Chers amies, chers amis
Cela avait l'air d'être une journée ordinaire pour moi. Une invitation à déjeuner chez des amis proches, rien de bien excitant. Mais comme on dit, il ne faut jamais juger un forum par sa couverture.
Je suis arrivé chez mes amis Bernadette et Francis vers midi. Tous deux étaient aux fourneaux en train de préparer un succulent repas. On discutait joyeusement autour d'un verre quand la sonnette a retenti. C'était elle, la belle inconnue que mes amis avaient invitée. Je vous épargnerai la description détaillée de ses courbes parfaites et de son magnifique sourire, je ne voudrais pas donner des palpitations à certaines lectrices qui sévissent ici même sur ce magnifique forum.
À cette table élégante, entre chandeliers scintillants et discussions animées, je fit la rencontre d'une jeune créature ensorcelante, belle et instruite, elle avait été mariée à un vieux aristo, qui, en mourant, lui avait laissé toute sa fortune. Ses yeux étincelants, sa voix mélodieuse et son rire enchanteur me captivèrent dès le premier regard.
Au cours du repas, nous avons échangé quelques banalités mais cela n'a duré qu'un instant et les heures s'envolèrent aussi légères que les bulles de champagne. Le déjeuner se prolongea dans un mélange de rires, de regards complices et de taquineries amicales entre nous quatre jusqu'à l'après-midi, où notre complicité semblait transcender le temps lui-même... Quand le soleil a commencé à décliner, il était déjà 18 heures. Je ne pouvais pas partir sans demander à cette belle femme si elle voulait me revoir.
C'est ainsi qu'on s'est retrouvés, quelques jours plus tard à < La Chambre Bleue dans le 8e > un restaurant exotique aux saveurs envoûtantes, nous décidâmes de nous lancer dans un jeu audacieux : goûter à chaque plat sans jamais regarder la carte. Une véritable odyssée culinaire où nos papilles explorèrent des contrées inconnues.
Et c'est là, au détour d'une conversation animée et de regards complices, que l'impensable se produisit. Hellène, l'esprit aussi espiègle que séduisant, me proposa une escapade impromptue. Sans hésiter, nous réservèrent une chambre au-dessus, où nous nous évadâmes dans un cocon de luxure et de passion, laissant derrière nous les convenances et les préjugés.
Ainsi, dans un tourbillon de plaisirs et de mystères, nous vécûmes une romance digne des contes les plus effrontés, où chaque instant était une promesse de folie et de félicité.
Nous avons passé des heures à parler, à explorer chaque centimètre de nos corps avec curiosité et passion. Nous étions tellement en phase que nous avions l'impression de nous connaître depuis des années. Sur le canapé apres une fellation d’une vingtaine de minutes je tente de lui caser mon bel outil au bon endroit….
<< SAPERLIPOPETTE >> s’écrie Hellène, la bourgeoise bondit du canapé et se met à vociférer :
<< Petit cochon ! Crois-tu que je vais accepter toutes tes saloperies ! >>
Enfin on s’explique : son défunt n'avait jamais canonné cette donzelle qu'à la façon de certains sodomites et n'avait jamais fait usage du trou habituel.
Vous rendez-vous compte ?
Je ne peux me résigner à mettre mon Gáe Buide dans du « caca » , franchment, à notre époque tout de même, j'avais beau lui expliquer que c'est bien mieux et mordant par « devant » , elle me tourne le dos et fait la gueule !
Cette situation est pénible et son égoïsme risque de me fâcher.
Elle pourrait quand même faire un petit effort et être moins rigide. Dans un couple, chacun doit faire preuve de souplesse !
Le lendemain matin, je suis parti avant qu'elle ne se réveille, laissant un petit mot sur l'oreiller. Mais ce n'était pas un adieu, c'était plutôt une promesse de se revoir très bientôt.
Hellène est encore pucelle à 33 berges ! C'EST INQUIETANT !
Oui .
Que dois-je faire ?
Milord
Modifié il y a 7 mois, le vendredi 19 avril 2024 à 10:51