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Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière.
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Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Bjr C'est un texte biblique cela &!
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maquis (clôturé)
il y a 8 ans
Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Cà çà ressemble à de la vraie poésie (ou ma montre s'est arrêtée) Très beau texte Morganna Kiko
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Citation de "gueguce"Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Bjr C'est un texte biblique cela &! Mdr..Noël ferait il effet ? Bonjour bisou toi
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Citation de "maquis"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Cà çà ressemble à de la vraie poésie (ou ma montre s'est arrêtée) Très beau texte Morganna Kiko Merci beaucoup Kiko...
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lecavalier (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Vaguement l'impression que voici ta belle attaque Nemesis. Tu souris? tu ris? dommage que je sois trop fatigué ce soir... pas mal quand même, à part la grotte imbue...sauf si imbue signifie : qui n' a pas été bue...ce dont je doute, ma perfide. L'innocent tu le protèges, il vit désormais dans ton sillage, tu fais de l'humanitaire Nemesis, c'est bien. Tu m'as adouci, désormais je l'appelle l'innocent, c'est plus gentil. Tu as failli les faire ces alexandrins! tu voyages enfin vers la perfection. Bravo, tu travailles enfin.
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lecavalier (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Bon je reprends ton poème, après tout je te reproche de ne pas travailler, mais formuler une "critique" en trois mots ce n'est pas non plus beaucoup travailler. Je pourrais aussi jouer le laudateur amoureux transi, mais quel intérêt? Ta première strophe je la trouve somptueuse, je la lis, je la bois, j'aime. je remarque cette antienne chez toi : le ventre, la terre, et je me dis que c'est toi la terre (et le ventre). Bien sûr ici le prédicat : "servile" n'est pas valorisant, mais tu pensais peut-être à une autre terre, à un autre ventre que le tien. la deuxième strophe j'aime moins. II me semble que tu vises quelqu'un, hum... La grotte imbue, non ça ne va pas. Engoncé qui avance...peut faire mieux (à moins que ce ne soit volontaire, cet engoncé,,, tu souris?). Engeance, bon, tu restes dans la même tonalité de sentiments. L'ombre de la lumière...merci.
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Citation de "lecavalier"Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Bon je reprends ton poème, après tout je te reproche de ne pas travailler, mais formuler une "critique" en trois mots ce n'est pas non plus beaucoup travailler. Je pourrais aussi jouer le laudateur amoureux transi, mais quel intérêt? Ta première strophe je la trouve somptueuse, je la lis, je la bois, j'aime. je remarque cette antienne chez toi : le ventre, la terre, et je me dis que c'est toi la terre (et le ventre). Bien sûr ici le prédicat : "servile" n'est pas valorisant, mais tu pensais peut-être à une autre terre, à un autre ventre que le tien. la deuxième strophe j'aime moins. II me semble que tu vises quelqu'un, hum... La grotte imbue, non ça ne va pas. Engoncé qui avance...peut faire mieux (à moins que ce ne soit volontaire, cet engoncé,,, tu souris?). Engeance, bon, tu restes dans la même tonalité de sentiments. L'ombre de la lumière...merci. Bonjouur cavalier... Tu dois encore "travailler" ton analyse.... La terre est coupe de fécondité et de création nous sommes d accord. J'aime la multitude et la stabilité qu elle offre,par opposition au vent qui est inconstant. Mais ce n'est point mon ventre, loin de là. Servile m en serait rabaissant. Le reste.... Cavalier, je te souhaite un excellent réveillon et un joyeux Noël. Pense à cesser de penser ce soir
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lecavalier (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "morganna"Citation de "lecavalier"Citation de "morganna"Incursions byzantines sur le lissé noirci, Luttes d écumes volatiles sans appétit, Enfonce,passant spectral, tes doigts malhabiles, Dans le ventre âpre de cette terre servile. Griffes de sang qui s étalent sur le sein nu De L'aphrodite offerte aux vents et leurs chants. Dans sa grotte imbue battue par les vents, L'être,de sa plume, écrit ses lettres lapidaires Engoncé qui avance et engeance qui se perd, Dans le cri sourd se meut l ombre de la lumière. Bon je reprends ton poème, après tout je te reproche de ne pas travailler, mais formuler une "critique" en trois mots ce n'est pas non plus beaucoup travailler. Je pourrais aussi jouer le laudateur amoureux transi, mais quel intérêt? Ta première strophe je la trouve somptueuse, je la lis, je la bois, j'aime. je remarque cette antienne chez toi : le ventre, la terre, et je me dis que c'est toi la terre (et le ventre). Bien sûr ici le prédicat : "servile" n'est pas valorisant, mais tu pensais peut-être à une autre terre, à un autre ventre que le tien. la deuxième strophe j'aime moins. II me semble que tu vises quelqu'un, hum... La grotte imbue, non ça ne va pas. Engoncé qui avance...peut faire mieux (à moins que ce ne soit volontaire, cet engoncé,,, tu souris?). Engeance, bon, tu restes dans la même tonalité de sentiments. L'ombre de la lumière...merci. Bonjouur cavalier... Tu dois encore "travailler" ton analyse.... La terre est coupe de fécondité et de création nous sommes d accord. J'aime la multitude et la stabilité qu elle offre,par opposition au vent qui est inconstant. Mais ce n'est point mon ventre, loin de là. Servile m en serait rabaissant. Le reste.... Cavalier, je te souhaite un excellent réveillon et un joyeux Noël. Pense à cesser de penser ce soir Tu n'es plus dans la colère la poétesse...ton image est dans la lumière...L'ombre sur toi portée par...qui? a disparu. J'aime travailler. Bon Noël la poétesse, heureux que tu ne sois plus dans l'ombre, que tu sois au contraire aujourd'hui...lumineuse!
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