mr.robert

Une journée passionnante de Maitre Robert

il y a 7 ans
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mr.robert il y a 7 ans

Chères amies lectrices, (et admiratrices)
Chers amis lecteurs, (et admirateurs)

Je relate ici une de mes merveilleuses journées.
Une journée de privilégié parfaitement conscient.
Dans la joie, l'optimisme et la bonne humeur.

Bonne découverte, bande de petits chanceux...

Je me lève, je fais à la salle de bain. Il est six heures.
Je dépose mon zob sur le rebord froid du lavabo.
Je pisse longuement en me grattant les roubignoles.

Comme chaque matin, je lâche un chapelets de proutes.
De longs pets sonores et profonds en tonalité de Fa.
Je les modules avec virtuosité. C'est presque émouvant.

Depuis les cabinets, derrière la porte, j'entends Clémentine.
De sa voix douce elle me fait : < Je t'entends, vieux cochon ! >.
Nous rigolons comme des bossus en descendant à la cuisine.

Nous savourons notre copieux petit-déjeuner. Repas important.
Je presse deux grosses oranges. Clémentine fait griller le pain.
Beurre, miel, confiture, café . Dégustation. Nous voilà rassasiés.

Nous passons à l'entraînement intensif et quotidien. Une heure.
C'est le prix à payer pour garder les formes. Puis, c'est la douche.
A 7 h45 nous nous séparons pour la journée, devant la maison.

Le soir, je reviens. Je gare ma mobylette à la cave. Avec soin.
Clémentine me saute au cou pour m'embrasser avec fougue.
On prépare la bouffe. Je retourne à la salle bain pour pisser.

Là, lorsque je dépose mon zob sur le lavabo, il est plus chaud.
Je pisse en lâchant un chapelet de proutes inodores et bruyants.
Le soir, mes pets sont toujours en tonalité de La. Je module en Si.

Clémentine me la tient le plus souvent fermement en visant juste.
< Vieux cochon ! > me fait-elle en secouant les dernières gouttes.
Nous rions de bon cœur. Puis nous retournons à la cuisine. C'est prêt.

La délicieuse odeur de notre préparation émane du four. Parfum.
En hiver, ce sont des gratins, des fougasses ou encore des pizzas.
Puis, nous prenons le dessert au salon. C'est souvent une saucisse.

Clémentine raffole de saucisse. J'en ai toujours une cachée sur moi.
Lorsque je la déballe, Clémentine est souvent émerveillée et ravie.
< Oh ! > me fait-elle en humant les effluves parfumées du "truc".

< C'est quoi l'espèce de "Vache-qui-Rit" qui colle au bout ? > fait-elle.
Je lui révèle la nature artisanale de la "Vache-qui-Rit". Elle rigole.
< Vieux dégoûtant ! > me fait-elle avant d'y goûter en gloussant.

Je la regarde se régaler. Elle me fixe de ses yeux reconnaissants.
Je prépare toujours un mouchoir en papier en guise de serviette.
Ainsi, Clémentine peut s'essuyer le jus qui lui dégouline partout.

< C'est délicieux ! Tu es un amour ! > me fait-elle invariablement.
Moi, toujours soucieux de la régaler, je reste évidemment flatté.
Je lâche toujours un dernier proute que je module du Si au Do.

Il est déjà 22 h30. Nous passons à la salle bain. Rituel du lavabo.
Chapelet de proutes, qui sentent un peu, selon la nature du repas.
Puis nous montons nous coucher, vêtus de nos pyjamas japonais.

On baise un peu. On fait le bilan de notre libido et de notre journée.
On se raconte des trucs marrants. On se berce doucement. On nique.
Puis j'entends les ronflements délicats de Clémentine qui "plonge".

Je vais au lavabo pour le dernier petit pipi du soir...


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