heure. Son cocu, d'astreinte, a dû se rendre à son travail pour un problème. Elle en a donc profité.
Nous en avons profité pour aller nous promener en ville. Vers quinze heure nous étions assis à la terrasse d'un café. Le temps n'était pas spécialement ensoleillé. Malgré un ciel plutôt couvert, il faisait doux et sec.
Nous étions là depuis une vingtaine de minutes. Tout en conversant, nous pouvions observer les promeneurs et les premiers touristes déambuler sur les pavés de la place.
Deux couples vinrent s'asseoir à une longue table face à la notre. Une des deux femmes, plutôt jolie, vêtue d'une jupe courte et de souliers à talons, s'était installée presque devant moi. Quelques mètres nous séparaient.
Son compagnon, me tournait le dos. Les deux femmes étaient assises l'une à côté de l'autre. Sous la table, je pouvais découvrir le galbe attractif de ses jambes. Je n'y prêtais pas plus attention.
Je continuais de bavarder avec ma complice. Elle aussi en jupe. Elle aussi très attractive. J'avais donc tout ce qu'il me fallait. De temps à autres, je regardais dans la direction des gens assis en face de moi.
C'est là que je remarquais la jeune femme, les cuisses écartées sous la table, qui tout en bavardant me mâtait. Il n'y avait que moi qui pouvait voir. J'en fis part à mon amie. Celle-ci, prenant son I-phone comme un rétroviseur, regardait ce magnifique spectacle.
Cette attitude était délibérée car j'observais avec attention sous la jupe de la jeune femme. Elle me regardait tout en riant et bavardant avec ses amis. Elle gardait ses cuisses écartées.
Je bandais fort. J'en fis part à ma complice que cela amusait. J'adore ces situations. Et, lorsqu'une jeune femme me choisit pour ses petits jeux", c'est un vrai bonheur. Cela n'arrive donc pas qu'aux autres.
Cette situation dura une bonne demi-heure. Ma coquine, sachant que cela m'excitait, était à se réjouir pour ce qui se passerait, une fois de retour à la maison. Par ricochet, cela l'excitait également.
Pas une seule fois, en une demi-heure, la jeune femme n'a resserré ses cuisses. Au contraire, ostensiblement, elle profitait de la situation. Une vraie et authentique exhibitionniste. Tout comme l'est ma complice. Un vrai bonheur.
Arrivés à la maison, nous avons baisé comme des déments. Le moindre stimuli nous met dans tous nos états. Mais, pour dix huit heure trente, il a fallu qu'elle file chez elle.
Encore une belle histoire...
Maître Robert