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Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré.
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polynice (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré. Sans son et Dalila! Mouhahaha! Impropre à la consommation. Motif: indigeste!
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J Citation de "polynice"Citation de "morganna"Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré. Sans son et Dalila! Mouhahaha! Impropre à la consommation. Motif: indigeste! Tout comme ton jeu de mot à la con
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Citation de "morganna"Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré. Au dormir de tous,des eaux et des bois upant ma pièce envoûtante de fumée Entourant seul la table,tournant les feuilles abîmées Sur le vieux registre me passionnais des notes à relire Sous la lumière vacillante de chandelle D'autre figure se faite dessinée Virevoltant la feuille et pèse mon écrit Me songeant au loin,futur et passé M'oubliant du présent,coeur encerclé Ce fait sembler au rêve,m'étant encore levé Le coeur ballottant,chagrin me mordu l'Aiguille s'affaisse,temps lourd au pousser Egaré depuis bon,séparé depuis temps T'attendant au jour nouvel,lueur l'annonçant Fée que tu es, me fait croire que je suis Longue attente sans rien pouvoir au bouger et espoir Me sentirai aisé,prisonnier déchaîné Tends moi la main me sentir libéré.
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iphigenie (clôturé)
il y a 8 ans
Je suis inquiète. Sibelius ne s'est pas extasiée, ni pour l'une ni pour l'autre.
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Citation de "iphigenie"Je suis inquiète. Sibelius ne s'est pas extasiée, ni pour l'une ni pour l'autre. L’inquiétude pourrait aussi venir de ce que l'on trébuche sur les trottoirs mal entretenus de son dire, alors que par ailleurs, j'ai vu de vous des trottoirs beaucoup mieux tenus.
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Citation de "ihi"Citation de "morganna"Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré. Au dormir de tous,des eaux et des bois upant ma pièce envoûtante de fumée Entourant seul la table,tournant les feuilles abîmées Sur le vieux registre me passionnais des notes à relire Sous la lumière vacillante de chandelle D'autre figure se faite dessinée Virevoltant la feuille et pèse mon écrit Me songeant au loin,futur et passé M'oubliant du présent,coeur encerclé Ce fait sembler au rêve,m'étant encore levé Le coeur ballottant,chagrin me mordu l'Aiguille s'affaisse,temps lourd au pousser Egaré depuis bon,séparé depuis temps T'attendant au jour nouvel,lueur l'annonçant Fée que tu es, me fait croire que je suis Longue attente sans rien pouvoir au bouger et espoir Me sentirai aisé,prisonnier déchaîné Tends moi la main me sentir libéré. heyy qui voilà... heureuse de te voir écrire de nouveau ici jolie suite.. j'aime prends la main qui se tend au petit matin traverse le trouble des brumes aurorales et laisse au gré les feuilles de tes écrits Solitude amère qui se déchire avec la nuit les pensées seront de bleu rosé virginales aurore d'un jour qui effacera la douleur en ton sein
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Citation de "morganna"Citation de "ihi"Citation de "morganna"Sur l'éveil de fleurs en silence, déchiffonage des pétales enserrés par la rosée, le chant de l'alouette se laissera muser. Au loin sur l'horizon encore barbouillé je poserai regard et pied. Virevolette aux cent mille reflets aussi légère qu'une pensée de brume, je ne serai qu'écume qui rit à la danse du vent immortelle au coeur et indolente, fée qui habite l'âme aimante. Sur toi endormi je me poserai plume et au matin du crépuscule qui rougeoyera d'un souffle j'ouvrirai les portes sans son. Bercé par mon regard aux reflets d'éternité ton être enfin se trouvera libéré. Au dormir de tous,des eaux et des bois upant ma pièce envoûtante de fumée Entourant seul la table,tournant les feuilles abîmées Sur le vieux registre me passionnais des notes à relire Sous la lumière vacillante de chandelle D'autre figure se faite dessinée Virevoltant la feuille et pèse mon écrit Me songeant au loin,futur et passé M'oubliant du présent,coeur encerclé Ce fait sembler au rêve,m'étant encore levé Le coeur ballottant,chagrin me mordu l'Aiguille s'affaisse,temps lourd au pousser Egaré depuis bon,séparé depuis temps T'attendant au jour nouvel,lueur l'annonçant Fée que tu es, me fait croire que je suis Longue attente sans rien pouvoir au bouger et espoir Me sentirai aisé,prisonnier déchaîné Tends moi la main me sentir libéré. heyy qui voilà... heureuse de te voir écrire de nouveau ici jolie suite.. j'aime prends la main qui se tend au petit matin traverse le trouble des brumes aurorales et laisse au gré les feuilles de tes écrits Solitude amère qui se déchire avec la nuit les pensées seront de bleu rosé virginales aurore d'un jour qui effacera la douleur en ton sein content de te voir de près aussi,magnifique ton imagination.merci! Q'au coeur serait apportée ta main tendue Lumière,couleurs fleurissent,brumes s'envolèrent Ecrits gravés retenus,les échanger écoutés Du beau! pensées jaillissent de vert et rosé Douleur serait effacée de jour ou,de nuit En ce sein d'ihi (alors!) et de Té!
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