Il est temps de revisiter ici notre cher poète qui a participé à offrir à la langue française
quelques belles lettres de noblesse. Ce conteur qui savait amuser la cour du roi Soleil.
Le corbeau et les renards
Traître Macron à l'Elysée perché,
Tenait dans son bec un fromage.
Le brave peuple, par l'odeur alléché,
Lui tient à peu près ce langage :
Hé ! Bonjour monsieur le traître,
Que vous êtes laid, que vous me semblez hypocrite !
Sans mentir, si votre baratin
Se rapporte à vos mensonges,
Vous êtes l'enfoiré numéro un.
A ces mots, le Traître Macron ne se sent pas de joie,
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec pour mentir davantage encore.
Le brave peuple fini par s'en saisir et dit :
Mon traître menteur, apprenez que tout président
vit aux dépens de ceux qui le paient grassement.
Cette leçon vaut bien qu'on te pende haut et court.
Traître Macron, honteux, chiant dans son froc, confus,
jura, mais un peu tard de ne plus se comporter en salaud.