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Poètes.
Allez valse et danse
les mots qui s'alignent en transe.
Jongle et vole
les mots qui affichent leur lignes folles.
De la page blanche qui fût à l'oeuvre qui nait,
les traits incertains des poètes et de leur lait.
Emergeant dans l'astre flamboyant, sa chaleur,
se noyant dans la lactescence de celle qui meurt,
funambules sur leurs cordes de lin et d'astragale
affublés de leur justaucorps d'ombres et de pâles,
fabulistes domptant de leurs doigts les arpents,
prisant dans leurs manches les charmeurs de serpent,
maîtres des maux et d'ambroisie qui le corps grise,
égarant, égarés dans les volutes mauves les âmes éprises...
Douceâtre mélancolie du gousset à l'aiguille arrêtée,
lorsque la rose penche la tête au crépuscule insufflé,
craquement des lames du plancher de bois noirci,
enivrement des effluves échappées du bord de nuit,
Epopée intemporelle des âmes qui ne meurent jamais,
dès lors que l'aurore fraye avec la violacée, ses attraits,
puissance des flots contre l'ébène des vaisseaux perdus,
fantômes cupides qui chacun réclame son hurlant dû.
L'histoire s'écrit seule sous les yeux du lecteur,
prenant naissance à la racine même du coeur.
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Je ne suis pas poete : quand la nuit ouvrent ses ailes, elle me dit que je lui plait....Et c est parti entre les jambes d une tigresse pour un autre type d ivresse
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Citation de "rrloman"T ou chérie?
J'arrive, j'arrive mon coeur
Je me délecte de tes quelques rimes
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Citation de "morganna"Citation de "rrloman"T ou chérie?
J'arrive, j'arrive mon coeur
Je me délecte de tes quelques rimes
Sans blague ...
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Citation de "rrloman"Citation de "morganna"Citation de "rrloman"T ou chérie?
J'arrive, j'arrive mon coeur
Je me délecte de tes quelques rimes
Sans blague ...
Aaaahhh... D'un si haut niveau,...que puis je faire d'autre ?
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Citation de "morganna"Poètes.
Allez valse et danse
les mots qui s'alignent en transe.
Jongle et vole
les mots qui affichent leur lignes folles.
De la page blanche qui fût à l'oeuvre qui nait,
les traits incertains des poètes et de leur lait.
Emergeant dans l'astre flamboyant, sa chaleur,
se noyant dans la lactescence de celle qui meurt,
funambules sur leurs cordes de lin et d'astragale
affublés de leur justaucorps d'ombres et de pâles,
fabulistes domptant de leurs doigts les arpents,
prisant dans leurs manches les charmeurs de serpent,
maîtres des maux et d'ambroisie qui le corps grise,
égarant, égarés dans les volutes mauves les âmes éprises...
Douceâtre mélancolie du gousset à l'aiguille arrêtée,
lorsque la rose penche la tête au crépuscule insufflé,
craquement des lames du plancher de bois noirci,
enivrement des effluves échappées du bord de nuit,
Epopée intemporelle des âmes qui ne meurent jamais,
dès lors que l'aurore fraye avec la violacée, ses attraits,
puissance des flots contre l'ébène des vaisseaux perdus,
fantômes cupides qui chacun réclame son hurlant dû.
L'histoire s'écrit seule sous les yeux du lecteur,
prenant naissance à la racine même du coeur.
Ton écriture ne sera pas farouche
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Citation de "ihi"Citation de "morganna"Poètes.
Allez valse et danse
les mots qui s'alignent en transe.
Jongle et vole
les mots qui affichent leur lignes folles.
De la page blanche qui fût à l'oeuvre qui nait,
les traits incertains des poètes et de leur lait.
Emergeant dans l'astre flamboyant, sa chaleur,
se noyant dans la lactescence de celle qui meurt,
funambules sur leurs cordes de lin et d'astragale
affublés de leur justaucorps d'ombres et de pâles,
fabulistes domptant de leurs doigts les arpents,
prisant dans leurs manches les charmeurs de serpent,
maîtres des maux et d'ambroisie qui le corps grise,
égarant, égarés dans les volutes mauves les âmes éprises...
Douceâtre mélancolie du gousset à l'aiguille arrêtée,
lorsque la rose penche la tête au crépuscule insufflé,
craquement des lames du plancher de bois noirci,
enivrement des effluves échappées du bord de nuit,
Epopée intemporelle des âmes qui ne meurent jamais,
dès lors que l'aurore fraye avec la violacée, ses attraits,
puissance des flots contre l'ébène des vaisseaux perdus,
fantômes cupides qui chacun réclame son hurlant dû.
L'histoire s'écrit seule sous les yeux du lecteur,
prenant naissance à la racine même du coeur.
Ton écriture ne sera pas farouche
mais j'ai connu la tienne plus engageante...
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Citation de "morganna"Poètes.
Allez valse et danse
les mots qui s'alignent en transe.
Jongle et vole
les mots qui affichent leur lignes folles.
De la page blanche qui fût à l'oeuvre qui nait,
les traits incertains des poètes et de leur lait.
Emergeant dans l'astre flamboyant, sa chaleur,
se noyant dans la lactescence de celle qui meurt,
funambules sur leurs cordes de lin et d'astragale
affublés de leur justaucorps d'ombres et de pâles,
fabulistes domptant de leurs doigts les arpents,
prisant dans leurs manches les charmeurs de serpent,
maîtres des maux et d'ambroisie qui le corps grise,
égarant, égarés dans les volutes mauves les âmes éprises...
Douceâtre mélancolie du gousset à l'aiguille arrêtée,
lorsque la rose penche la tête au crépuscule insufflé,
craquement des lames du plancher de bois noirci,
enivrement des effluves échappées du bord de nuit,
Epopée intemporelle des âmes qui ne meurent jamais,
dès lors que l'aurore fraye avec la violacée, ses attraits,
puissance des flots contre l'ébène des vaisseaux perdus,
fantômes cupides qui chacun réclame son hurlant dû.
L'histoire s'écrit seule sous les yeux du lecteur,
prenant naissance à la racine même du coeur.
belle chute !!!!!!!!!!!!! merci pour le partage !! chantes! Morgana chantes!!
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freebird57 (clôturé)
il y a 8 ans
juste bonjour parce que j'y connais rien
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Citation de "freebird57"juste bonjour parce que j'y connais rien
bonjour mon gentil zosiaux. bisou
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Citation de "damiel33"Citation de "morganna"Poètes.
Allez valse et danse
les mots qui s'alignent en transe.
Jongle et vole
les mots qui affichent leur lignes folles.
De la page blanche qui fût à l'oeuvre qui nait,
les traits incertains des poètes et de leur lait.
Emergeant dans l'astre flamboyant, sa chaleur,
se noyant dans la lactescence de celle qui meurt,
funambules sur leurs cordes de lin et d'astragale
affublés de leur justaucorps d'ombres et de pâles,
fabulistes domptant de leurs doigts les arpents,
prisant dans leurs manches les charmeurs de serpent,
maîtres des maux et d'ambroisie qui le corps grise,
égarant, égarés dans les volutes mauves les âmes éprises...
Douceâtre mélancolie du gousset à l'aiguille arrêtée,
lorsque la rose penche la tête au crépuscule insufflé,
craquement des lames du plancher de bois noirci,
enivrement des effluves échappées du bord de nuit,
Epopée intemporelle des âmes qui ne meurent jamais,
dès lors que l'aurore fraye avec la violacée, ses attraits,
puissance des flots contre l'ébène des vaisseaux perdus,
fantômes cupides qui chacun réclame son hurlant dû.
L'histoire s'écrit seule sous les yeux du lecteur,
prenant naissance à la racine même du coeur.
belle chute !!!!!!!!!!!!! merci pour le partage !! chantes! Morgana chantes!!
bien le bonjour, merci bcp..
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