Citation de antioche.lyn
Elle s'en donnait à corps à cris
et pour les uns et pour les autres
Elle était là quand pénurie
vivante de ça telle une apôtre
Un jour elle tomba sur un-con
nu. S'arrêta, se mit en con
sommations ! Quelle chienne de vie con
crue. Mise à zéro par un con
troll !
Perdant tout son sens de la vie
en con-version sans compagnie
pensant, jurant, changeant de con
texte,
s'en alla vent à con
fesses
lol...un large confessionnel..
pour l’abbé...trouduch..
si j'en juge à l'audience...
le monde entier, en pote en ciel..
sourire..
bonnes fêtes..
(je me répète ..mais c'est trop bon à l'âme.....)
sourire..
Modifié il y a 4 ans, le mercredi 25 décembre 2019 à 03:24
Citation de lariebambelle
Il n'est d'amour que sans raisons
De corps d'accord désaccordés
De nudité mal fagotée
Il n'est d'amour que passionné
De tête à queue désorientée
De chair en feu trop consommée.
À bord de mon saint-Aéronef tel un vieux fou un demi-dieu ou un curé dedans sa nef Jésus prêchant depuis sa barque ou bien Noé dans son canot à moteur ou à pédales paraît-il à vapeur aussi comme à voiles battant de l'aile entre deux îles et des nageoires dorso-ventrales entre elles je me jette pêle-mêle de tout en haut des ciels jusqu'au creux des enfers en quelques corps à corps d'avec les vagues océanes volcaniques et féminines au cœur de pierre au goût de terre amer amours amères éphémères et délétères à mourir en chair(e) dans la folie-tempête des flots de mots qui se déchaînent entre eux et dans la guerre amoureuse d'avec les dieux les grands anciens éoliens marins terriens ou souterrains les sans-nom les démons les inconnus et tous les autres moitié-humains moitié-machines et animales
Tel un poisson-volant entre deux éléments
des plus bas-fonds marines
aux plus hauts firmamentes
je cherche ma chemine entre deux continentes
sur d'énormes échines aux dorsales épines
qui me secouent les flancs
entre les seins géants aux têtons-langoustines
aux crevettes-aréoles
qui me montrent les dents et me mordent les lèvres en riant jusqu'au sang
d'un immaculé blanc
lactant
s'en délectant presque jutant
d'où je m'envole
des païennes d'antan des divines prêtresses et antiques déesses
perdu entre leurs fesses
où elles m'acculent
enfin
Jusqu'à ce que Éole ne me balaye d'un vent d'un rien
Citation de schnockdu
À bord de mon saint-Aéronef tel un vieux fou un demi-dieu ou un curé dedans sa nef Jésus prêchant depuis sa barque ou bien Noé dans son canot à moteur ou à pédales paraît-il à vapeur aussi comme à voiles battant de l'aile entre deux îles et des nageoires dorso-ventrales entre elles je me jette pêle-mêle de tout en haut des ciels jusqu'au creux des enfers en quelques corps à corps d'avec les vagues océanes volcaniques et féminines au cœur de pierre au goût de terre amer amours amères éphémères et délétères à mourir en chair(e) dans la folie-tempête des flots de mots qui se déchaînent entre eux et dans la guerre amoureuse d'avec les dieux les grands anciens éoliens marins terriens ou souterrains les sans-nom les démons les inconnus et tous les autres moitié-humains moitié-machines et animales
Tel un poisson-volant entre deux éléments
des plus bas-fonds marines
aux plus hauts firmamentes
je cherche ma chemine entre deux continentes
sur d'énormes échines aux dorsales épines
qui me secouent les flancs
entre les seins géants aux têtons-langoustines
aux crevettes-aréoles
qui me montrent les dents et me mordent les lèvres en riant jusqu'au sang
d'un immaculé blanc
lactant
s'en délectant presque jutant
d'où je m'envole
des païennes d'antan des divines prêtresses et antiques déesses
perdu entre leurs fesses
où elles m'acculent
enfin
Jusqu'à ce que Éole ne me balaye d'un vent d'un rien
En ma terre éternelle qu'au labour incertain
De mes mains aguerries j'en essaime les grains
Qu'en mes pas le sillon suit la trace et l'atteint
Sur mon corps fatigué la pluie fine déteint
Quand au loin la lune au ciel le rejoint
Va le jour se coucher au soir l'étreint.
En ma terre éternelle
Que ton vent paternelle.
...
Modifié il y a 4 ans, le jeudi 26 décembre 2019 à 11:55
Citation de lariebambelle
En ma terre éternelle qu'au labour incertain
De mes mains aguerries j'en essaime les grains
Qu'en mes pas le sillon suit la trace et l'atteint
Sur mon corps fatigué la pluie fine déteint
Quand au loin la lune au ciel le rejoint
Va le jour se coucher au soir l'étreint.
En ma terre éternelle
Que ton vent paternelle.
...
Qu'est ce sein maternel
ce ventre matriciel
qui s'entrouvre de faim
et s'éventre à deux mains
ou d'un doigt quelquefois
d'un baiser délicat
Une bouche sans fin
un profond puits sans fond
ou bien un temple saint
une pierre achoppante - celle des fondations du monde et des humains
Big-Bang originel
ou Néant des néants et preuve du divin
Citation de schnockdu
Qu'est ce sein maternel
ce ventre matriciel
qui s'entrouvre de faim
et s'éventre à deux mains
ou d'un doigt quelquefois
d'un baiser délicat
Une bouche sans fin
un profond puits sans fond
ou bien un temple saint
une pierre achoppante - celle des fondations du monde et des humains
Big-Bang originel
ou Néant des néants et preuve du divin
Uni vers et contre tout
Seul avide et sans repère
Fil de soi pour voix lactée
Un souffle
Le sien
Sa vie
Mon sein.
Saint-dromatique
et dromadaire
apostolique
épistolaire
Priez pour nous pauvres poussières
et misérables vers-de-terre
Abreuvons-nous à la mamelle des chamelières
et désaltérons-nous l’égo au pis des vaches laitières ou des femelles smailiennes de ce désert smailien
où règne la soif et la faim
Où sont donc le pain et le vin
jadis à nous promis ?
Saint-ptomatique répondez-nous !
Ô pneumatique Ô pulmonaire
caoutchoutique
élastomère
Ô pneumonique Ô poitrinaire
siliconique
et polymère
Pardonnez-nous nos trous d’air
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous empuent l’atmosphère
et nous polluent la vue de leur affreux poilu derrière
infernal fessier du diable sorti tout droit du trou d'balle des enfers ou du fin-fond des univers
Inspirons-nous
Exprimons-nous
Aérons-nous les uns les autres
Détendons-nous du slip au nom du dieu humour et du pieux calembour
contre-pétons par le trouduc
et prions le très grand saint patron du machin-truc
de nous vouloir bien absoudre par le biais du bidule-chose
qui nous pendouille entre les jambes et nous châtouille où ça démange
Citation de lariebambelle
A l'ardent frelon le dard épais
Tendu telle la gaule au cerisier
Tournant de l'aile vient pénétrer
La douce abeille toute aprétée
Jambes écartées la raie culière
Qui de souplesse qui tête bêche
Avec la langue et sans la dèche
Vient butiner le p'tit oeillet.
Pauvre pécheur qu'as tu fauté
La messe est dite tu peux prier
C'est au curé de t'pardonner
S'il sait encore le saint baiser.
Citation la raie culière
Quelle belle langue que celle-ci !
Et quel beau langage tout fleuri, si joliment imagé et très fort bien senti...
Quant au saint baiser du curé, je n'ose l'imaginer ici.