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Dans un forum, son sérum laisse un goût tantôt amère, tantôt chimère. Apparitions jouant des partitions, son silence peuple notre voile d'un regard cristallin : Ce reflet qui épouse nos conquêtes improbables. Les joncs guettent notre noyade d'esprit tout en se prélassant dans cet étang dû. Entendue qui nous est dû dans ces méandres des partages en spirales. Le labyrinthe nous enfouis dans ses espoirs d'un soir avant que jaillisse la lumière d'une renaissance que nous arpentons sans cesse. Sans cesse à épier la magie d'une existence en berne osant asséner ses cernes. le bonheur nous cerne de sa timidité telle l'humidité discrète sous nos pas perdus. Le blues ne dansera pas le tango qui déchante nos réveils tanguant. Mais un joli déhanché s'exhibera toujours pour virevolter autour d'une caresse lointaine. Caresses des bras d'un fleuve qui unissent la veuve éteinte d'amour. Un forum saura t'il la ressusciter comme on suscite son approche. Les mots quatrains filent bons trains dans cette hâte. Alors peu importe les sujets évoqués, il n'y a pas de majestés pour ces élèves. Seule la majestueuse participation d'y être, nous donne une seconde existence de découvrir ses plaisirs. Alors que chacun en vive librement en oubliant ne serait-ce qu'un instant l'autre existence. Bon post à vous... RD.
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