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Mélancolie des âmes éteintes, limbes dévotes
Pandémonium affamé d ombres moirées acérées
A chaque éclat de vie, son reflet qui l'efface.
Dans le fracas des déferlantes qui s'immiscent,
Plonge tes mains dedans la terre putride et ses vices
Ressent les battements vides de son coeur éteint.
Gorge toi,avide, de sa vase ,de son ocre sanguine
Offre blancs et couvre corps, cou et poitrine.
Élève des murs à faire courber l'échine
Sculpte à ton image la tourbe et la glaise,
Pose alentours ton armée, soldats de papier
Dans ton monde utopiquement imaginé.
J'envelopperai ton coeur dans des draps épais
Et jetterai aux harpies qui paissent à tes pieds
A se battre, autocrates, elles ne feront qu'amuser.
Éclats de lave rougis de ton coeur asséché
Assourdis par l'écume des rochers pour léchés
L'homme ennarmuré n'est sans doute qu'ombre éthérée.
Encre noire qui s'infiltre insidieuse dans le carmin
Orange sanguine que l'on écrase à la main,
Il y a mille ans qu'est mort le mien.
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airderien1 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Mélancolie des âmes éteintes, limbes dévotes Pandémonium affamé d ombres moirées acérées A chaque éclat de vie, son reflet qui l'efface. Dans le fracas des déferlantes qui s'immiscent, Plonge tes mains dedans la terre putride et ses vices Ressent les battements vides de son coeur éteint. Gorge toi,avide, de sa vase ,de son ocre sanguine Offre blancs et couvre corps, cou et poitrine. Élève des murs à faire courber l'échine Sculpte à ton image la tourbe et la glaise, Pose alentours ton armée, soldats de papier Dans ton monde utopiquement imaginé. J'envelopperai ton coeur dans des draps épais Et jetterai aux harpies qui paissent à tes pieds A se battre, autocrates, elles ne feront qu'amuser. Éclats de lave rougis de ton coeur asséché Assourdis par l'écume des rochers pour léchés L'homme ennarmuré n'est sans doute qu'ombre éthérée. Encre noire qui s'infiltre insidieuse dans le carmin Orange sanguine que l'on écrase à la main, Il y a mille ans qu'est mort le mien. c pas avec des soldat de papiers que tu elimenerais ces harpies morgana!! bonsoir jolie poete!!
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Citation de "airderien1"Citation de "morganna"Mélancolie des âmes éteintes, limbes dévotes Pandémonium affamé d ombres moirées acérées A chaque éclat de vie, son reflet qui l'efface. Dans le fracas des déferlantes qui s'immiscent, Plonge tes mains dedans la terre putride et ses vices Ressent les battements vides de son coeur éteint. Gorge toi,avide, de sa vase ,de son ocre sanguine Offre blancs et couvre corps, cou et poitrine. Élève des murs à faire courber l'échine Sculpte à ton image la tourbe et la glaise, Pose alentours ton armée, soldats de papier Dans ton monde utopiquement imaginé. J'envelopperai ton coeur dans des draps épais Et jetterai aux harpies qui paissent à tes pieds A se battre, autocrates, elles ne feront qu'amuser. Éclats de lave rougis de ton coeur asséché Assourdis par l'écume des rochers pour léchés L'homme ennarmuré n'est sans doute qu'ombre éthérée. Encre noire qui s'infiltre insidieuse dans le carmin Orange sanguine que l'on écrase à la main, Il y a mille ans qu'est mort le mien. c pas avec des soldat de papiers que tu elimenerais ces harpies morgana!! bonsoir jolie poete!! Vas savoir....des fois qu'elles s'etriperaient pour s'étouffer. Bonsoir bisou
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ta-kine (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "morganna"Mélancolie des âmes éteintes, limbes dévotes Pandémonium affamé d ombres moirées acérées A chaque éclat de vie, son reflet qui l'efface. Dans le fracas des déferlantes qui s'immiscent, Plonge tes mains dedans la terre putride et ses vices Ressent les battements vides de son coeur éteint. Gorge toi,avide, de sa vase ,de son ocre sanguine Offre blancs et couvre corps, cou et poitrine. Élève des murs à faire courber l'échine Sculpte à ton image la tourbe et la glaise, Pose alentours ton armée, soldats de papier Dans ton monde utopiquement imaginé. J'envelopperai ton coeur dans des draps épais Et jetterai aux harpies qui paissent à tes pieds A se battre, autocrates, elles ne feront qu'amuser. Éclats de lave rougis de ton coeur asséché Assourdis par l'écume des rochers pour léchés L'homme ennarmuré n'est sans doute qu'ombre éthérée. Encre noire qui s'infiltre insidieuse dans le carmin Orange sanguine que l'on écrase à la main, Il y a mille ans qu'est mort le mien. J'ai lu il n'y a pas longtemps quelque chose qui ressemblait beaucoup à ça. Un hasard sans doute, les mots ne sont que des mots, on les retrouve de partout. Bonne continuation !
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Citation de "ta-kine"Citation de "morganna"Mélancolie des âmes éteintes, limbes dévotes Pandémonium affamé d ombres moirées acérées A chaque éclat de vie, son reflet qui l'efface. Dans le fracas des déferlantes qui s'immiscent, Plonge tes mains dedans la terre putride et ses vices Ressent les battements vides de son coeur éteint. Gorge toi,avide, de sa vase ,de son ocre sanguine Offre blancs et couvre corps, cou et poitrine. Élève des murs à faire courber l'échine Sculpte à ton image la tourbe et la glaise, Pose alentours ton armée, soldats de papier Dans ton monde utopiquement imaginé. J'envelopperai ton coeur dans des draps épais Et jetterai aux harpies qui paissent à tes pieds A se battre, autocrates, elles ne feront qu'amuser. Éclats de lave rougis de ton coeur asséché Assourdis par l'écume des rochers pour léchés L'homme ennarmuré n'est sans doute qu'ombre éthérée. Encre noire qui s'infiltre insidieuse dans le carmin Orange sanguine que l'on écrase à la main, Il y a mille ans qu'est mort le mien. J'ai lu il n'y a pas longtemps quelque chose qui ressemblait beaucoup à ça. Un hasard sans doute, les mots ne sont que des mots, on les retrouve de partout. Bonne continuation ! Un pur hasard oui. Mais merci
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