|
Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi. Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant. Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités mitonnées avec amour par un Chef réputé. C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu, que les choses ont commencé à changer. A se dégrader. Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre. Parfois même on entendait des insultes biens senties ! Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables, tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire. C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils ! En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots "lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc... En échangeant leurs impressions avec des voisins de table, quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients trouvaient également des poils dans leurs assiettes. Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils ! La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements. Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage. L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats. Le laboratoire était formel, les analyses indéniables. C'étaient des poils de cul ! La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales, présentaient des petits "grelots" collés aux racines ! La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le personnel. Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron ! En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant. Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler" le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi. Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et gastronomique connue sous la formule amusante de : LE POIL DE CUL DU CHEF Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences... Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes. Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition : < C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! > Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter, elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >
|
|
karambar1968 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "mr.robert" Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi. Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant. Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités mitonnées avec amour par un Chef réputé. C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu, que les choses ont commencé à changer. A se dégrader. Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre. Parfois même on entendait des insultes biens senties ! Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables, tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire. C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils ! En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots "lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc... En échangeant leurs impressions avec des voisins de table, quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients trouvaient également des poils dans leurs assiettes. Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils ! La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements. Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage. L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats. Le laboratoire était formel, les analyses indéniables. C'étaient des poils de cul ! La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales, présentaient des petits "grelots" collés aux racines ! La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le personnel. Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron ! En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant. Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler" le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi. Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et gastronomique connue sous la formule amusante de : LE POIL DE CUL DU CHEF Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences... Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes. Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition : < C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! > Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter, elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! > toujours delicieux
|
|
Citation de "mr.robert" Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame Josiane Frouchiez Madame Foutrechiez... s'est épilée... Je songe au caca qui sèche, accroché aux poils qui tapissent le pourtour de mon trou de balle...
|
|
La plupart des clients, découvrant les faits dans les journaux régionaux, se sont écriés : < C'était donc ça, ce goût particulier ! >. A ce jour, aucune plainte n'a été déposée. Le patron est prêt à pardonner à son épouse. Celle-ci a promis de ne plus recommencer. Ses copines, aux culs malades, sont un peu déçues. Elles aimaient bien partager leurs "soucis"...
|
|
il y a une petite incohérence dans ce subtil récit : si la patronne a fait appel à ses amies ou si elle est allées récupérer les objets du délit dans les toilettes, comment a-t-on pu en déduire qu'elle était coupable suite à un test ADN ??? Une réponse serait bienvenue et m'éviterait une bonne insomnie Merci d'avance M Robert
|