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Christelle aime les séjours en chalet
Lorsque je rencontre Christelle, nous sommes très rapidement attirés l'un par l'autre. Christelle sort d'un divorce pénible et moi d'une séparation difficile. Elle est en séjour ici avec sa maman. Une belle femme d'une soixantaine d'années. Soignée, élégante et pleine d'humour.
Nous sommes dans un chalet où j'aime à rejoindre des amis. Un endroit magnifique à plus de mille deux cent mètres d'altitude. Avec Christelle, depuis trois jours, nous nous tournons autour, à la cuisine, dans le séjour, dans le réfectoire. Comme il y a une quinzaine de personnes, il est délicat de s'isoler dans la grande maison de bois. Nous sommes toutefois dans le même dortoir.
Une excellente ambiance, des éclats de rires et des bons mots ponctuent ces agréables soirées de convivialités. La journée se sont de belles randonnées. Un soir, nous allons marcher sur le sentier qui monte derrière le chalet. Nous devisons agréablement. Debout sur la plate forme du réservoir d'eau, nous admirons cette nuit étoilée. La vue sur la plaine scintillante de lumières est majestueuse.
Soudain Christelle se tourne vers moi. La jeune femme me saisit pour m'attirer à elle. Elle m'embrasse. Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour ! Je me retrouve immédiatement avec une érection folle. < Prends-moi là, dans l'herbe, derrière les rochers ! > me fait-elle en m'entraînant derrière un amas de roches granitiques.
Christelle a trente deux ans. Nous sommes des adultes responsables. Nous savons parfaitement ce qui est bon. C'est très simple d'aller directement "au fond des choses". D'aller "au fondement". Sans hésiter, sans tergiverser, sans faire de manières. La jeune femme se couche au sol. Sans me lâcher elle m'entraîne dans son élan. J'ouvre son pantalon. Elle ouvre le mien. Ces situations souvent coquasses provoquent même parfois des éclats de rire.
Le pantalon aux chevilles, se retournant, se mettant à quatre pattes, Christelle me fait : < Prends-moi par là, j'en ai trop envie ! >. Je suis surpris. Je n'ai strictement aucun penchant pour la spéléologie. Je suis décontenancé. Avec de la salive je mouille mon sexe. M'appliquant au mieux, je pénètre, non sans difficulté, la délicieuse personne. Christelle semble animée d'une fougue passionnée.
La jeune femme surexcitée se met à pousser quelques cris. Témoignage d'une réelle jouissance. Ce qui ne manque pas de résonner dans la montagne d'une étrange manière. La réverbération naturelle n'est pas sans évoquer quelques chansons tyroliennes. Ces chants folkloriques, lyriques et longuement modulés. Christelle est sans doute habitée d'une vocation de "yödler". Une vocation qui s'ignore...
Je m'applique de mon mieux. Je donne même des coups de reins à déboîter le fémur d'un bœuf. La belle, merveilleusement enculée, en est à jouir. Et à en perdre la raison. Tout cela dure un bon moment. Je vais au fond des choses avec conviction. Sans passion. Avec le noble sentiment du devoir qu'il faut accomplir. Je suis un galant homme. Doublé d'un authentique gentleman. Je me comporte donc en hussard. Jusqu'à la garde !
Christelle a un premier orgasme. Je me mets à lui caresser le clitoris. Doucement. Tournant la tête pour m'embrasser, elle me fait : < Tu es un vrai salaud toi ! >. Je lui enfonce l'index et le médius dans le sexe. Jouant de mes doigts, je lui fais : < Tu aimes quand je te fouille ? Salope ? >. En homme serviable, je l'encule jusqu'à la garde. Mes couilles battent contre son croupion. Bâtonnant son arrière train de mon gourdin turgescent. Capitaine tambour...
Au bout d'un nouveau et long moment, arrive ce qui "doigt" arriver, Christelle a un second orgasme. Tout en nous interprétant un grand classique tyrolien en Do majeur. Un concerto qui résonne longuement dans la montagne. La jeune femme interprète la partition avec brio. Jusqu'à la Coda. Ce final grandiose qui enchante tout mélomane averti. Les soupirs, les silences et les appoggiatures sont parfaitement respectés. Virtuose...
Lorsque tout est terminé nous restons allongés une bonne demi-heure. L'herbe devenue humide par la fraîcheur de la nuit chasse toute velléité romantique. Nous revenons nous asseoir sur la plate forme sèche du réservoir. Nous profitons du silence de la nuit pour faire réellement connaissance. Enfin.
Il nous reste quatre jours. Quatre jours d'un séjour dans ce lieu magnifique. Nous sommes enchantés par cette perspective. Toujours prêt à rendre service, altruiste et partageur, je l'encule tous les soirs. Dans la remise à bois. Dans les toilettes. Derrière les rochers. Dans le dortoir. Et même aux cabinets...
Le dernier soir, samedi, pendant que tout ce beau monde déguste une fondue savoyarde, pour récompenser mes ardeurs, Christelle me gratifie d'une pipe magistrale. Les joies de la montagne. Le saucisson. Le fromage aussi ! Dimanche matin, je l'encule un peu dans le dortoir. Nous préparons nos affaires. Nous sommes soudain surpris par le gardien. Amusé, ce dernier nous fait : < Redescendez quand même pour le dessert ! >.
Depuis cet agréable séjour montagnard et bucolique, même si je n'ai aucune attirance pour la pratique, j'aime bien les enculées...
Maître Robert - (Hédoniste mondain)
Tous droits réservés - © - 2020 -
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J'ai vraiment bien aimé, c'est très bien écrit...
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J'ai balayé du regard le texte, et j'ai aperçu les mots "orgasme" "pipe" et "enculé" et donc... je vais attendre d'avoir le bon age pour pouvoir le lire
Dommage
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Citation de alice-2
J'ai balayé du regard le texte, et j'ai aperçu les mots "orgasme" "pipe" et "enculé" et donc... je vais attendre d'avoir le bon age pour pouvoir le lire
Dommage
Passe me voir , je te ferai oublier le tien
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Citation de blonq
Passe me voir , je te ferai oublier le tien
Je n'ai pas envie de grandir, Blonq
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Une lecture émoustillante
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Citation de mr.robert
Christelle aime les séjours en chalet
Lorsque je rencontre Christelle, nous sommes très rapidement attirés l'un par l'autre. Christelle sort d'un divorce pénible et moi d'une séparation difficile. Elle est en séjour ici avec sa maman. Une belle femme d'une soixantaine d'années. Soignée, élégante et pleine d'humour.
Nous sommes dans un chalet où j'aime à rejoindre des amis. Un endroit magnifique à plus de mille deux cent mètres d'altitude. Avec Christelle, depuis trois jours, nous nous tournons autour, à la cuisine, dans le séjour, dans le réfectoire. Comme il y a une quinzaine de personnes, il est délicat de s'isoler dans la grande maison de bois. Nous sommes toutefois dans le même dortoir.
Une excellente ambiance, des éclats de rires et des bons mots ponctuent ces agréables soirées de convivialités. La journée se sont de belles randonnées. Un soir, nous allons marcher sur le sentier qui monte derrière le chalet. Nous devisons agréablement. Debout sur la plate forme du réservoir d'eau, nous admirons cette nuit étoilée. La vue sur la plaine scintillante de lumières est majestueuse.
Soudain Christelle se tourne vers moi. La jeune femme me saisit pour m'attirer à elle. Elle m'embrasse. Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour ! Je me retrouve immédiatement avec une érection folle. < Prends-moi là, dans l'herbe, derrière les rochers ! > me fait-elle en m'entraînant derrière un amas de roches granitiques.
Christelle a trente deux ans. Nous sommes des adultes responsables. Nous savons parfaitement ce qui est bon. C'est très simple d'aller directement "au fond des choses". D'aller "au fondement". Sans hésiter, sans tergiverser, sans faire de manières. La jeune femme se couche au sol. Sans me lâcher elle m'entraîne dans son élan. J'ouvre son pantalon. Elle ouvre le mien. Ces situations souvent coquasses provoquent même parfois des éclats de rire.
Le pantalon aux chevilles, se retournant, se mettant à quatre pattes, Christelle me fait : < Prends-moi par là, j'en ai trop envie ! >. Je suis surpris. Je n'ai strictement aucun penchant pour la spéléologie. Je suis décontenancé. Avec de la salive je mouille mon sexe. M'appliquant au mieux, je pénètre, non sans difficulté, la délicieuse personne. Christelle semble animée d'une fougue passionnée.
La jeune femme surexcitée se met à pousser quelques cris. Témoignage d'une réelle jouissance. Ce qui ne manque pas de résonner dans la montagne d'une étrange manière. La réverbération naturelle n'est pas sans évoquer quelques chansons tyroliennes. Ces chants folkloriques, lyriques et longuement modulés. Christelle est sans doute habitée d'une vocation de "yödler". Une vocation qui s'ignore...
Je m'applique de mon mieux. Je donne même des coups de reins à déboîter le fémur d'un bœuf. La belle, merveilleusement enculée, en est à jouir. Et à en perdre la raison. Tout cela dure un bon moment. Je vais au fond des choses avec conviction. Sans passion. Avec le noble sentiment du devoir qu'il faut accomplir. Je suis un galant homme. Doublé d'un authentique gentleman. Je me comporte donc en hussard. Jusqu'à la garde !
Christelle a un premier orgasme. Je me mets à lui caresser le clitoris. Doucement. Tournant la tête pour m'embrasser, elle me fait : < Tu es un vrai salaud toi ! >. Je lui enfonce l'index et le médius dans le sexe. Jouant de mes doigts, je lui fais : < Tu aimes quand je te fouille ? Salope ? >. En homme serviable, je l'encule jusqu'à la garde. Mes couilles battent contre son croupion. Bâtonnant son arrière train de mon gourdin turgescent. Capitaine tambour...
Au bout d'un nouveau et long moment, arrive ce qui "doigt" arriver, Christelle a un second orgasme. Tout en nous interprétant un grand classique tyrolien en Do majeur. Un concerto qui résonne longuement dans la montagne. La jeune femme interprète la partition avec brio. Jusqu'à la Coda. Ce final grandiose qui enchante tout mélomane averti. Les soupirs, les silences et les appoggiatures sont parfaitement respectés. Virtuose...
Lorsque tout est terminé nous restons allongés une bonne demi-heure. L'herbe devenue humide par la fraîcheur de la nuit chasse toute velléité romantique. Nous revenons nous asseoir sur la plate forme sèche du réservoir. Nous profitons du silence de la nuit pour faire réellement connaissance. Enfin.
Il nous reste quatre jours. Quatre jours d'un séjour dans ce lieu magnifique. Nous sommes enchantés par cette perspective. Toujours prêt à rendre service, altruiste et partageur, je l'encule tous les soirs. Dans la remise à bois. Dans les toilettes. Derrière les rochers. Dans le dortoir. Et même aux cabinets...
Le dernier soir, samedi, pendant que tout ce beau monde déguste une fondue savoyarde, pour récompenser mes ardeurs, Christelle me gratifie d'une pipe magistrale. Les joies de la montagne. Le saucisson. Le fromage aussi ! Dimanche matin, je l'encule un peu dans le dortoir. Nous préparons nos affaires. Nous sommes soudain surpris par le gardien. Amusé, ce dernier nous fait : < Redescendez quand même pour le dessert ! >.
Depuis cet agréable séjour montagnard et bucolique, même si je n'ai aucune attirance pour la pratique, j'aime bien les enculées...
Maître Robert - (Hédoniste mondain)
Tous droits réservés - © - 2020 -
Christelle....
très attirée par toi..
tu veux dire que vous avez la même esthétique..?
hé ben..!
ça doit être un monument...
Christelle...!
sourire...
Modifié il y a 3 ans, le dimanche 13 décembre 2020 à 01:16
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Citation de alice-2
Je n'ai pas envie de grandir, Blonq
Je te bercerai, tracasse
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