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Ecouter l'un, sentir l'autre
Ecoutez, elles crépitent, elles chantent, elles vous appellent,
Avez-vous déjà senti leur douceur vous cajoler ?
Connaissez-vous ces flemmes d'un enfer immanent ?
Ouvrez vos oreilles à vos chaleureux baisers.
Lorsqu'elles vous désirent, leur corps ne sait que souffrir
Mais l'âme sait reconnaître une tendre partenaire,
Le fuir serait futile rejet d'une passion à l'élixir
Bien plus enivrant que la ferveur de la prière.
Saches, oh homme sénile qui refuse toujours l'évidence,
Que tu ne peux être autre que la fusion alchimique
Dont le paradoxe de toute vie ensemence.
Ne fais fi de la force nourricière,
Sois Dieu mais jamais être chimérique,
Laisse couler tes sangs, et sois non arbitraire.
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truelover (clôturé)
il y a 19 ans
C'est de toi ?
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et si t'aprécie le style j'en ai un paquet, dans ts les cas je pense en mettre un par jour...si tu en fais aussi n'hésite pas
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truelover (clôturé)
il y a 19 ans
Vaut mieux pas, je sais apprecier mais pas créer.
A moins que tu veux qu'on coule ce forum... (sourire)
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mais voyons, la richesse est dans la diversité...on préfère le beau temps au temps horrageux, on préfère trouver des réponses que poser des questions....moi je dis qu'il y a parfois plus de beauté dans un clochard que dans un chef d'entreprise, qu'un salle temps composé de nuages, pluie, éclairs etc est plus riche qu'il simple ciel bleu et qu'une bonne question ouvre plus l'esprit qu'une réponse définitive.
dans l'espoir que tu changes d'avis
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j'aime beaucoup ton poème...je ne vais pas le disseker avec mes critiques...juste l'apprécier et le relire...
-une fille qui aime les orages-
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Simple partage
Il n'est point d'être qui ne me soit cher
Qu'il s'adonne à l'avarice ou au don de soi.
De multiples pensées et actes font de moi
Bourreau lorsqu'il le faut
Compagnon quand il est bon
Inconnu ou boussole pour l'esprit perdu.
Mais avec toi, rien de tout celà,
Un partage simple, sans Epicurisme,
Car ma seule croyance c'est toi,
Car ma seule religion est la foi en nous.
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Rupture
A l'aube d'une nouvelle ère dans mon existence,
Découvrant l'amour hors de ma résistance
Mon coeur s'ouvre enfin sur ce sentiment double
Faisant fit par regret du plaisir qui trouble.
Je n'ai su partager la joie d'un couple,
Mes yeux n'ont su voir ce bonheur que trop ample
Aveuglant mes sens les plus prompts à me dire
Ce de quoi l'enfant que j'étais n'osait jouir.
Alors je me retourne sur une vie perdue
Songeant à ce que j'ai appris, pour savoir
Que l'être que j'ai été ne sera plus.
J'abandonne la froideur de mes souvenirs,
Je remplis mes pensées de tous les espoirs
Et ébranle toute conviction pour l'avenir.
si vous avez un poème ou des choses à dire sur la vie sentimentale, allez-y !
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Gaule matinale
A l'heure où je vis poindre le jour,
Un doux brouillard d'images subsistait
Quand les flèches argentées de toujours
S'exaltaient à faire danser l'épée.
Ce glaive plus matinal que moi-même
Semblait s'encanailler constamment,
Et alors ne faisant rien par flemme
J'observe l'ascension au firmament.
Quelle joie, quelle jeunesse et quel entrain,
Ai-je donc si peu rêvé que je n'ai
Tant d'énergie à rendre ce matin ;
Perdu dans l'espectatif problème
J'opte pour la vivace muse gantée,
Et m'offre un instant d'érotique thème.
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alors là chapeau j adore ce genre d humour et c est si joliment dit !!! bravo
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Encore,
Cramé irrémédiablement par des pépites rayonnantes,
Je vague à l'occupation illicite sans remord, voie poindre
Un étrange balai d'apparitions, d'images détonnantes,
Toute idée perplexe et subodorante parait être moindre.
Le rêve éveillé crépite, à présent je perds pied,
On ne puis parler de sens, sans se dire niais,
Une fois de plus, ici est le fou des plus grands rois,
C'est à l'image de la décadence de l'époque ma foi.
On ne saurait être plus cul-de-jât ophtalmo
Que je ne suis ainsi effaré par ces inexprimables...
Par Dieu ! tachycardie, que la peste soit défaut.
Ainsi, je déborde d'éclairs et d'orages,
Tant d'énergie en pure perte lancée n'a été,
Jamais, prend parole, je ne saurais être sage.
13/08/2000
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