carmencitalarevoila

Deux livres que je vais lire

il y a 9 ans
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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

Achetés hier, ce fut ma journée culturelle, d'abord cinéma et ensuite visite de la bibliothèque .

De Stéphane Morello: Séquestré au Qatar.

Résumé:

La kafala est la loi à laquelle est soumise toute personne extérieure venue résider au Qatar:
Elle protège la personne qui permet de vous y installer, en général l'employeur.
Etant responsable des éventuelles dettes que vous auriez pu contracter durant votre séjour, il est investi du pouvoir de vous interdire de sortir du territoire.
Et pour cela, nul besoin de justification.

Il y aurait plus de 3700 Français au Qatar, attirés par l'Eldorado financier que les Emirats Arabes représentent.
Stéphane Morello, entraineur de football, en est l'un d'entre eux.
Parti tenter sa chance en 2007, il devient employé du Comité Olympique à Doha et connaît un certain succès dans les clubs locaux.
Mais son contrat n'est pas reconduit, les mois dus ne lui sont pas payés et il se voit dans l'impossibilité de renouveler ses papiers sans lesquels, il ne peut ni quitter le territoire, ni se loger.
C'est le début d'un cauchemar administratif et humain, qui durera cinq ans:
Chantage, manœuvres, pressions des institutions locales, complicité de l'ambassade de France..........
Ils sont alors quatre ressortissants à subir cette situation.
Le Qatar devient le point de mire de la presse internationale, mais les intérêts gé;opolitiques l'emporteront sur les lois.


Bon quand je l'aurai lu je vous raconterai comment Stéphane s'en est sorti.

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or_ganza il y a 9 ans

Citation de "carmencitalarevoila"Achetés hier, ce fut ma journée culturelle, d'abord cinéma et ensuite visite de la bibliothèque .

De Stéphane Morello: Séquestré au Qatar.

Résumé:

La kafala est la loi à laquelle est soumise toute personne extérieure venue résider au Qatar:
Elle protège la personne qui permet de vous y installer, en général l'employeur.
Etant responsable des éventuelles dettes que vous auriez pu contracter durant votre séjour, il est investi du pouvoir de vous interdire de sortir du territoire.
Et pour cela, nul besoin de justification.

Il y aurait plus de 3700 Français au Qatar, attirés par l'Eldorado financier que les Emirats Arabes représentent.
Stéphane Morello, entraineur de football, en est l'un d'entre eux.
Parti tenter sa chance en 2007, il devient employé du Comité Olympique à Doha et connaît un certain succès dans les clubs locaux.
Mais son contrat n'est pas reconduit, les mois dus ne lui sont pas payés et il se voit dans l'impossibilité de renouveler ses papiers sans lesquels, il ne peut ni quitter le territoire, ni se loger.
C'est le début d'un cauchemar administratif et humain, qui durera cinq ans:
Chantage, manœuvres, pressions des institutions locales, complicité de l'ambassade de France..........
Ils sont alors quatre ressortissants à subir cette situation.
Le Qatar devient le point de mire de la presse internationale, mais les intérêts gé;opolitiques l'emporteront sur les lois.


Bon quand je l'aurai lu je vous raconterai comment Stéphane s'en est sorti.



Bonjour Carmencita.

Dans un autre genre, moi qui aime les intrigues, les mystères, la
Bonne science fiction ou les policiers.

Mon roman lu pendant mes vacances d'été est :

L'Homme qui rétrécit de Richard Matheson, pas mal du tout.

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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "or_ganza"Citation de "carmencitalarevoila"Achetés hier, ce fut ma journée culturelle, d'abord cinéma et ensuite visite de la bibliothèque .

De Stéphane Morello: Séquestré au Qatar.

Résumé:

La kafala est la loi à laquelle est soumise toute personne extérieure venue résider au Qatar:
Elle protège la personne qui permet de vous y installer, en général l'employeur.
Etant responsable des éventuelles dettes que vous auriez pu contracter durant votre séjour, il est investi du pouvoir de vous interdire de sortir du territoire.
Et pour cela, nul besoin de justification.

Il y aurait plus de 3700 Français au Qatar, attirés par l'Eldorado financier que les Emirats Arabes représentent.
Stéphane Morello, entraineur de football, en est l'un d'entre eux.
Parti tenter sa chance en 2007, il devient employé du Comité Olympique à Doha et connaît un certain succès dans les clubs locaux.
Mais son contrat n'est pas reconduit, les mois dus ne lui sont pas payés et il se voit dans l'impossibilité de renouveler ses papiers sans lesquels, il ne peut ni quitter le territoire, ni se loger.
C'est le début d'un cauchemar administratif et humain, qui durera cinq ans:
Chantage, manœuvres, pressions des institutions locales, complicité de l'ambassade de France..........
Ils sont alors quatre ressortissants à subir cette situation.
Le Qatar devient le point de mire de la presse internationale, mais les intérêts gé;opolitiques l'emporteront sur les lois.


Bon quand je l'aurai lu je vous raconterai comment Stéphane s'en est sorti.



Bonjour Carmencita.

Dans un autre genre, moi qui aime les intrigues, les mystères, la
Bonne science fiction ou les policiers.

Mon roman lu pendant mes vacances d'été est :

L'Homme qui rétrécit de Richard Matheson, pas mal du tout.



Bienvenue ici organza, merci pour l'info
Ici je crois qu'il y a pas mal de rétrécis du cerveau
Dis donc, ton bouquin il ferait pas dans la métamorphose de Kafka
Car là aussi il rétrécit pas mal

Photo de sibelius
sibelius il y a 9 ans

Robert Ménard, maire de Béziers, s'était lui aussi installé au Qatar, voulant y installer un centre d'informations sur les droits de l'homme, ...

Il du déchanter, mais je ne sais pas dans quelles conditions il s'en est sorti ..


http://www.telerama.fr/idees/robert-menard-et-l-etonnante-tentation-du-qatar,44287.php

Robert Ménard et l'étonnante tentation du Qatar
Thierry Leclère Publié le 19/06/2009.

" Le fondateur de Reporters sans frontières (RSF) avait surpris son monde en quittant la tête de son association, en septembre 2008, pour diriger, avec le soutien de l’Altesse du Qatar, un improbable Centre pour la liberté des médias, en pleine pétromonarchie. Empêché de travailler, Robert Ménard envisage maintenant de quitter le navire et de rendre les clés à l’émir.

La carte de visite semblait improbable : Robert Ménard, directeur général du Centre de Doha pour la liberté des médias... D’autant plus improbable que Reporters sans frontières, l’ONG de défense des journalistes fondée en 1985 par le même Robert Ménard, classait régulièrement le Qatar au fin fond du tableau de la liberté de la presse, vers la 80e place !

Mais bon, la tentation de Doha a été la plus forte. En 2007, après une première entrevue, facilitée par des journalistes arabes, avec Cheikha Mozah, la deuxième épouse de l’émir, Robert Ménard croyait déjà en sa bonne étoile qatarie.

Cette femme influente, décrite par ses visiteurs comme une réformatrice – ou une « despote éclairée », c’est selon – avait répondu favorablement, deux jours seulement après leur entrevue, à la proposition du fondateur de RSF : banco pour la création d’un centre, « un refuge pour tous ceux qui risquent leur vie ou leur liberté pour nous informer », comme dit le site Internet, à la condition que les journalistes secourus « n’appellent pas à la violence, qu’ils n’incitent pas à la haine ».

La femme de l’émir s’engageait, à travers sa fondation, à mettre sur la table plusieurs millions de dollars. Une bonne opération de com' pour le petit émirat, patrie de la chaîne d’info Al Jazeera, habitué à soigner son image sur tous les terrains.

“Je veux que le Centre reste indépendant, et pouvoir critiquer le Qatar.
Sinon, il n'a aucune crédibilité.”

Mais la petite équipe réunie autour de Robert Ménard (qui se rendait lui-même au Qatar environ quinze jours par mois) a vite vu la partie qatarie lui mettre des bâtons dans les roues.

En mars dernier, l’ancien secrétaire général de Reporters sans frontières menaçait déjà, sur le site du Nouvel Obs, de quitter Doha, dénonçant la volonté de certains conseillers de l'émir du Qatar de « mettre en place une nouvelle gouvernance où ce serait eux qui auraient la mainmise, où je n'aurais plus mon mot à dire » .

« Je veux que le Centre reste indépendant, et pouvoir critiquer le Qatar » disait-il. « Sinon, le Centre n'a aucune crédibilité. Je ne suis pas un alibi, il fallait prendre quelqu'un d'autre qui accepte d'être servile ».

Le fondateur de RSF n’avait pas digéré – parmi d’autres choses – que le Qatar bloque l’entrée de journalistes menacés (l’un étant iranien) alors que le Centre de Doha était prétendument là pour çà.

En mai dernier, devant un journaliste de l’Agence russe d’information Novosti, Robert Ménard faisait encore semblant d’y croire : « Moi, quand je critique le Qatar, je critique parce que je pense que ça va servir à quelque chose. Bien sûr, je suis optimiste. Le fait même que je puisse dire ça ici, c'est une révolution. Vous croyez qu'en Arabie Saoudite, je peux tenir ce discours-là ? »

Le président du conseil d’administration du Centre de Doha, Sheikh Hamad Bin Thamer Al Thani – qui n’est autre que le président de la chaîne de télévision Al Jazeera – a visiblement tout fait pour bloquer la machine.

Querelle de pouvoir au sein des cercles dirigeants de l’émirat ?

C’est la version donnée par l’entourage de l’ex secrétaire général de RSF.

Robert Ménard, l’« entrepreneur du spectacle de la liberté », comme le définit Jacqueline Aubenas, la mère de Florence, découvre que la liberté de la presse n’est pas soluble dans le pétrole et le gaz qataris.

Le Centre pour la liberté des médias, qui n’a accueilli que deux journalistes en six mois, se vante d’avoir malgré tout aidé financièrement 200 médias et journalistes en difficulté à travers le monde, en leur distribuant plus de 500 000 dollars.

Pas sûr que Robert Ménard soit invité à l’Elysée, lundi, pour la visite d’Etat du très cher (et très bon client) Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani, l'émir du Qatar, et de son Altesse Cheikha Mozah, la « princesse des sables, belle, moderne et cultivée », comme le chante l’hebdomadaire Jeune Afrique. "

Photo de sibelius
sibelius il y a 9 ans

CARMEN, ne lisez pas mon post, merci ! Ca couperait le suspens !

http://www.atlantico.fr/decryptage/stephane-morello-entraineur-foot-sequestre-au-qatar-comment-emirat-se-debarrasse-etrangers-qui-ne-lui-sont-plus-utiles-max-milo-2107369.html


Stéphane Morello, entraîneur de foot séquestré au Qatar : comment l'émirat se débarrasse des étrangers qui ne lui sont plus utiles
"Je suis arrivé en août 2007 pour travailler au Qatar ; j'ai dû payer 250 000 euros en octobre 2013 pour pouvoir en partir."

Extrait de "Séquestré au Qatar", de Stéphane Morello, publié aux éditions Max Milo .

« 8 janvier 2009. Ce jour marquera le début de ma captivité. La veille, je me suis fait virer d’Al-Shamal. Je suis allé au Comité olympique pour accomplir les formalités de départ auprès de Shaheen, le responsable du versement des salaires.

>> A lire également : La loi Kafala, cette disposition juridique qui permet au Qatar d'interdire à toute personne de quitter son territoire de manière totalement arbitraire

La situation me paraît simple : depuis mon arrivée au Qatar je suis employé et sponsorisé par le Comité olympique, comme c’est indiqué sur mon ID. La voiture, la maison, c’est le Comité olympique qui me les a fournies. C’est donc lui qui me doit mes six mois de salaire.

– Non, non, coach, nous, on va te donner un mois de salaire. On te paye jusqu’à la fin janvier et c’est tout.

– Comment ça, c’est tout ? Mon contrat court jusqu’au 31 mai !

– Oui, mais c’est comme ça au Qatar, on te donne un mois.

– Mais vous m’en devez six !

– Nous, on te paye un mois. Si tu veux demander six mois tu vois avec le club.

– Je vois avec le club ? Mais je n’ai jamais reçu mes salaires par le club ! C’est le Comité olympique qui paye !

– Nous, on paye l’entraîneur d’Al-Shamal. Depuis hier, ce n’est plus toi. Si Al-Shamal veut te payer… Va voir le club. Il faut aussi que tu rendes la voiture et les clés de la maison.

– OK, paye-moi et je te rends tout ça.

– Non, il faut d’abord que tu nous rendes la voiture et les clés de la maison. Quand tu nous les auras rendues, on te payera un mois.

– Shaheen, écoute-moi. Ce que tu demandes n’est pas possible. Le Comité olympique n’a toujours pas renouvelé mon ID. Sans ça, tu sais bien que je ne peux pas louer de voiture, aller à l’hôtel et faire les démarches pour déménager mes meubles. Que veux-tu que je fasse ? Je te rends la voiture, la maison, et je reste dans la rue avec ma famille et mes meubles en attendant que tu me payes ?

– OK, vois avec Ali, le directeur.

Apparemment, Shaheen ne savait pas que mon ID n’était plus valable.

Ce cas de figure a engendré une situation pour laquelle il n’est pas en mesure de trouver une solution. Mais l’entrevue avec Ali ne donne rien. Je lui ai expliqué que je ne pouvais pas rendre la voiture et la maison. Il a compris ce que je lui ai dit, mais ne prend aucune décision, ni concernant le paiement des salaires ni concernant le renouvellement de l’ID. Il me laisse la voiture en attendant que ça soit réglé. Réglé ? Mais d’un mot, il peut me verser mon salaire et renouveler mon visa ! Que dois-je faire ?

Je sens que je vais avoir besoin d’aide et me rapproche de l’ambassade. Je suis reçu par un employé du consulat puis on me dirige vers le magistrat de liaison de l’ambassade. Fraîchement nommé, il semble heureux d’être au Qatar, détendu, enjoué, très volubile. Il m’explique que c’est une affaire de droit du travail et me conseille de prendre un avocat.

Il me conseille aussi de prendre contact avec l’UFE, l’Union des Français de l’étranger, et me communique le numéro du président de l’association. Je l’appelle dès ma sortie de l’ambassade.

C’est au siège de sa société que me reçoit Jean-Pierre Marongiu, le président de l’UFE. Il comprend vite ma situation, m’explique que c’est courant, que les choses finissent par s’arranger, mais qu’il faut parfois solliciter la justice qatarie.

Après quelques entrevues, ayant consulté les documents en ma possession, il me conseille de recourir au service d’un avocat. Il me propose de m’aider à payer le montant des honoraires. J’accepte.

Yahia, l’avocat, est confiant. Il est petit, maigre, bavard et sûr de lui. Il me parle comme s’il était la loi. À l’entendre, il ferait condamner l’émir lui-même s’il venait à la transgresser.

Il m’explique qu’il va d’abord envoyer une lettre au club. Ils auront un mois pour répondre. S’ils ne répondent pas, il déposera plainte auprès de la Labour Court. Une sorte de tribunal des prud’hommes. Ensuite, après deux ou trois mois, un expert sera nommé. Un à deux mois après, l’expert rendra un avis… qui sera suivi par le juge lors d’un jugement qui pourrait intervenir d’ici à dix mois. Et on peut faire appel de la nomination de l’expert ou de sa décision, mais ça rallonge encore d’environ dix mois. Comment vais-je faire pour tenir dix mois ? »

Extrait de "Séquestré au Qatar", de Stéphane Morello, publié aux éditions Max Milo, 2015. Pour acheter ce livre, cliquez ici


Stéphane Morello vit actuellement au Qatar avec femme et enfants mais il a changé d'employeur et de métier. Il est désormais Professeur des écoles.


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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

Merci Sibelius
Mais je lirai mon livre

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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

A lire pour ceux que ça intéresse

Le vilain petit Qatar, cet ami qui nous veut du mal

Edition Fayard
De Nicolas BEAU et Jacques Marie BOURGET

Professeur à Paris VII. Nicolas Beau a travaillé au Monde, à Libération, et Au Canard enchaîné avant de fonder le backchich info.

Grand reporter et spécialiste du Moyen Orient, Jacques Marie Bourget a travaillé à France Inter, l'Express et Paris Match.
Il a obtenu le prix scoop pour avoir révélé l'affaire Greenpeace.

RESUME:

Avec ses milliards de dollars à investir, le petit Emirat Qatari achète le PSG, finance les plans de sauvetage pour nos banlieues, soutient notre marché immobilier, et entre au capital de nos entreprises: " Saint Qatar sauvez-nous de la crise" ! implorent nos responsables politiques de tous bords.
Mais pour quelles raisons le Qatar se montre-t-il si généreux avec la France? que risquons nous à accepter les cadeaux d'un "tel ami".

Il y a moins d'un siècle, cette péninsule grande comme la Corse n'était qu'un repaire de pêcheurs de perles.
Depuis que le gaz a surgi sous ses pieds, ce nain est traité en géant, et sa télévision, Al-Jazira, considérée comme la libre expression proche ou Moyen-Orientale. En plongeant dans les secrets du sérail qatari, ce livre révèle les impostures de l'Emir et de son clan.
Non, ce champion des colloques sur la corruption n'est pas un modèle de vertu quand lui même lave l'argent des dictateurs!
Non, cet Etat qui a soufflé sur les braises du printemps arabe, n'a jamais sponsorisé un islam tolérant, pas plus dans nos banlieues qu'au Nord Mali!
Derrière la vitrine occidentale, c'est un ogre Wahhabite qui tient la caisse.

Bonne lecture pour ceux qui l'achèteront, vous verrez qu'à part Carla Bruni refusée en tant que première Dame par l'Epouse de l'Emir, pour avoir posé nue quand elle était top modèle, pas mal comme Ségolène et d'autres ont séjourné dans les palaces, en invitées pour des week-ends de rêve.
J'en ai appris pas mal sur l'hypocrisie de la politique en France

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carmencitalarevoila (clôturé) il y a 9 ans

Ah oui, Sibelius, hallucinante cette histoire de Stéphane Morello, il me reste encore quelques pages à lire, je vais le faire aujourd'hui.
Je n'arrêtais pas en lisant de dire:: putain, je le crois pas
Et mon compagnon m'a demandé tu ne crois pas quoi?
Donc je lui filerai le bouquin.
Il ne lit pas trop, sauf en voyage croisières de trois mois et demis où la bibliothèque sur le Queen Victoria avait 5000 livres, en différentes langues, quand je l'ai vu attaquer "les Bienveillantes" ça a été le pompom
Merci à toi Sibelius pour ton reportage sur Ménard au Qatar, là j'ai appris des choses.


Participants

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