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Lassitude des mots et des maux
tel le reflux incessant des océans.
Eaux noires qui gobent les étourneaux
tuent l'etre et le coeur au dedans.
Valse gauche du néo.phyte souriceau
falaises ébènes frappées au vent.
Perles chimériques en leur caveau
avancée indéflectible du cadran.
Apre et pesant rude fardeau
gardant les ficelles entre ses dents.
Tue de ta pointe au pommeau
la fatigue cruelle le corps gagnant.
Modifié il y a 8 ans, le vendredi 21 octobre 2016 à 09:33
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kikou ma fée
hummm
la ce poème est un peu torturé !!!!
mais j'apprécie
bisous reconnaissants et doux
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