mr.robert

Elle met ses poils de cul dans l'assiette des clients

il y a 8 ans
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mr.robert il y a 8 ans


Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi.

Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame
Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant.

Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs
ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités
mitonnées avec amour par un Chef réputé.

C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu,
que les choses ont commencé à changer. A se dégrader.

Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre.
Parfois même on entendait des insultes biens senties !

Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables,
tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire.

C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain
que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils !

En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots
"lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc...

En échangeant leurs impressions avec des voisins de table,
quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients
trouvaient également des poils dans leurs assiettes.

Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans
tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils !

La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements.
Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils
avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage.

L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats.
Le laboratoire était formel, les analyses indéniables.

C'étaient des poils de cul !

La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales,
présentaient des petits "grelots" collés aux racines !

La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire
du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le
personnel.

Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la
coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron !

En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être
profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant.

Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler"
le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi.

Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et
gastronomique connue sous la formule amusante de :

LE POIL DE CUL DU CHEF

Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les
toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences...

Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de
leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de
gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes.

Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien
regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition :

< C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! >

Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter,
elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >

Photo de karambar1968
karambar1968 (clôturé) il y a 8 ans

Citation de "mr.robert"
Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi.

Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame
Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant.

Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs
ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités
mitonnées avec amour par un Chef réputé.

C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu,
que les choses ont commencé à changer. A se dégrader.

Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre.
Parfois même on entendait des insultes biens senties !

Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables,
tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire.

C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain
que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils !

En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots
"lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc...

En échangeant leurs impressions avec des voisins de table,
quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients
trouvaient également des poils dans leurs assiettes.

Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans
tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils !

La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements.
Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils
avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage.

L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats.
Le laboratoire était formel, les analyses indéniables.

C'étaient des poils de cul !

La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales,
présentaient des petits "grelots" collés aux racines !

La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire
du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le
personnel.

Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la
coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron !

En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être
profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant.

Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler"
le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi.

Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et
gastronomique connue sous la formule amusante de :

LE POIL DE CUL DU CHEF

Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les
toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences...

Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de
leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de
gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes.

Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien
regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition :

< C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! >

Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter,
elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >


toujours delicieux

Photo de mollasson
mollasson il y a 8 ans

Citation de "mr.robert"

Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez



Madame Foutrechiez... s'est épilée...

Je songe au caca qui sèche, accroché aux poils qui tapissent le pourtour de mon trou de balle...

Photo de mr.robert
mr.robert il y a 8 ans


La plupart des clients, découvrant les faits
dans les journaux régionaux, se sont écriés :
< C'était donc ça, ce goût particulier ! >.

A ce jour, aucune plainte n'a été déposée.
Le patron est prêt à pardonner à son épouse.

Celle-ci a promis de ne plus recommencer.
Ses copines, aux culs malades, sont un peu déçues.
Elles aimaient bien partager leurs "soucis"...

il y a une petite incohérence dans ce subtil récit : si la patronne a fait appel à ses amies ou si elle est allées récupérer les objets du délit dans les toilettes, comment a-t-on pu en déduire qu'elle était coupable suite à un test ADN ???
Une réponse serait bienvenue et m'éviterait une bonne insomnie
Merci d'avance M Robert


Participants

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