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Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne.
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loloh2o (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
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Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide
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Citation de "apocope" z'ont aussi de gros moteurs pour que tu puisses t'extasier.
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna" z'ont aussi de gros moteurs pour que tu puisses t'extasier. Intermède didactique... Style pompier : démodé, prétentieux et ridicule. Ringard
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loloh2o (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide vide éphémère par les temps qui court difficile de trouver un endroit solitaire même perdu dans la foret le bruit des machine rugisse au grand dame de ces monde si lointain
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Citation de "apocope"Citation de "morganna" z'ont aussi de gros moteurs pour que tu puisses t'extasier. Intermède didactique... Style pompier : démodé, prétentieux et ridicule. Ringard On s'en serait voulu de mourir sans l'savoir Bien de savoir dresser son portrait.
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Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide vide éphémère par les temps qui court difficile de trouver un endroit solitaire même perdu dans la foret le bruit des machine rugisse au grand dame de ces monde si lointain Confrontation des deux mondes où l'on se cherche en vain Oscillant pareil à la flamme Vivotant d'un peu de nourriture d'âme Lorsque décroîssent le ciel et ses rambardes. Le seul endroit solitaire perdurant Est semble-t-il dans le coeur des non voyants.
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loloh2o (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide vide éphémère par les temps qui court difficile de trouver un endroit solitaire même perdu dans la foret le bruit des machine rugisse au grand dame de ces monde si lointain Confrontation des deux mondes où l'on se cherche en vain Oscillant pareil à la flamme Vivotant d'un peu de nourriture d'âme Lorsque décroîssent le ciel et ses rambardes. Le seul endroit solitaire perdurant Est semble-t-il dans le coeur des non voyants. Ils ont peut etre plus de chance d'imaginer se monde a leur guise le tactile et souvent plus réaliste et la canne difuse
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Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide vide éphémère par les temps qui court difficile de trouver un endroit solitaire même perdu dans la foret le bruit des machine rugisse au grand dame de ces monde si lointain Confrontation des deux mondes où l'on se cherche en vain Oscillant pareil à la flamme Vivotant d'un peu de nourriture d'âme Lorsque décroîssent le ciel et ses rambardes. Le seul endroit solitaire perdurant Est semble-t-il dans le coeur des non voyants. Ils ont peut etre plus de chance d'imaginer se monde a leur guise le tactile et souvent plus réaliste et la canne difuse Mais ne pas voir et ignorer la pesanteur des mots et des maux Sculpter de ses doigts l'argile des fins d'avenir Avoir faim de contours et de délicatesse dès le point du jour
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loloh2o (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles, bercé par les sons incertains des autres aux abois, l'être avance, guerroyant contre son ombre. Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents, obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement, illusoire espoir de changement au point du jour, alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû. Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents l'être prend, se reprend, se perd et se détend. Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir, quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir, spectrale cène des décharnés en manque de devenir. Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne. ne lui reste plus qu'a ouvrir la paume de ca mains a lirent les lignes qui se fractionne se creuse au fil des ans passer a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps. bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide vide éphémère par les temps qui court difficile de trouver un endroit solitaire même perdu dans la foret le bruit des machine rugisse au grand dame de ces monde si lointain Confrontation des deux mondes où l'on se cherche en vain Oscillant pareil à la flamme Vivotant d'un peu de nourriture d'âme Lorsque décroîssent le ciel et ses rambardes. Le seul endroit solitaire perdurant Est semble-t-il dans le coeur des non voyants. Ils ont peut etre plus de chance d'imaginer se monde a leur guise le tactile et souvent plus réaliste et la canne difuse Mais ne pas voir et ignorer la pesanteur des mots et des maux Sculpter de ses doigts l'argile des fins d'avenir Avoir faim de contours et de délicatesse dès le point du jour la pointe des doigts agile et futile se délecte du nectars comme une abeille sur une fleur
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Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Citation de "loloh2o"Citation de "morganna"Au creux de la danse inutile des âmes futiles,
bercé par les sons incertains des autres aux abois,
l'être avance, guerroyant contre son ombre.
Encore et encore, plaçant ses pas dans les précédents,
obéissant au cycle éternel du recommencement du non commencement,
illusoire espoir de changement au point du jour,
alors que le crépuscule finit toujours par avaler son dû.
Ambroisie virginale glissant entre les doigts des vestales
chaleur de la rosée sanguine qui s'éprend des corps indolents
l'être prend, se reprend, se perd et se détend.
Cavalcade effrénée au centre des nuées du vouloir,
quête désespérée dans l'univers de la reconnaissance du savoir,
spectrale cène des décharnés en manque de devenir.
Triste tableau que celui de l'être qui s'ignore et s'anônne.
ne lui reste plus qu'a ouvrir
la paume de ca mains
a lirent les lignes
qui se fractionne
se creuse au fil des ans passer
a voir la différence entre les creux de l'être et ceux du temps.
bribes de rien et de tout qui ne font pas une vie mais un vide
vide éphémère par les temps qui court
difficile de trouver un endroit solitaire
même perdu dans la foret
le bruit des machine rugisse
au grand dame de ces monde si lointain
Confrontation des deux mondes où l'on se cherche en vain
Oscillant pareil à la flamme
Vivotant d'un peu de nourriture d'âme
Lorsque décroîssent le ciel et ses rambardes.
Le seul endroit solitaire perdurant
Est semble-t-il dans le coeur des non voyants.
Ils ont peut etre plus de chance
d'imaginer se monde a leur guise
le tactile et souvent plus réaliste
et la canne difuse
Mais ne pas voir et ignorer la pesanteur des mots et des maux
Sculpter de ses doigts l'argile des fins d'avenir
Avoir faim de contours et de délicatesse dès le point du jour
la pointe des doigts agile et futile
se délecte du nectars
comme une abeille sur une fleur
Ambroisie coulant à même la gorge et les veines
légèreté de l'âme et pesant des traces
vaines accroches sur une page illusoirement vierge
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