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Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
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kikou
juste de passage aussi pour te remercier de faire preuve d'intellect ici !!!
juste de la poèsie pour ensoleiller notre journée !
merci
bisoussssssssssssssssssssssssssssss
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Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
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Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
t'as raison !!
je me suis régalé à lire tes poèsies !!!
t'(es trop doué !!!
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Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
Trop complexe...
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Citation de "gagnodan"Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
t'as raison !!
je me suis régalé à lire tes poèsies !!!
t'(es trop doué !!!
J en suis même trop jalouse. Une telle dextérité dans le maniement des mots, une telle richesse de variation de vocable, une telle palette de sensations. Extraordinaire !
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Citation de "morganna"Citation de "gagnodan"Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
t'as raison !!
je me suis régalé à lire tes poèsies !!!
t'(es trop doué !!!
J en suis même trop jalouse. Une telle dextérité dans le maniement des mots, une telle richesse de variation de vocable, une telle palette de sensations. Extraordinaire !
n'est il point ??
heuu
tu es encore en dessous de la vérité !!
à lire ses poèmes, victor hugo , vigny et consorts se retournent dans leur tombe!!
lol
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bonjour mr cheval de l'ouest américain !!
lolllll
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Citation de "gagnodan"Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
t'as raison !!
je me suis régalé à lire tes poèsies !!!
t'(es trop doué !!!
Ha ben flute !
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Citation de "morganna"Citation de "mephilto"Citation de "morganna"Le pénitent.
Oh nobles dames blanches qui dansez sur mes campagnes,
offrez moi sitôt le repos de mon âme.
J'ai bourlingué par delà les forts et les flammes,
J'ai perdu l'ensemble de mes ors et ma dame,
J'ai aimé plus que de raison, que le ciel me damne,
Insidieuse la solitude qui me ronge et me gagne.
Les spectres lugubres des usines cyclopes se découpent,
Coiffés de tôt matin de leur opalescente houppe,
Leur rythme cadencé pareil aux soldats en troupe,
Armée des ombres que les pleurs entrecoupent,
Monstres avides qui ont bu mon coeur en leur coupe,
Je tirerai en leur sein une balle de paille et d'étoupe.
Oh nobles dames qui vêtissez de lait et de charme,
Soyez obligeantes, rendez moi plutôt mon âme,
Ma poitrine n'est plus que momie qui se desquame
Ma bouche édentée, jeu du vent qui me condamne.
J'occirai l'impénitent et déposerai toutes mes armes
Si au jour, m'est accordé le pardon de ma femme.
C'est nul et vide de tout !
Mais c'est de la merde !
Trop complexe...
Tu sers a rien !
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lumiererouge (clôturé)
il y a 8 ans
Moi qui écrit des poèmes , je n'arrive pas à entrer dans ceux de Morgana , trop mystique ! mots mal choisis ! ! temps inadapté exct...... bref pour moi de la daube !!!! mais çà c'est mon opinion , d'autres peuvent aimer !!!!
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Y'a pas l'odeur, c'est déjà ça !
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lumiererouge (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "mephilto"Y'a pas l'odeur, c'est déjà ça !
éh ducon , tu sais ce que disent les blacks , quand il y a un truc qui pu ! ils te répondent nous on mangent pas l'odeur !
demande à alain delon , il te dira que la merde est sucré !
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Citation de "lumiererouge"Citation de "mephilto"Y'a pas l'odeur, c'est déjà ça !
éh ducon , tu sais ce que disent les blacks , quand il y a un truc qui pu ! ils te répondent nous on mangent pas l'odeur !
demande à alain delon , il te dira que la merde est sucré !
Pourquoi me racontes tu ta vie, j'm'en talque bordel !
Faut le dire comment pour que vous compreniez ?
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