Quand les rats quittent le navire

mr.robert il y a 6 ans

Le Titanic

C'est bien connu, lorsque le navire prend l'eau, les rats le quittent au risque de leur vie.
Ça grouille, ça cavalent dans tous les sens, c'est fébrile, ça se bat, ça se mord, ça se démène.

Il n'y a pas si longtemps, Nicolas Hulot sautait d'un navire lancé à pleine vitesse. Que l'on se rassure.
Une bouée sertie d'or et de diamants flottait au bas du navire. Et l'eau était chaude, claire et limpide.

Hier, c'est Gérard Collomb qui sautait du navire qui n'a toujours pas ralenti sa vitesse de croisière.
Que l'on se rassure. Lui aussi ne plonge pas dans les eaux froides et glaciales. La bouée sertie d'or.

Mais, ce qui doit nous interpeller, nous inquiéter peut-être, c'est ce départ précipité d'un "capitaine".
Quitter un placard doré, aussi bien rémunéré, qui permet de tout savoir sur tout le monde. Etrange.

Justement, Gérard Collomb, connaissant parfaitement les magouilles, aurait-il été pris de peur subite ?
Voit-il se profiler l'iceberg à l'horizon et contre lequel le Titanic se précipite inéxorablement ? Trouille ?

Que peut-il bien se dissimuler derrière une démission obtenue à l'arrachée............. ou au chantage ?
<< Ou tu me laisses partir à Lyon ou je balance toutes tes petites saloperies. Je dénonce tes "plans" ! >>

Notre raison balance vers cette probable hypothèse. Celle de certains politiciens également. Difficile.
Le manque de professionnalisme de l'équipe dirigeante inspire t-elle une telle panique à ses membres ?

Se prépare t-il une grosse saloperie ? Terrorisme ? Vente de la France à un pays à vocation guerrière ?
Une de ses belles saloperies dont nos politiciens sont coutumiers , dont Gérard Collomb se désolidarise ?

Gérard Collomb ne veut-il porter aucune responsabilité dans ce qui se prépare ? Préfère t-il s'enfuir ?
La raison pousse à le penser. Il y a des signes qui ne trompent pas. Et cet amateurisme des dirigeants.

Nul doute qu'il va se passer quelque chose d'une gravité extrême. Et nul doute que tout est préparé.
Ce sont juste quelques rats qui quittent le navire. Ceux qui ne veulent pas êtres mêlés à ce qui se prépare.

Les naïfs, qui gobent les informations officielles rient en s'ecriant : << Encore du "complotisme" ! >>
Les autres se posent de sérieuses questions sur ces curieux phénomènes de désistements étranges...

A suivre, (et de très près)...

bullit77 il y a 6 ans

Vu sous cet angle, jolie analyse.
Mais s'ils ont sauté en route, ce n'est pas à cause de l'eau, mais d'avoir senti un danger.
Moralité : c'est con de fuir à cause d'un danger, puis de fuir de nouveau à cause d'un autre danger.
Dès qu'on fuit un danger, toujours un autre qui nous rattrape.
Raison à laquelle on s'est habitué à vivre dangereusement.
Et beaucoup aiment ça.
Maître Robert, je vous dit dangereusement vôtre !

duschnock il y a 6 ans

Une thèse qui vaut son pesant de cacahuètes et qui court de çi de là sur internet.
Mais il n'y a pas de fumée sans feu, comme on dit...

On raconte aussi qu'en notre beau pays du fromage de tête et de l'amour qui pue bon la campagne et les gaz d'échappements, bientôt les temps ne seront plus aux chansons ni aux petites robes légères, mais à l'orage et au vinaigre, aux dérapages dans les journaux, voire à la fin des haricots du fait de la reprise des attentats, aux traces de pneu dans les calbuts, aux explosions de trouilles et autres bruits de guerre, aux pets bien-pensants et foireux dont nous abreuvent ces pisse-froids de journaleux du quotidien, tandis que chez les comploteurs il faut bien le dire on se frotte les mains et les affaires reprennent, enfin bref, qu'on va en chier encore un bon coup quoi, paraît-il - comme si par ici on se marrait tous les jours et qu'on n'en avait pas déjà plein le ventilo ! Mais bon, ça continu.

Ainsi, tandis que d'un côté les rats quittent le navire, il est vrai, de l'autre les rires ont bel et bien déjà déserté la France et la Navarre.

Quant à vous, mettre, allez vous faire.