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Auteur
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Message
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poetic.warrior (clôturé)
il y a 19 ans
QUAND VOTRE BOUCHE
Quand votre bouche
Mes lèvres touchent
Et que ma main
Suit le dessin
De vos deux seins
Sur le chemin
De votre ventre
Vers l'épicentre
De votre corps
Où le trésor
De soie et d'or
Repose et dort
Comme l'archet
Aux fils tressés
Et le violon
A l'unisson
Votre âme et moi
Vibrent de joie
Pour l'amour fou
Sans garde-fou
Pour un émoi
Comme autrefois
Les innocents
Eve et Adam
Poétic Warrior
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powermanolo (clôturé)
il y a 19 ans
je dresse un tertre à l'humilité
je scande les louanges de la vanité
telle raison pour mes idées
la comprehesion des parlers
telle intonnation pour telle humeur
je fais rire j'ai de l'humour
je suis triste je fais pitié
la compassion va aux suicidés
aux suicidaires va l'hypocrisie
sur ma vie on fait des paris
n'a d'importance que l'agit
des motivations s'interrogent l'incompris
ou etes vous fleur bariolée
forêt sombre et enchantée
licorne chevauchée par la fée
je ne veux pas etre compris,
je ne veux pas vous comprendre,
j'aime les sourires, la gaiete
ne soyez pas egoistes riez
tu vis, je vie, ca nous suffit
je porte des armes pour blesser
je n ai pas de larmes a t adresser
je voudrais juste rigoler
bon je vous laisse le soin de mettre la ponctuation
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Et corriger les fautes?
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powermanolo (clôturé)
il y a 19 ans
enjoy
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belle.empoisonneuse (clôturé)
il y a 19 ans
pourquoi avoir posté votre poeme deux fois?
sourire
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une fois au ciel .
la vue est superbement bien ornée de fleurs comme de roses .
dans l oubli des nuages , des étres biens bons et fous de joie .
entre ciel et nuages des joies et coeurs doux sous les eaux du bonheur . ah ! la vie et le soleil qui brille sur tes yeux je vois la mélocolie de l absent .
ah ! toi toi ! le soleil de mon coeur , la vie de mes tripes , le voyage de l étrnel .
t es bien loin de moi meme si je suis la haut sur les cieux des lilas .
t es bien loin de ma voix rude par les cris de joies .
t esloin de moi toi soleil demon coeur . tes loin de moi !
hiver par les mots du pasé. hiver par les maux du doute . loin de mon soleil la joie deumeure comme une flamme dans les braises fondus .
les braises , les flammes et l eau des chutes . que dire ?
des maux des mots des fmalles ou juste soleilqui brille sur les yeux de ma déesse .
loin de moi le coeur deumeru toujous fou . loin de toi j arréte par d essuis mes larmes car ton absence creuse des sillons de larmes .
que faire ? mourir pour t oublié . mourir et vivre dans l espace des etre bons , fous et doux . mourir et ne rien laissé autours . vivre sous l oeille de l autre comme si la joie l importe dans les sillages des rires . soleil !! je te quite loin demesmaux retrouver la vie autre que celles des terriens .
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A toi ... la diamantaire aux pierres qui s’essoufflent
J'ai tant couru vers toi… mes phases immatures
Mon âme est un désert et j'y puise ton eau
Entends !
Même les puits me pleurent ton murmure
Les spectres indécents peuvent rire de moi
J’en aurais fait le tour des nuits qui me ressemblent
Ces nuits comme des jours qu’un souvenir m’envoie
L'absence comme un cri un oubli qui me tremble
A me coller des songes au bord de tes mirages
Cet autre bout de tout quand je joue... "si je meurs "
Quand je me fais fantôme à l'ombre de ta page
Comme une pierre tombale aux larmes qui m’effleurent
Avec cet infini qui me règle ses comptes
Cette ère… Halluciné...
Oui cet infini là !
Ces bouts de solitude où meurent des amantes
Tes mots qui me collaient ...
Qu'un rêve n’entend pas
Ces hiers en ciment bâtissant l’autre monde
Ton ventre où m’allonger ta galaxie d’aimer
Cet amour et puis toi messagère à la ronde
Charriant des étoiles occultées d'un secret
Je te garde l’espace au vide de ma terre
Toi ma fleur(e) lunaire épousée pour longtemps
L’astre de tes baisers sous marinant la mer
Entre mars et vénus l’âme d’un continent
J’ai mis du rêve au chaud des ailes à mon parnasse
Ton élixir au frais un ciel plein tes rayons
Un refuge à ton île et du temps si tu passes
Musiquant des buvards boire dans ma chanson
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