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A l'ombre du premier matin, je me penchai roseau souple comme un souffle sur les osiers à plein poumons les embruns parfumés je humai odeurs douces de basilic et de rose mélangées Caresse éphémère portée par le vent éthéré entre les lianes des forêts sombres je glissai rire cristallin entre les herbes grasses égréné je suis le tout et le rien sur le monde déposé Au travers mes mains opalines le sable aéré de par ma voix le chant des oiseaux révélé au creux des rêves, illusoire, je demeurai dans ton coeur de funambule je m'immiscerai
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romeo-juliette (clôturé)
il y a 9 ans
Mains joignant, en prière, en quête de baisers d'ange,
Voix tremblante suppliant et murmurant des mots d'amour
L'odorat respirant à pleins poumons le parfum des âges
Cœur funambulant accueillant l'immission de belle-de-jour.
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Citation de "romeo-juliette"Mains joignant, en prière, en quête de baisers d'ange, Voix tremblante suppliant et murmurant des mots d'amour L'odorat respirant à pleins poumons le parfum des âges Cœur funambulant accueillant l'immission de belle-de-jour. au coeur du parterre de fleurs et de bois je serai le rocher près duquel tu t'assois faicheur sous ta peau par les rayons échauffée je donnerai l'eau pour la tendresse des baisers
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Citation de "morganna"A l'ombre du premier matin, je me penchai
roseau souple comme un souffle sur les osiers
à plein poumons les embruns parfumés je humai
odeurs douces de basilic et de rose mélangées
Caresse éphémère portée par le vent éthéré
entre les lianes des forêts sombres je glissai
rire cristallin entre les herbes grasses égréné
je suis le tout et le rien sur le monde déposé
Au travers mes mains opalines le sable aéré
de par ma voix le chant des oiseaux révélé
au creux des rêves, illusoire, je demeurai
dans ton coeur de funambule je m'immiscerai
Au coin ombragé que je t'attendais
Fine silhouette et l'allure que tu poussais
De tous parfum jaillit, le jardin que j'arrosai
Senteurs vives que répondaient,menthe et giroflée
Vent caressant mon champs fait, le fait ondoyer
Sur ton corps de lionne,des lianes encore serrées
Cristaux d'embruns aux lèvres et de rire liserés
En vraie te dévoilent,sur les miennes le simuler
Tes mains d'effluves chargées,sur mon corps les libéraient
De ta douce et belle voix un chant fin et éthéré
Au creux du giron te glisser,lianes desserrées
Du fond ce funambule,de tes affaires s'immiscerai.
ihi
Modifié il y a 8 ans, le mardi 12 juillet 2016 à 15:08
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Citation de "ihi"Citation de "morganna"A l'ombre du premier matin, je me penchai roseau souple comme un souffle sur les osiers à plein poumons les embruns parfumés je humai odeurs douces de basilic et de rose mélangées Caresse éphémère portée par le vent éthéré entre les lianes des forêts sombres je glissai rire cristallin entre les herbes grasses égréné je suis le tout et le rien sur le monde déposé Au travers mes mains opalines le sable aéré de par ma voix le chant des oiseaux révélé au creux des rêves, illusoire, je demeurai dans ton coeur de funambule je m'immiscerai Au coin ombragé que je t'attendais Fine silhouette et l'allure que tu poussais De tous parfum jaillit, le jardin que j'arrosai Senteurs vives que répondaient,menthe et giroflée Vent caressant mon champs fait, le fait ondoyer Sur ton corps de lionne,des lianes encore serrées Cristaux d'embruns aux lèvres et de rire liserés En vraie te dévoilent,sur les miennes le simuler Tes mains d'effluves chargées,sur mon corps les libéraient De ta douce et belle voix un chant fin et éthéré Au creux du giron te glisser,lianes desserrées Du fond ce funambule,de tes affaires s'immiscerai. Ouvre les yeux sur ce monde qui s'éveille au matin dans les champs, sous le vieux chêne Vois au loin les bandeaux de brumes en veille Respire les airs des fleurs qui s'égrainent je suis le souffle qui passe dans ton cou je suis la caresse follette qui rend fou éphémère sensation qui se joue du temps je virevolterai autour des faux semblants
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Citation de "morganna"Citation de "ihi"Citation de "morganna"A l'ombre du premier matin, je me penchai
roseau souple comme un souffle sur les osiers
à plein poumons les embruns parfumés je humai
odeurs douces de basilic et de rose mélangées
Caresse éphémère portée par le vent éthéré
entre les lianes des forêts sombres je glissai
rire cristallin entre les herbes grasses égréné
je suis le tout et le rien sur le monde déposé
Au travers mes mains opalines le sable aéré
de par ma voix le chant des oiseaux révélé
au creux des rêves, illusoire, je demeurai
dans ton coeur de funambule je m'immiscerai
Au coin ombragé que je t'attendais
Fine silhouette et l'allure que tu poussais
De tous parfum jaillit, le jardin que j'arrosai
Senteurs vives que répondaient,menthe et giroflée
Vent caressant mon champs fait, le fait ondoyer
Sur ton corps de lionne,des lianes encore serrées
Cristaux d'embruns aux lèvres et de rire liserés
En vraie te dévoilent,sur les miennes le simuler
Tes mains d'effluves chargées,sur mon corps les libéraient
De ta douce et belle voix un chant fin et éthéré
Au creux du giron te glisser,lianes desserrées
Du fond ce funambule,de tes affaires s'immiscerai.
Ouvre les yeux sur ce monde qui s'éveille
au matin dans les champs, sous le vieux chêne
Vois au loin les bandeaux de brumes en veille
Respire les airs des fleurs qui s'égrainent
je suis le souffle qui passe dans ton cou
je suis la caresse follette qui rend fou
éphémère sensation qui se joue du temps
je virevolterai autour des faux semblants
Au lever du jour ma face se refuser du miroir
En allant mes sens se lassent,même désespoir
A l'horizon brumeux se jette mon regard chargé d'illusoires
Et ces corolles qui fanent en amant sur leur ombre
Je soufflerai su la glace,te reprendre sur tes traces
T'habiller de tout haillon,tout de ma fortune
t'entourer le cou de giroflées,décors et élixir d'amour
Ta caresse me serait tendre,embrassé et lacé.
ihi
Modifié il y a 8 ans, le mardi 12 juillet 2016 à 15:08
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souffle de vent, souffle de rien qui soulève les feuilles avec entrain qui écarte les coeurs avec dénis et recueille les âmes avec mépris souffle de vie, souffle de tout qui englobe les yeux et les coeurs qui réchauffe l'être avec ardeur et donne lumière à qui veut bonheur souffles qui s'enchevêtrent en dansant dans les volutes de brumes d'argent magie de peu, d'éphémère, de tant dilemne duel des opposés aimants
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Ne souffle pas trop Car tu pues de la gueule Si tu ne buvais que de l’eau Tu serais moins seul
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Citation de "piquenique"Ne souffle pas trop Car tu pues de la gueule Si tu ne buvais que de l’eau Tu serais moins seul j'adore tes mots doux au petit matin lorsque ton lit ressent encore la catin aisé de quémander les services d'autrui peut importe l'odeur lorsqu'on paie le fruit
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piquenique (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Citation de "piquenique"Ne souffle pas trop Car tu pues de la gueule Si tu ne buvais que de l’eau Tu serais moins seul j'adore tes mots doux au petit matin lorsque ton lit ressent encore la catin aisé de quémander les services d'autrui peut importe l'odeur lorsqu'on paie le fruit Eh bien ! Moi, ta poésie niaise Me rappelle monsieur Jourdain Qu’un auteur célèbre aujourd’hui éteint Faisait ânonner à son aise
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