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Le froid souffle, immature, sur les pas des géants au bas les flots s'écrasent et filent au vent spectres meugissant , pourfendant l'âme des passants. La pluie danse, sensuelle, cruelle, et darde sans pitié les chairs inertes offertes au seuil de l'éternité opalins rires lugubres qui s'élèvent des sols moirés. Elle s'égrène, illusoire, la clepsydre qui étrangle le temps nul lien de cuir ou de sang qui relie le passé au présent évanescences arachnéennes pareilles aux linceuls amants. Glaciale est la course du vent qui souffle les chandelles pourtant j'ouvre mes doigts de sable au delà des dentelles je suis rêve posé sur tes lèvres rouges immortelles.
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Citation de "morganna"Le froid souffle, immature, sur les pas des géants au bas les flots s'écrasent et filent au vent spectres meugissant , pourfendant l'âme des passants. La pluie danse, sensuelle, cruelle, et darde sans pitié les chairs inertes offertes au seuil de l'éternité opalins rires lugubres qui s'élèvent des sols moirés. Elle s'égrène, illusoire, la clepsydre qui étrangle le temps nul lien de cuir ou de sang qui relie le passé au présent évanescences arachnéennes pareilles aux linceuls amants. Glaciale est la course du vent qui souffle les chandelles pourtant j'ouvre mes doigts de sable au delà des dentelles je suis rêve posé sur tes lèvres rouges immortelles. Je marchais au hasard le soir était tombé Avec mon sac et mon clavier j'étais un peu fatigué Tout était si désert, où me désaltérer ? Et puis j'ai vu de la lumière et je vous .................. copier coller ,
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Citation de "gueguce"Citation de "morganna"Le froid souffle, immature, sur les pas des géants au bas les flots s'écrasent et filent au vent spectres meugissant , pourfendant l'âme des passants. La pluie danse, sensuelle, cruelle, et darde sans pitié les chairs inertes offertes au seuil de l'éternité opalins rires lugubres qui s'élèvent des sols moirés. Elle s'égrène, illusoire, la clepsydre qui étrangle le temps nul lien de cuir ou de sang qui relie le passé au présent évanescences arachnéennes pareilles aux linceuls amants. Glaciale est la course du vent qui souffle les chandelles pourtant j'ouvre mes doigts de sable au delà des dentelles je suis rêve posé sur tes lèvres rouges immortelles. Je marchais au hasard le soir était tombé Avec mon sac et mon clavier j'étais un peu fatigué Tout était si désert, où me désaltérer ? Et puis j'ai vu de la lumière et je vous .................. copier coller , lol tu te mets à la poésie ? j'apprécie bonjour bisou
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romeo-juliette (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"
La pluie danse, sensuelle, cruelle, et darde sans pitié
les chairs inertes offertes au seuil de l'éternité
opalins rires lugubres qui s'élèvent des sols moirés.
La pluie danse, sensuelle, cruelle, je la prend
même transite de froid, ma chair se rend
aux caresses bienfaisantes de la course du vent
qui régénère en mon cœur le sang glaçant.
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