mr.robert

Best off - Mr Robert - Les meilleurs moments -

il y a 8 ans
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mr.robert il y a 8 ans

Chers amis

Afin de rassembler les perles dont je suis l'auteur, sans prétention, mais avec lucidité, je vous propose de retrouver tous nos grands moments.

Illustrant ainsi l'évidente pertinence de cette maxime :
Nous ne sommes jamais mieux servis que par nous-même.

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Il se masturbe devant les vaches du père Grégoire

Les gendarmes de Jouy-sur-Lucette ont procédé dimanche
à l'arrestation d'un exhibitionniste.

Ce dernier, le pantalon descendu, se masturbait devant les
vaches du père Grégoire.

Depuis quelques semaines, le père Grégoire avait constaté
que le lait de ses vaches tournait dès la traite.

Désirant en avoir le cœur net, le père Grégoire s'est dissimulé
derrière l'étable dans l'enclos de ses 60 vaches.

Il a immédiatement prévenu les forces de l'ordre qui sont
intervenues toutes affaires cessantes.

D'après certains témoignages, l'individu se serait livré aux
même agissement devant les chèvres de monsieur Seguin.

Une analyse ADN est en cours car les juments du centre
hippique ont une curieuse démarche depuis quelques temps.

Des témoins affirment que l'individu s'en prenait également
aux poules des poulaillers de la région.

Pour le moment, les truies de l'élevage industriel de porcs
de Saint-Martelin, ne présentent aucun signe d'agressions
sexuelles.

Lorsque la gendarmette s'est présentée, l'exhibitionniste,
écartant les pans de son déguisement de Dark Vador, s'est
exclamé : < Et un sabre laser comme celui-là, tu en as
déjà vu ma cocotte ? >.

L'individu a été déféré au parquet après dépôt d'une plainte.
La plainte est toujours près du parquet...



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Notre exhibitionniste a été relaxé au bénéfice du doute.
En effet, aucun texte de loi ne sanctionne ces faits.

Le père Grégoire, furax, s'est écrié : < Salop ! >
A la sortie de sa garde à vue, l'exhibitionniste à rigolé.

L'exhibitionnisme devant animaux n'est pas un délit.
Aussi, notre lascar a déjà été vu au jardin zoologique.

Madame Marthe, la boulangère, s'est écrié : < C'est une honte ! >


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Il braque la boulangerie, braguette ouverte

C'est à la boulangerie que le braqueur s'est fait prendre.
C'est la jeune vendeuse qui a reconnu Benoît Chauzemolle.

Le braqueur, ayant oublié de fermer sa braguette,
était occupé à récupérer les petits pains au chocolat.

Debout, sur la pointe des pieds, pour attraper les
petits pains, Benoît Chauzemolle n'a pas fait attention.

Dans son effort, son sexe a soudain jaillit !
Les clientes de moins de 25 ans étaient admiratives.
Les autres ont préféré détourner les yeux.
Toutes ont vu le membre du braqueur. Très moyen...

C'est à ce moment là que la jeune vendeuse a reconnu
Benoît Chauzemolle.
En effet, Benoît, sur son sexe a un tatouage.
Un tatouage qui est familier à la jeune vendeuse.

Découvrant l'ancre de marine, tatouée juste au-dessus
de la formule " A Lulu pour la vie", la jeune vendeuse
s'est rappelée s'être amusée avec l'objet, samedi soir.

Malgré son masque de Dark Vador, la jeune vendeuse
a donc bien reconnu Benoît Chauzemolle.

La gendarmerie n'a donc eu aucun mal à mettre
la main sur l'individu. La gendarmette était ravie.

La totalité du butin a pu être récupéré.
160 pains au chocolat. 170 pains au pudding.
Par contre, les croissants ont tous été mangés.

Le braqueur a été placé en garde à vue...


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Elle fait une fellation au pilote de l'Airbus A380


Panique dans la tour de contrôle vers trois heure du matin.
Un Airbus A380 tourne depuis deux heures autour de la piste.

Restant à une altitude constante de 800 pieds,(250 mètres),
l'avion décrit un cercle autour de l'aire d'atterrissage.

Les opérateurs de la tour de contrôle ne parviennent pas
à établir un contact avec le pilote ou avec le co-pilote.

Il est tout simplement impossible d'avoir une réponse.
Par contre, de curieux gargouillis se font entendre.

Ce qui ressemblerait à des gémissements ou encore à des
gloussements résonne de façon régulière dans les haut-parleurs.

L'inquiétude est à son comble au sol. Les secours sont là.
L'Airbus transporte plus de 450 passagers. Il y a une angoisse.

C'est vers quatre heure du matin qu'enfin l'avion atterrit.
Tout semble en ordre et les passagers sortent dans le calme.

Les derniers à sortir de l'avion sont le pilote et l'hôtesse.
Le pilote ferme sa braguette et l'hôtesse s'essuie la bouche.

Convoqués le lendemain au bureau de la direction, le pilote
et l'hôtesse ont avoué s'être offert un peu de bon temps.

< J'avais envie de planer en avion ! > aurait avoué le pilote.
< On voulait s'envoyer en l'air ! > aurait confié l'hôtesse.

La compagnie décidera de la suite à donner à cette affaire...


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Il trempe son sexe dans le café de la dame

C'est vers 15 h, hier, vendredi, que l'individu a sévi.
L'homme est arrivé sur sa mobylette qu'il a garé correctement.

Il s'est approché de la terrasse de la Brasserie.
Longuement, les témoins l'ont vu errer sans but.

C'est un peu comme s'il guettait quelqu'un ou quelque chose.
Parfois, il se grattait l'entre-jambes avec insistance.

Soudain, ouvrant sa braguette, l'inconnu sortit son sexe.
Un petit sexe ridicule qui amusa beaucoup Josiane Frouchiez.

S'avançant entre les deux rangées de tables il se mit à hurler.
Tenant des propos incohérents, il s'approcha de Denise Foutrar.

Là, en beuglant, il trempa son sexe dans sa tasse de café.
Denise Foutrar, écœurée, repoussa la tasse avec dégoût.

Un des serveurs, se saisissant du quidam, le maîtrisa.
L'inconnu se mit à pisser sur tout le monde en hurlant.

Un car de police s'arrêta, alerté par l'agitation et les cris.
L'homme étrange fut conduit dans le véhicule de la police.

Au poste, l'individu ne donna aucune explication rationnelle.
Il se contenta de secouer la tête et de répéter inlassablement :
< Ils ont échappé au pire ! J'aurais pu chier aussi ! >


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Ils creusent des trous dans les parcs pour chier

Les riverains, excédés par les agissements de certains
individus ont prévenu la police qui est venue constater.

En observant la pelouse, on peut imaginer un champs de taupes.
En effet tous ces petits monticules de terre sont bucoliques.
Leurs présences attirent immédiatement l'attention.

Doutant de la bonne foi des riverains du parc, la police
a tout de même voulu en avoir le cœur net.
Surveillance nocturne.

C'est vers minuit qu'ils arrivent, armés de pelles et de P.Q.
Ils sont environs une centaine. Leurs ethnies, dans le noir,
ne sont pas formellement identifiables. Mais on s'en doute !

Alignés en rang d'oignons, ils creusent au rythme d'un
instrument à percussion dont joue l'un des leurs en psalmodiant.

Puis, toujours alignés, ils baissent leurs pantalons, culs au-dessus du trou, ils comptent jusqu'à trois et défèquent.

Résonne le bruit caractéristique du cake que l'on démoule
puis c'est le silence. Ils se torchent en murmurant.

Ils ramassent leurs pelles et rebouchent les trous.
Ils s'en vont. Puis arrivent les femmes. Même rituel.

Souvent, en plus du caca, dégouline de la cyprine qui brille.
Pas de doute, ce sont des meufs. L'odeur est la même. Parfois,
les coulures laiteuses et visqueuses restent au bord du trou.

Elles rebouchent leurs trous et repartent en psalmodiant.
Arrivent les gosses. Un peu plus bruyants et joueurs.
Là, c'est diarrhées, chiures et merdouilles. Dans l'euphorie.

Bref, tout ce cirque dure environ une heure.
La rangée de mottes de terre avance inexorablement.
Cela rappelle des alignements de petits soldats !

C'est ainsi que, doucement, tous les parcs de Paris
changent d'aspect, de configuration et de décoration.
Jour après jour...

Il y a déjà des images visibles sur les réseaux sociaux.
La civilisation du caca apporte sa culture dans notre beau pays.

Qu'en est-il des parcs de Marseille, de Strasbourg
ou encore de Calais ? Ah ! Calais, ça doit être beau à voir !

Force est de constater qu'ils commencent
sérieusement à nous emmerder...


Sans même évoquer le fait que lorsque le promeneur
marche "dedans", ça lui colle à la godasse !

C'est comme les crachats sur les trottoirs, lors
de certaines périodes, tu ramènes du mollard glaireux
chez toi.

Maintenant ils y en a qui se complaisent autant dans
leurs chiures que dans leurs glaviaux...


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Il fait des trous dans le fromage avec le doigt

C'est la responsable du rayon "Frais" qui l'a surpris.
Depuis quelques semaines des clients venaient se plaindre.

Des caissières faisaient également remonter l'information.
La gérante du Super U a donc décidé de prendre des mesures.

Madame Josiane Frouchiez, la gérante a donné des consignes.
Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage était prévenu.

Discrètement dissimulé derrière les congélateurs à glaces,
Denise Foutrar surveillait son rayon. Les boîtes de camembert.

L'individu est arrivé vers dix heure, ce matin de mardi.
Posant son sac à provision, il tâtait quelques fromages.

Ouvrant les couvercles de chacune des boîtes, il sortait les fromages. A l'arrière, il enfonçait son index profondément.

Chaque fromage, percé, marqué au cul, était remis dans sa boîte.
Le quidam refermait la boîte en y remettant le couvercle.

Il se reniflait le doigt en haussant les épaules et
en marmonnant. L'essuyant discrètement au manteau des clientes.

Ce qui parut rapidement étrange au personnel, c'était la marque de camembert choisie. Toujours la même. Jamais une autre.

En effet, ce n'était qu'une seule et même marque qui semblait être la cible du quidam : les camemberts "Président".

Lorsque Denise Foutrar intervint pour demander à l'inconnu
s'il comptait acheter les fromages troués de son doigt, ce
dernier, comme outré, scandalisé, se mit à hurler !

Reprenant son sac à provisions, il quitta le rayon en gueulant :
< Le Président, je lui mets le doigt ! >

Josiane Frouchiez, cachée derrière les panières, observant la scène, reste sans voix...


Aux dernières nouvelles, le quidam a une "spécialité".

Avant de pratiquer ses actes de terrorismes fromagers,
il se rend toujours aux toilettes du supermarché.

Là, dans la solitude carrelée, bercé par la musique lénifiante,
il s'enfonce le doigt dans le cul. Profondément en tournant.

S'étant laissé poussé l'ongle de l'index plus que de raison,
il peut ainsi consciencieusement racler son intimité.

Sous son ongle long, il y a suffisamment de miasmes,
de petites "parti-cul" ou de molécules pour "contaminer".

Ce stock de petites "choses" sous l'ongle, bien collées au doigt,
il peut assurer une dizaine de trous avant de retourner au WC.

C'est Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage
qui l'a suivi tout au long du processus créatif qui l'affirme.

Il va "recharger" son doigt tous les dix camemberts.


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Elle met ses poils de cul dans l'assiette des clients



Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi.

Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame
Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant.

Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs
ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités
mitonnées avec amour par un Chef réputé.

C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu,
que les choses ont commencé à changer. A se dégrader.

Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre.
Parfois même on entendait des insultes biens senties !

Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables,
tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire.

C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain
que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils !

En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots
"lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc...

En échangeant leurs impressions avec des voisins de table,
quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients
trouvaient également des poils dans leurs assiettes.

Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans
tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils !

La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements.
Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils
avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage.

L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats.
Le laboratoire était formel, les analyses indéniables.

C'étaient des poils de cul !

La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales,
présentaient des petits "grelots" collés aux racines !

La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire
du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le
personnel.

Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la
coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron !

En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être
profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant.

Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler"
le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi.

Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et
gastronomique connue sous la formule amusante de :

LE POIL DE CUL DU CHEF

Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les
toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences...

Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de
leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de
gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes.

Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien
regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition :

< C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! >

Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter,
elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >


La plupart des clients, découvrant les faits
dans les journaux régionaux, se sont écriés :
< C'était donc ça, ce goût particulier ! >.

A ce jour, aucune plainte n'a été déposée.
Le patron est prêt à pardonner à son épouse.

Celle-ci a promis de ne plus recommencer.
Ses copines, aux culs malades, sont un peu déçues.
Elles aimaient bien partager leurs "soucis"...


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Des glaçons au sperme dans son congélateur

Benoît Chauzemol, aime à concocter des glaçons au sperme.
Glaçons au sperme qu'il conserve dans son congélateur.
Lorsque Benoît est invité à des soirées "étudiantes",
dans une glacière, il emmène avec lui ses fameux glaçons.

Arrivé sur place, il demande à mettre ces glaçons au frais.
Il se propose de s'occuper du bar. En bénévole bien sûr.
Là, tranquillement, Benoît peut agir à sa guise. Barman !
Amusé, il écoute les conversations des filles. Etonnantes.

Benoît, sournoisement, oriente les conversations.
Il évoque parfois les rapports génitaux buccaux. La fellation.
Amusé, il entend des filles prétendre que jamais, oh non
jamais, elles ne pratiquent ce genre de choses...

Benoît, ravi, observe alors longuement ces jeunes filles.
Il les regarde déguster leurs boissons contenant les glaçons.
Souvent, ce sont les plus frimeuses qui consomment le plus.
Coca, jus de kiwi, nectar de mangue et toujours les glaçons !

Pour la fabrication de ses glaçons, Benoît suit sa recette.
Toujours la même. Dans un gobelet contenant de l'eau,
notre ami se masturbe tranquillement. Puis il verse le
contenu du gobelet dans le bac à glaçons du congélateur.

Les glaçons se conservent indéfiniment avec leur contenu.
Benoît garde jalousement ce secret car il lui procure
d'incroyables fous rires et des moments étonnants.
En écoutant toutes ces étudiantes bon-chic et bon-genre.

Les glaçons au sperme, une spécialité très appréciée.
Tant par les barmans plein d'humour que par les farceurs.
C'est d'ailleurs une "pratique" assez fréquente. Tant dans
les soirées étudiantes que dans les "Clubs" parties !


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Il pisse dans les plantes du concierge


Il pisse dans les plantes du concierge de l'immeuble


Depuis quelques jours l'odeur, dans le hall d'entrée
de l'immeuble "Le Printemps", devient pestilentielle.

Madame Marthe, du quatrième étage, se plaint
depuis plusieurs jours auprès du concierge.
Monsieur Maurice, retraité de la SNCF, habitant au
troisième étage, sent l'odeur depuis l'ascenseur.

Denise Foutrar, la dame du cinquième étage, se
pince le nez en passant dans le hall d'entrée.
Benoît Chauzemol, lorsqu'il rentre de son jogging,
le soir, est incommodé jusqu'à l'envie de vomir.

Josiane Frouchiez, la jeune femme du second étage,
lorsqu'elle rentre le soir, est prise de nausées.
Le concierge de l'immeuble résidentiel veut
en avoir le cœur net. D'où peut bien venir cette odeur ?

Une odeur méphitique, âcre, qui imprègne les vêtements.
Quelle peut donc être la cause de cette réelle puanteur ?
Le concierge se cache dans la montée de l'escalier.
De là, entre les deux battants de la porte, il guette.

Il est dix heure du matin lorsque arrive, en sifflant,
Kevin Pissandlove, du sixième. (Le gars qui fume des pétards
et qui jette les mégots de ses joints depuis son balcon).
Bref, le parasite de l'immeuble résidentiel "Le Printemps".

Kevin Pissandlove, regardant furtivement autour de lui,
se débraguette et se met à pisser dans les jardinières.
Ces pots rectangulaires ou le concierge fait pousser
les magnifiques plantes qui ornent le hall d'entrée.

Tout en lâchant un chapelet de proutes sonores et puants,
Kevin Pissandlove vise soigneusement les beaux Yukas.
Il éclabousse le mur, le carrelage et en met partout.

Surgissant de sa cachette le concierge se précipite.
Remballant son tuyau d'arrosage, mouillant son slip
et son pantalon, le petit salop essaie de se sauver.

Trop tard, monsieur Jean-Paul, qui revient des courses
son cabas à la main, bloque le salopard par le bras.
Kevin Pissandlove, pris en étau entre les deux hommes
se met à gueuler comme le porc qu'il est. Il hurle.

Le concierge lui demande de changer la terre des pots
et de remettre tout en état. Sinon, c'est dépôt de plainte !
< Je vais te donner tout le matériel, gros dégueulasse ! >
Kevin Pissandlove, honteux, jure qu'il fera le nécessaire.

Le salopiot s'y engage. Madame Marthe arrive à ce moment.
Regardant la coulure de pisse sur le pantalon du bougre,
la Dame comprend immédiatement qu'il y a eu flagrant délit.
Kevin Pissandlove est prié de s'exécuter de suite...

Tout le monde, dans l'immeuble, sait maintenant qui est
l'auteur des nuisances olfactives du halle d'entrée.
Personne ne le salue plus et Kevin Pissandlove a changé son
comportement. Surtout après la visite de la police !


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Ne manquons pas le Volume 2 du Best Off à venir :

< Mr Robert - Les meilleurs moments >

Photo de trickster
trickster (clôturé) il y a 8 ans




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Cher ami et philanthrope


C'est époustouflant !
C'est hilarant !
C'est dégueulassement bon !
C'est électrique pour les encéphales spongieux végétant en ces lieux
C'est insolent et clairvoyant !
C'est bestialement délicieux !
C'est une découverte stupéfiante de la nature humaine !
C'est étonnement ingénieux !
C'est pas pour les cons qui infestent ce forum !
C'est parfois abracadabande !

Je reste très ému et j'en suis à ma seconde lecture, c'est tout simplement le best-off de ce forum merdique...


Amicalement en vous souhaitant une excellente fin de semaine en compagnie de votre " coquine "

Votre obligé admirateur





Photo de morganna
morganna il y a 8 ans

a lire et relire sans modération..

je souscris déjà pour la réception du second volume, assurément.

Photo de truc-machin
truc-machin (clôturé) il y a 8 ans

On dirait "l’œuvre" de Sarkozy, je parle de la démarche. Sourires.

Photo de mr.robert
mr.robert il y a 8 ans

Citation de "trickster"


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Cher ami et philanthrope


C'est époustouflant !
C'est hilarant !
C'est dégueulassement bon !
C'est électrique pour les encéphales spongieux végétant en ces lieux
C'est insolent et clairvoyant !
C'est bestialement délicieux !
C'est une découverte stupéfiante de la nature humaine !
C'est étonnement ingénieux !
C'est pas pour les cons qui infestent ce forum !
C'est parfois abracadabande !

Je reste très ému et j'en suis à ma seconde lecture, c'est tout simplement le best-off de ce forum merdique...


Amicalement en vous souhaitant une excellente fin de semaine en compagnie de votre " coquine "

Votre obligé admirateur






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Cher "trickster"

Vous savez combien je suis sensible à vos considérations.
Aussi, une fois encore, enchanté par votre petit mot,
je vous en témoigne toute ma profonde reconnaissance.

Il est vrai que nous ne sommes pas nombreux à savoir nous
exprimer par l'écrit. De plus, nous qui savons le faire
avec tant d'élégance, de classe et, il faut le préciser,
de talent, nous attendons d'êtres étonnés par d'autres.
Espoirs souvent déçus...

Soyons attentif au postulat suivant.
Certes, nos interventions sont souvent brillantes.
Elles sont supérieures et volent loin au-dessus
des pitoyables échanges qui se font ici.

Mais nous devons rester conscients de ce phénomène.
Ce qui s'échange ici, les commentaires et les pré;occupations,
sont d'un niveau tellement inférieur aux possibilités humaines
que nos écrits semblent soudain dignes du Prix Nobel de Littérature.

Illusion, cher "trickster", vous le savez bien !
Ce n'est que parce que le nombre de crétins est ici
tellement élevé, que nous autres, esthètes, nous semblons
si extraordinairement brillants.

J'en veux pour exemple le commentaire
déposé à l'étage au-dessus par un de ces crétins
laborieux que nous retrouvons sur la plupart des forums !
Crétin fumeux qui poste un peu partout
même sous les sujets dont il ne comprend
vaguement que l'intitulé.

Cher "trickster", trop rare ami virtuel
revevez, une fois encore, l'expression de
ma fidèle considération.

Votre obligé, (et dévoué)

Photo de trickster
trickster (clôturé) il y a 8 ans



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Cher "collègue"


A l'instar d'Akatsuki no Kanenari qui était un gesakusha d'Osaka utilisant le nom de Shikanosha Mahagi quand il rédigeait des poèmes , vous êtes un gesakusha du Smail , c’est-à;-dire un écrivain de diverses formes littéraires populaires.
Cependant, je ne contribue pas aux récits de l’album du Dojosmail reproduit ici, me limitant à quelques interventions rassemblées à la fin de vos volumes et à l’unique page d’introduction. Aussi, mon investissement dans votre album pourrait paraître exceptionnel : aucune autre collection de mes élucubrations, n’est connue. Je préfère agir en tant que chroniqueur des lieux célèbres .

Il existe, pourtant, un ouvrage comportant des vues parallèles, il se peut que l’on se soit basé dessus, à moins que les similitudes ne soient fortuites, mais cette fois-ci les vues se rapportent aux rives de ce forum - depuis la formidable participation de Josiane Frouchiez jusqu’à l’embouchure des deux hémisphères cérébraux de Benoît Chauzemol - qui sont dessinées avec tant de détails que le bruit des rames est presque audible et, à la manière dont sonne vos récits, tu peux quasi sentir la présence antérieure des miyakodori « qui se sont posés ici et qui chantent ».
Une amie ayant entendu que je faisais sans cesse l ’éloge de vos récits et, sur ce, il me fut demandé d’incorporer mes louanges dans une brève préface, ce que je ne pus refuser.






Déchargement de bateaux à Hachiéchikensmail’ya, lieu d’hébergement des bateliers. Sur la rive éloignée, se tient le marché aux légumes d’Achiénokiwi.
Il approvisionne en légumes frais au printemps, en champignons et châtaignes en automne et en mandarines en hiver. En surmontant les entrepôts, on distingue les temples de Kyôkojecon et de Wazachiéshôji




_____________________



kûkai no
fûjitamaishi
Hachiéchikensmail’ya ni
ka no naku yô na
fune agaribito


---------------------


À Hachiéchikensmail’ya,
où le moine Kûkai(*) rendit la vie impossible
aux moustiques,
seuls susurrent
les passagers des bateaux.


_________________________________________________



* Selon une légende, le moine Kûkai (connu à titre posthume sous le nom de Kôbô Daishi, 774-835), fondateur du bouddhisme japonais shingon (« Parole vraie »), chassa les moustiques de cet endroit.






Votre très obligé
Von Trickster




Photo de larchange
larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "trickster"


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Cher ami et philanthrope


C'est époustouflant !
C'est hilarant !
C'est dégueulassement bon !
C'est électrique pour les encéphales spongieux végétant en ces lieux
C'est insolent et clairvoyant !
C'est bestialement délicieux !
C'est une découverte stupéfiante de la nature humaine !
C'est étonnement ingénieux !
C'est pas pour les cons qui infestent ce forum !
C'est parfois abracadabande !

Je reste très ému et j'en suis à ma seconde lecture, c'est tout simplement le best-off de ce forum merdique...


Amicalement en vous souhaitant une excellente fin de semaine en compagnie de votre " coquine "

Votre obligé admirateur







Pourquoi faut-il toujours dégrader les autres pour se sentir intelligent Trickster?
Tu montres là les limites d'un homme cultivé par devoir.
Une mère tyrannique a dû sévir quelque part.
En tout cas, toi, absolument rien d'aristocratique, c'est sûr!
Petit bourgeois coincé, dans une solitude que tu prends pour une marque d'élection.
Encore un qui crèvera, sans avoir été foutu de donner quoi que ce soit à qui ce soit.

Photo de larchange
larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "trickster"

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Cher "collègue"


A l'instar d'Akatsuki no Kanenari qui était un gesakusha d'Osaka utilisant le nom de Shikanosha Mahagi quand il rédigeait des poèmes , vous êtes un gesakusha du Smail , c’est-à;-dire un écrivain de diverses formes littéraires populaires.
Cependant, je ne contribue pas aux récits de l’album du Dojosmail reproduit ici, me limitant à quelques interventions rassemblées à la fin de vos volumes et à l’unique page d’introduction. Aussi, mon investissement dans votre album pourrait paraître exceptionnel : aucune autre collection de mes élucubrations, n’est connue. Je préfère agir en tant que chroniqueur des lieux célèbres .

Il existe, pourtant, un ouvrage comportant des vues parallèles, il se peut que l’on se soit basé dessus, à moins que les similitudes ne soient fortuites, mais cette fois-ci les vues se rapportent aux rives de ce forum - depuis la formidable participation de Josiane Frouchiez jusqu’à l’embouchure des deux hémisphères cérébraux de Benoît Chauzemol - qui sont dessinées avec tant de détails que le bruit des rames est presque audible et, à la manière dont sonne vos récits, tu peux quasi sentir la présence antérieure des miyakodori « qui se sont posés ici et qui chantent ».
Une amie ayant entendu que je faisais sans cesse l ’éloge de vos récits et, sur ce, il me fut demandé d’incorporer mes louanges dans une brève préface, ce que je ne pus refuser.






Déchargement de bateaux à Hachiéchikensmail’ya, lieu d’hébergement des bateliers. Sur la rive éloignée, se tient le marché aux légumes d’Achiénokiwi.
Il approvisionne en légumes frais au printemps, en champignons et châtaignes en automne et en mandarines en hiver. En surmontant les entrepôts, on distingue les temples de Kyôkojecon et de Wazachiéshôji




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kûkai no
fûjitamaishi
Hachiéchikensmail’ya ni
ka no naku yô na
fune agaribito


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À Hachiéchikensmail’ya,
où le moine Kûkai(*) rendit la vie impossible
aux moustiques,
seuls susurrent
les passagers des bateaux.


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* Selon une légende, le moine Kûkai (connu à titre posthume sous le nom de Kôbô Daishi, 774-835), fondateur du bouddhisme japonais shingon (« Parole vraie »), chassa les moustiques de cet endroit.






Votre très obligé
Von Trickster






il n'en a rien à foutre de toi connard! tu n'arriveras pas à la cheville des textes de cet homme là!

Photo de larchange
larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "mr.robert"Chers amis

Afin de rassembler les perles dont je suis l'auteur, sans prétention, mais avec lucidité, je vous propose de retrouver tous nos grands moments.

Illustrant ainsi l'évidente pertinence de cette maxime :
Nous ne sommes jamais mieux servis que par nous-même.

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Il se masturbe devant les vaches du père Grégoire

Les gendarmes de Jouy-sur-Lucette ont procédé dimanche
à l'arrestation d'un exhibitionniste.

Ce dernier, le pantalon descendu, se masturbait devant les
vaches du père Grégoire.

Depuis quelques semaines, le père Grégoire avait constaté
que le lait de ses vaches tournait dès la traite.

Désirant en avoir le cœur net, le père Grégoire s'est dissimulé
derrière l'étable dans l'enclos de ses 60 vaches.

Il a immédiatement prévenu les forces de l'ordre qui sont
intervenues toutes affaires cessantes.

D'après certains témoignages, l'individu se serait livré aux
même agissement devant les chèvres de monsieur Seguin.

Une analyse ADN est en cours car les juments du centre
hippique ont une curieuse démarche depuis quelques temps.

Des témoins affirment que l'individu s'en prenait également
aux poules des poulaillers de la région.

Pour le moment, les truies de l'élevage industriel de porcs
de Saint-Martelin, ne présentent aucun signe d'agressions
sexuelles.

Lorsque la gendarmette s'est présentée, l'exhibitionniste,
écartant les pans de son déguisement de Dark Vador, s'est
exclamé : < Et un sabre laser comme celui-là, tu en as
déjà vu ma cocotte ? >.

L'individu a été déféré au parquet après dépôt d'une plainte.
La plainte est toujours près du parquet...



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Notre exhibitionniste a été relaxé au bénéfice du doute.
En effet, aucun texte de loi ne sanctionne ces faits.

Le père Grégoire, furax, s'est écrié : < Salop ! >
A la sortie de sa garde à vue, l'exhibitionniste à rigolé.

L'exhibitionnisme devant animaux n'est pas un délit.
Aussi, notre lascar a déjà été vu au jardin zoologique.

Madame Marthe, la boulangère, s'est écrié : < C'est une honte ! >


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Il braque la boulangerie, braguette ouverte

C'est à la boulangerie que le braqueur s'est fait prendre.
C'est la jeune vendeuse qui a reconnu Benoît Chauzemolle.

Le braqueur, ayant oublié de fermer sa braguette,
était occupé à récupérer les petits pains au chocolat.

Debout, sur la pointe des pieds, pour attraper les
petits pains, Benoît Chauzemolle n'a pas fait attention.

Dans son effort, son sexe a soudain jaillit !
Les clientes de moins de 25 ans étaient admiratives.
Les autres ont préféré détourner les yeux.
Toutes ont vu le membre du braqueur. Très moyen...

C'est à ce moment là que la jeune vendeuse a reconnu
Benoît Chauzemolle.
En effet, Benoît, sur son sexe a un tatouage.
Un tatouage qui est familier à la jeune vendeuse.

Découvrant l'ancre de marine, tatouée juste au-dessus
de la formule " A Lulu pour la vie", la jeune vendeuse
s'est rappelée s'être amusée avec l'objet, samedi soir.

Malgré son masque de Dark Vador, la jeune vendeuse
a donc bien reconnu Benoît Chauzemolle.

La gendarmerie n'a donc eu aucun mal à mettre
la main sur l'individu. La gendarmette était ravie.

La totalité du butin a pu être récupéré.
160 pains au chocolat. 170 pains au pudding.
Par contre, les croissants ont tous été mangés.

Le braqueur a été placé en garde à vue...


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Elle fait une fellation au pilote de l'Airbus A380


Panique dans la tour de contrôle vers trois heure du matin.
Un Airbus A380 tourne depuis deux heures autour de la piste.

Restant à une altitude constante de 800 pieds,(250 mètres),
l'avion décrit un cercle autour de l'aire d'atterrissage.

Les opérateurs de la tour de contrôle ne parviennent pas
à établir un contact avec le pilote ou avec le co-pilote.

Il est tout simplement impossible d'avoir une réponse.
Par contre, de curieux gargouillis se font entendre.

Ce qui ressemblerait à des gémissements ou encore à des
gloussements résonne de façon régulière dans les haut-parleurs.

L'inquiétude est à son comble au sol. Les secours sont là.
L'Airbus transporte plus de 450 passagers. Il y a une angoisse.

C'est vers quatre heure du matin qu'enfin l'avion atterrit.
Tout semble en ordre et les passagers sortent dans le calme.

Les derniers à sortir de l'avion sont le pilote et l'hôtesse.
Le pilote ferme sa braguette et l'hôtesse s'essuie la bouche.

Convoqués le lendemain au bureau de la direction, le pilote
et l'hôtesse ont avoué s'être offert un peu de bon temps.

< J'avais envie de planer en avion ! > aurait avoué le pilote.
< On voulait s'envoyer en l'air ! > aurait confié l'hôtesse.

La compagnie décidera de la suite à donner à cette affaire...


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Il trempe son sexe dans le café de la dame

C'est vers 15 h, hier, vendredi, que l'individu a sévi.
L'homme est arrivé sur sa mobylette qu'il a garé correctement.

Il s'est approché de la terrasse de la Brasserie.
Longuement, les témoins l'ont vu errer sans but.

C'est un peu comme s'il guettait quelqu'un ou quelque chose.
Parfois, il se grattait l'entre-jambes avec insistance.

Soudain, ouvrant sa braguette, l'inconnu sortit son sexe.
Un petit sexe ridicule qui amusa beaucoup Josiane Frouchiez.

S'avançant entre les deux rangées de tables il se mit à hurler.
Tenant des propos incohérents, il s'approcha de Denise Foutrar.

Là, en beuglant, il trempa son sexe dans sa tasse de café.
Denise Foutrar, écœurée, repoussa la tasse avec dégoût.

Un des serveurs, se saisissant du quidam, le maîtrisa.
L'inconnu se mit à pisser sur tout le monde en hurlant.

Un car de police s'arrêta, alerté par l'agitation et les cris.
L'homme étrange fut conduit dans le véhicule de la police.

Au poste, l'individu ne donna aucune explication rationnelle.
Il se contenta de secouer la tête et de répéter inlassablement :
< Ils ont échappé au pire ! J'aurais pu chier aussi ! >


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Ils creusent des trous dans les parcs pour chier

Les riverains, excédés par les agissements de certains
individus ont prévenu la police qui est venue constater.

En observant la pelouse, on peut imaginer un champs de taupes.
En effet tous ces petits monticules de terre sont bucoliques.
Leurs présences attirent immédiatement l'attention.

Doutant de la bonne foi des riverains du parc, la police
a tout de même voulu en avoir le cœur net.
Surveillance nocturne.

C'est vers minuit qu'ils arrivent, armés de pelles et de P.Q.
Ils sont environs une centaine. Leurs ethnies, dans le noir,
ne sont pas formellement identifiables. Mais on s'en doute !

Alignés en rang d'oignons, ils creusent au rythme d'un
instrument à percussion dont joue l'un des leurs en psalmodiant.

Puis, toujours alignés, ils baissent leurs pantalons, culs au-dessus du trou, ils comptent jusqu'à trois et défèquent.

Résonne le bruit caractéristique du cake que l'on démoule
puis c'est le silence. Ils se torchent en murmurant.

Ils ramassent leurs pelles et rebouchent les trous.
Ils s'en vont. Puis arrivent les femmes. Même rituel.

Souvent, en plus du caca, dégouline de la cyprine qui brille.
Pas de doute, ce sont des meufs. L'odeur est la même. Parfois,
les coulures laiteuses et visqueuses restent au bord du trou.

Elles rebouchent leurs trous et repartent en psalmodiant.
Arrivent les gosses. Un peu plus bruyants et joueurs.
Là, c'est diarrhées, chiures et merdouilles. Dans l'euphorie.

Bref, tout ce cirque dure environ une heure.
La rangée de mottes de terre avance inexorablement.
Cela rappelle des alignements de petits soldats !

C'est ainsi que, doucement, tous les parcs de Paris
changent d'aspect, de configuration et de décoration.
Jour après jour...

Il y a déjà des images visibles sur les réseaux sociaux.
La civilisation du caca apporte sa culture dans notre beau pays.

Qu'en est-il des parcs de Marseille, de Strasbourg
ou encore de Calais ? Ah ! Calais, ça doit être beau à voir !

Force est de constater qu'ils commencent
sérieusement à nous emmerder...


Sans même évoquer le fait que lorsque le promeneur
marche "dedans", ça lui colle à la godasse !

C'est comme les crachats sur les trottoirs, lors
de certaines périodes, tu ramènes du mollard glaireux
chez toi.

Maintenant ils y en a qui se complaisent autant dans
leurs chiures que dans leurs glaviaux...


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Il fait des trous dans le fromage avec le doigt

C'est la responsable du rayon "Frais" qui l'a surpris.
Depuis quelques semaines des clients venaient se plaindre.

Des caissières faisaient également remonter l'information.
La gérante du Super U a donc décidé de prendre des mesures.

Madame Josiane Frouchiez, la gérante a donné des consignes.
Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage était prévenu.

Discrètement dissimulé derrière les congélateurs à glaces,
Denise Foutrar surveillait son rayon. Les boîtes de camembert.

L'individu est arrivé vers dix heure, ce matin de mardi.
Posant son sac à provision, il tâtait quelques fromages.

Ouvrant les couvercles de chacune des boîtes, il sortait les fromages. A l'arrière, il enfonçait son index profondément.

Chaque fromage, percé, marqué au cul, était remis dans sa boîte.
Le quidam refermait la boîte en y remettant le couvercle.

Il se reniflait le doigt en haussant les épaules et
en marmonnant. L'essuyant discrètement au manteau des clientes.

Ce qui parut rapidement étrange au personnel, c'était la marque de camembert choisie. Toujours la même. Jamais une autre.

En effet, ce n'était qu'une seule et même marque qui semblait être la cible du quidam : les camemberts "Président".

Lorsque Denise Foutrar intervint pour demander à l'inconnu
s'il comptait acheter les fromages troués de son doigt, ce
dernier, comme outré, scandalisé, se mit à hurler !

Reprenant son sac à provisions, il quitta le rayon en gueulant :
< Le Président, je lui mets le doigt ! >

Josiane Frouchiez, cachée derrière les panières, observant la scène, reste sans voix...


Aux dernières nouvelles, le quidam a une "spécialité".

Avant de pratiquer ses actes de terrorismes fromagers,
il se rend toujours aux toilettes du supermarché.

Là, dans la solitude carrelée, bercé par la musique lénifiante,
il s'enfonce le doigt dans le cul. Profondément en tournant.

S'étant laissé poussé l'ongle de l'index plus que de raison,
il peut ainsi consciencieusement racler son intimité.

Sous son ongle long, il y a suffisamment de miasmes,
de petites "parti-cul" ou de molécules pour "contaminer".

Ce stock de petites "choses" sous l'ongle, bien collées au doigt,
il peut assurer une dizaine de trous avant de retourner au WC.

C'est Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage
qui l'a suivi tout au long du processus créatif qui l'affirme.

Il va "recharger" son doigt tous les dix camemberts.


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Elle met ses poils de cul dans l'assiette des clients



Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi.

Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame
Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant.

Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs
ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités
mitonnées avec amour par un Chef réputé.

C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu,
que les choses ont commencé à changer. A se dégrader.

Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre.
Parfois même on entendait des insultes biens senties !

Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables,
tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire.

C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain
que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils !

En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots
"lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc...

En échangeant leurs impressions avec des voisins de table,
quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients
trouvaient également des poils dans leurs assiettes.

Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans
tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils !

La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements.
Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils
avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage.

L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats.
Le laboratoire était formel, les analyses indéniables.

C'étaient des poils de cul !

La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales,
présentaient des petits "grelots" collés aux racines !

La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire
du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le
personnel.

Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la
coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron !

En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être
profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant.

Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler"
le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi.

Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et
gastronomique connue sous la formule amusante de :

LE POIL DE CUL DU CHEF

Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les
toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences...

Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de
leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de
gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes.

Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien
regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition :

< C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! >

Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter,
elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >


La plupart des clients, découvrant les faits
dans les journaux régionaux, se sont écriés :
< C'était donc ça, ce goût particulier ! >.

A ce jour, aucune plainte n'a été déposée.
Le patron est prêt à pardonner à son épouse.

Celle-ci a promis de ne plus recommencer.
Ses copines, aux culs malades, sont un peu déçues.
Elles aimaient bien partager leurs "soucis"...


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Des glaçons au sperme dans son congélateur

Benoît Chauzemol, aime à concocter des glaçons au sperme.
Glaçons au sperme qu'il conserve dans son congélateur.
Lorsque Benoît est invité à des soirées "étudiantes",
dans une glacière, il emmène avec lui ses fameux glaçons.

Arrivé sur place, il demande à mettre ces glaçons au frais.
Il se propose de s'occuper du bar. En bénévole bien sûr.
Là, tranquillement, Benoît peut agir à sa guise. Barman !
Amusé, il écoute les conversations des filles. Etonnantes.

Benoît, sournoisement, oriente les conversations.
Il évoque parfois les rapports génitaux buccaux. La fellation.
Amusé, il entend des filles prétendre que jamais, oh non
jamais, elles ne pratiquent ce genre de choses...

Benoît, ravi, observe alors longuement ces jeunes filles.
Il les regarde déguster leurs boissons contenant les glaçons.
Souvent, ce sont les plus frimeuses qui consomment le plus.
Coca, jus de kiwi, nectar de mangue et toujours les glaçons !

Pour la fabrication de ses glaçons, Benoît suit sa recette.
Toujours la même. Dans un gobelet contenant de l'eau,
notre ami se masturbe tranquillement. Puis il verse le
contenu du gobelet dans le bac à glaçons du congélateur.

Les glaçons se conservent indéfiniment avec leur contenu.
Benoît garde jalousement ce secret car il lui procure
d'incroyables fous rires et des moments étonnants.
En écoutant toutes ces étudiantes bon-chic et bon-genre.

Les glaçons au sperme, une spécialité très appréciée.
Tant par les barmans plein d'humour que par les farceurs.
C'est d'ailleurs une "pratique" assez fréquente. Tant dans
les soirées étudiantes que dans les "Clubs" parties !


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Il pisse dans les plantes du concierge


Il pisse dans les plantes du concierge de l'immeuble


Depuis quelques jours l'odeur, dans le hall d'entrée
de l'immeuble "Le Printemps", devient pestilentielle.

Madame Marthe, du quatrième étage, se plaint
depuis plusieurs jours auprès du concierge.
Monsieur Maurice, retraité de la SNCF, habitant au
troisième étage, sent l'odeur depuis l'ascenseur.

Denise Foutrar, la dame du cinquième étage, se
pince le nez en passant dans le hall d'entrée.
Benoît Chauzemol, lorsqu'il rentre de son jogging,
le soir, est incommodé jusqu'à l'envie de vomir.

Josiane Frouchiez, la jeune femme du second étage,
lorsqu'elle rentre le soir, est prise de nausées.
Le concierge de l'immeuble résidentiel veut
en avoir le cœur net. D'où peut bien venir cette odeur ?

Une odeur méphitique, âcre, qui imprègne les vêtements.
Quelle peut donc être la cause de cette réelle puanteur ?
Le concierge se cache dans la montée de l'escalier.
De là, entre les deux battants de la porte, il guette.

Il est dix heure du matin lorsque arrive, en sifflant,
Kevin Pissandlove, du sixième. (Le gars qui fume des pétards
et qui jette les mégots de ses joints depuis son balcon).
Bref, le parasite de l'immeuble résidentiel "Le Printemps".

Kevin Pissandlove, regardant furtivement autour de lui,
se débraguette et se met à pisser dans les jardinières.
Ces pots rectangulaires ou le concierge fait pousser
les magnifiques plantes qui ornent le hall d'entrée.

Tout en lâchant un chapelet de proutes sonores et puants,
Kevin Pissandlove vise soigneusement les beaux Yukas.
Il éclabousse le mur, le carrelage et en met partout.

Surgissant de sa cachette le concierge se précipite.
Remballant son tuyau d'arrosage, mouillant son slip
et son pantalon, le petit salop essaie de se sauver.

Trop tard, monsieur Jean-Paul, qui revient des courses
son cabas à la main, bloque le salopard par le bras.
Kevin Pissandlove, pris en étau entre les deux hommes
se met à gueuler comme le porc qu'il est. Il hurle.

Le concierge lui demande de changer la terre des pots
et de remettre tout en état. Sinon, c'est dépôt de plainte !
< Je vais te donner tout le matériel, gros dégueulasse ! >
Kevin Pissandlove, honteux, jure qu'il fera le nécessaire.

Le salopiot s'y engage. Madame Marthe arrive à ce moment.
Regardant la coulure de pisse sur le pantalon du bougre,
la Dame comprend immédiatement qu'il y a eu flagrant délit.
Kevin Pissandlove est prié de s'exécuter de suite...

Tout le monde, dans l'immeuble, sait maintenant qui est
l'auteur des nuisances olfactives du halle d'entrée.
Personne ne le salue plus et Kevin Pissandlove a changé son
comportement. Surtout après la visite de la police !


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Ne manquons pas le Volume 2 du Best Off à venir :

< Mr Robert - Les meilleurs moments >


je suis mort de rire! A me faire mal au ventre! putain t'es un génie toi! jamais ri autant depuis longtemps!

Photo de trickster
trickster (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "larchange"Citation de "trickster"

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tu n'arriveras pas à la cheville des textes de cet homme là!



C'est pas faux

Photo de larchange
larchange (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "trickster"

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Cher "collègue"


A l'instar d'Akatsuki no Kanenari qui était un gesakusha d'Osaka utilisant le nom de Shikanosha Mahagi quand il rédigeait des poèmes , vous êtes un gesakusha du Smail , c’est-à;-dire un écrivain de diverses formes littéraires populaires.
Cependant, je ne contribue pas aux récits de l’album du Dojosmail reproduit ici, me limitant à quelques interventions rassemblées à la fin de vos volumes et à l’unique page d’introduction. Aussi, mon investissement dans votre album pourrait paraître exceptionnel : aucune autre collection de mes élucubrations, n’est connue. Je préfère agir en tant que chroniqueur des lieux célèbres .

Il existe, pourtant, un ouvrage comportant des vues parallèles, il se peut que l’on se soit basé dessus, à moins que les similitudes ne soient fortuites, mais cette fois-ci les vues se rapportent aux rives de ce forum - depuis la formidable participation de Josiane Frouchiez jusqu’à l’embouchure des deux hémisphères cérébraux de Benoît Chauzemol - qui sont dessinées avec tant de détails que le bruit des rames est presque audible et, à la manière dont sonne vos récits, tu peux quasi sentir la présence antérieure des miyakodori « qui se sont posés ici et qui chantent ».
Une amie ayant entendu que je faisais sans cesse l ’éloge de vos récits et, sur ce, il me fut demandé d’incorporer mes louanges dans une brève préface, ce que je ne pus refuser.






Déchargement de bateaux à Hachiéchikensmail’ya, lieu d’hébergement des bateliers. Sur la rive éloignée, se tient le marché aux légumes d’Achiénokiwi.
Il approvisionne en légumes frais au printemps, en champignons et châtaignes en automne et en mandarines en hiver. En surmontant les entrepôts, on distingue les temples de Kyôkojecon et de Wazachiéshôji




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kûkai no
fûjitamaishi
Hachiéchikensmail’ya ni
ka no naku yô na
fune agaribito


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À Hachiéchikensmail’ya,
où le moine Kûkai(*) rendit la vie impossible
aux moustiques,
seuls susurrent
les passagers des bateaux.


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* Selon une légende, le moine Kûkai (connu à titre posthume sous le nom de Kôbô Daishi, 774-835), fondateur du bouddhisme japonais shingon (« Parole vraie »), chassa les moustiques de cet endroit.






Votre très obligé
Von Trickster






Narcissisme, narcissisme, narcissisme...tu disparaitras dans l'amour de toi...sors de toi-même, petit fonctionnaire des Arts et des Lettres.
Lis Kafka et écris comme lui...et détruis tout quand tu auras composé ton chef d'oeuvre! en es tu capable petit Ilote des Arts et des Lettres? tu commenceras alors seulement à comprendre ce que c'est le génie.

Photo de trickster
trickster (clôturé) il y a 8 ans



bon là j'ai le nem tout flasque du coup, et mon temps en ces lieux touche à sa fin donc je vais me préparer ma soupe
épluche


Participants

Photo de mr.robert Photo de morganna