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Adorables amies lectrices -
Chers amis lecteurs -
Dans la petite chapelle, à la sortie du bourg, la municipalité organise des concerts les dimanches en soirée. Oh, il n'y a jamais guère plus d'une cinquantaine de spectateurs. Ce sont des concerts donnés par le quatuor à cordes du conservatoire de la ville voisine. Ce sont des moments de grâce. Des instants de sérénité. L'ambiance médiévale d'un intérieur gothique participe de la profonde magie de ces dimanches soirs.
Ce dimanche, au programme, c'est la symphonie No 5 de Ludvig Van Bite-au-Vent. Ces petits concerts dépassent rarement les quarante minutes. C'est encore un véritable enchantement. Ma compagne adore être assise au fond de la chapelle, entre les deux piliers. Elle trouve que c'est l'endroit qui offre les meilleurs sonorités. Elle a sans doute raison. Comme pour toute chose, je me fie toujours à ses conseils, à ses avis et à ses ressentis. Et là, elle peut me tripoter sans risque. Me sortir le Zob sans être vue.
Il fait bien chaud. Le concert prend fin sous un tonnerre d'applaudissements. C'est une fois encore un franc succès. Nous quittons la chapelle pour subir le choc thermique de la fraîcheur humide d'une nuit sans lune. Il est 18 h45. Le froid nous donne souvent l'envie de pisser. Ma compagne m'entraîne par la main dans le vieux cimetière. Ça fait bien cinquante ans que plus personne n'est enterré là. La plupart des stèles et des tombes sont centenaires. Des noms et des dates remontant parfois jusqu'à 1835.
Ma douce compagne s'accroupit soudain. Elle déboutonne la braguette de mon Levi's 501. Elle fouille un peu dans le slip pour en extraire le locataire. Avec la fraîcheur ce n'est pas très agréable. Elle saisit mon sexe à sa base entre le pouce et l'index. Je me concentre. Je bande mou. Je lâche un premier jet fumant qui vient se briser sur le granit du mur arrière de La Chapelle. De sa main virtuose ma complice dirige mes efforts. Nous réalisons notre nouveau Chef-d'œuvre. L'odeur de vapeur de pisse nous monte aux nez. Ça schlingue grave.
C'est au huitième jet que je découvre les personnages mythiques dessinés d'une main de maître. Ma douce compagne est une véritable artiste. J'éprouve encore une fois le sentiment que procure ce privilège de partager sa vie. C'est avec les deux dernières giclées qu'elle dessine le petit chien qui accompagne les héros de cette fresque murale. C'est de toute beauté. Je l'aide à se redresser juste avant que l'ankylose ne la gagne. Je veux remballer le "pinceau". << Mais non ! J'ai pas fini ! >> murmure t-elle en se penchant pour se régaler des derniers reliquats.
Ma complice m'en empêche toujours en saisissant ma queue à pleine main. Elle m'entraîne par le sexe comme par une laisse. Avec le recul, nous admirons cette nouvelle création. C'est réellement magnifique. Sa tête contre mon épaule, elle me masturbe doucement. Elle prend quelques clichés avec son I-phone. La lectrice admirative découvre cette somptueuse réalisation sur la photo ci-dessous. Le lecteur en extase peut admirer l'intensité des formes suggérant les silhouettes des deux célèbres personnages. (Et du clebs)
Maître Robert - (Pisseur mondain)
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Citation de audreyspency
Message supprimé par son auteur ou par la modération.
Tu n'aimes pas tenir la queue de ton mec quand il pisse ?
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