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Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante
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domleouf7 (clôturé)
il y a 9 ans
T aurais un corde s il te plait faut que je me pende.lol
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Citation de "domleouf7"T aurais un corde s il te plait faut que je me pende.lol En nylon ou en chanvre ? Ya des promos par 10 mètres
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Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai
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nadjamaagd (clôturé)
il y a 9 ans
KNCitation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai Dommage Jaime pas trop lire ,
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Citation de "nadjamaagd"KNCitation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai Dommage Jaime pas trop lire , Pfffffg. Moi ecrire mots jolis
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nadjamaagd (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "nadjamaagd"KNCitation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai Dommage Jaime pas trop lire , Pfffffg. Moi ecrire mots jolis J'ai bu dans toutes les tasses J'ai goûté à tous les verres J'ai perdu cent fois la face Mais sans rien gagner derrière Goldman Ah j'ai oublier bonsoir ...zaza
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faridoscar68 (clôturé)
il y a 9 ans
Bonsoir morganna ,,si je peux me permettre, ce petit quelque chose,,, merci Comme j’aimais mon ingrate maîtresse, Quoiqu’elle fût sans amour ni pitié, Quoiqu’elle crût trop payer ma tendresse, En m’accablant de sa froide amitié ! Je lui disais, cette beauté si rare, Pour mon tourment, tu la reçus des Dieux ; Et je mourrai, si ton cœur ne répare Les maux cruels que m’ont fait tes beaux yeux. Donne au plaisir le printemps de ta vie : Un âge vient où l’on se sent vieillir, La fleur d’amour alors peut faire envie, Les sens glacés ne peuvent la cueillir. Je vois d’amants une troupe légère Lui prodiguer son encens et ses vœux ; C’est vainement, la cruelle aime à faire Mille rivaux, et pas un seul heureux. Elle soutient qu’Amour est un délire, Fils du désir et de la vanité. L’ingrate ainsi veut renverser l’empire Qui seul élève un trône à sa beauté ! J’allais mourir ; mais la jeune Sylvie Offre à mon cœur jouissance et beauté. Pardonne, Amour ! Mon retour à la vie Sera le prix d’une infidélité. Quoi ! je la fuis et je soupire encore ; Pour l’oublier mes soins sont superflus : À ma douleur je sens que je l’adore, Clin d'oeil,,, Bonne soirée
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Citation de "faridoscar68"Bonsoir morganna ,,si je peux me permettre, ce petit quelque chose,,, merci Comme j’aimais mon ingrate maîtresse, Quoiqu’elle fût sans amour ni pitié, Quoiqu’elle crût trop payer ma tendresse, En m’accablant de sa froide amitié ! Je lui disais, cette beauté si rare, Pour mon tourment, tu la reçus des Dieux ; Et je mourrai, si ton cœur ne répare Les maux cruels que m’ont fait tes beaux yeux. Donne au plaisir le printemps de ta vie : Un âge vient où l’on se sent vieillir, La fleur d’amour alors peut faire envie, Les sens glacés ne peuvent la cueillir. Je vois d’amants une troupe légère Lui prodiguer son encens et ses vœux ; C’est vainement, la cruelle aime à faire Mille rivaux, et pas un seul heureux. Elle soutient qu’Amour est un délire, Fils du désir et de la vanité. L’ingrate ainsi veut renverser l’empire Qui seul élève un trône à sa beauté ! J’allais mourir ; mais la jeune Sylvie Offre à mon cœur jouissance et beauté. Pardonne, Amour ! Mon retour à la vie Sera le prix d’une infidélité. Quoi ! je la fuis et je soupire encore ; Pour l’oublier mes soins sont superflus : À ma douleur je sens que je l’adore, Clin d'oeil,,, Bonne soirée bonsoir bisou.. très joli choix de poème
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Citation de "nadjamaagd"Citation de "morganna"Citation de "nadjamaagd"KNCitation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai Dommage Jaime pas trop lire , Pfffffg. Moi ecrire mots jolis J'ai bu dans toutes les tasses J'ai goûté à tous les verres J'ai perdu cent fois la face Mais sans rien gagner derrière Goldman Ah j'ai oublier bonsoir ...zaza bonsoir ch'tit poulet
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nadjamaagd (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "nadjamaagd"Citation de "morganna"Citation de "nadjamaagd"KNCitation de "morganna"Citation de "romeo-juliette"Citation de "morganna" Sur les flancs des falaises immaculées je verrai les vagues d'écumes s'écraser pluie miroitante de milliers de désirs qui éclatent au jour dans un sourire Impassible corps statique devant leur beauté mes mains caresseront le sable drainé ma robe inondée frôlant le jardin nu de l'avenir à naitre, au passé fourbu Mon coeur serré de loin de toi demeurer je laisserai errer au loin mes pensées l'océan me renvoyant ton image qui fuit bleu grisé des jours qui meurent sans nuits Sous le vent qui attise les mélancolies les ondées me tiendront gente compagnie Sybille debout face aux houles maugréantes ma faiblesse attendra ton âme bienveillante ô que c'est subliment beau Je t'adore N'aie crainte; ô mon âme, les flots ne peuvent t'emmener De mille dangers je suis là pour te protéger. Ta robe inondée laisse transparaître ton beau corps que mes yeux ne cessent de dévorer. Debout sur la plage les pieds nus mouillés Mon corps qui se détache sur le ciel délavé Les embruns viendront se poser doux baisers Sur mon corps livide dans ma robe imprégnée Je danserai pour toi sur le sable inondé Ravissant ton regard mon éphèbe tant aimé Du temps je n'ai peur, mon soleil adoré Me réchauffer, dans tes bras de tendresse je ferai Dommage Jaime pas trop lire , Pfffffg. Moi ecrire mots jolis J'ai bu dans toutes les tasses J'ai goûté à tous les verres J'ai perdu cent fois la face Mais sans rien gagner derrière Goldman Ah j'ai oublier bonsoir ...zaza bonsoir ch'tit poulet Bonsoir zara
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