Chères amies
Quelle ne fut pas ma surprise de recevoir un SMS hier matin. Un SMS me prévenant qu'elle serait libre en soirée et qu'elle viendrait donc me rejoindre.
Elle arriva pour dix neuf heure trente. J'avais préparé un de mes délicieux petit plat végétarien. Malgré que son cocu bouffe du cadavre, elle, depuis qu'elle a découvert les bienfaits du végétarisme ne mange plus de mort.
C'est un prétexte supplémentaire, de la part de son cocu, pour se montrer tel qu'il est, gras, gros, con, inculte et à l'esprit étroit. Hier soir il avait match de foot ! Cela résume le bonhomme...
Après le repas, hier soir, nous nous sommes livrés aux passions de la dame. Sur sa demande, je l'attache avec des menottes sur une chaise. Chevilles et poignets entravés, elle me regarde les yeux pleins de cette reconnaissance qui fait plaisir à voir.
La chaise est percée d'un petit trou parfaitement rond de six centimètres de diamètre. Je peux donc passer un gode fixé à un petit mécanisme électrique. Par le trou, le petit moteur électrique le fait monter et descendre selon le rythme que l'on désire.
Parfois, lorsque je lui retire la sangle qui maintient la boule de caoutchouc dans sa bouche, je lui enfourne mon sexe dans sa bouche gluante. Son menton, plein de salive qui lui coule sur le pull, la chatouille. Aussi, elle me supplie de lui essuyer les coulures. Je n'en fais évidemment rien...
Ensuite, nous sommes passé à la "barre". Debout, menottée à une des poutres apparente de mon salon, je lui écarte les jambes avec une barre maintenue par des chevillères en cuir. Longuement, je la regarde, assis dans le fauteuil de mon bureau.
Elle est belle. C'est une belle brune de trente et un an, mince, grande, athlétique. C'est donc une magnifique attraction, attachée là, dans mon salon.
Là, au bout d'un moment de contemplation admirative, je me lève. Je fixe une barre verticale sur la barre horizontale qui lui écarte les jambes. A l'autre extrémité, il y un gode. Je lui enfonce donc le gode, lentement en la fixant dans les yeux.
Malgré la boule dans la bouche, maintenue par la sangle de cuir, je peux l'entendre gémir de plaisir et de bonheur. Ainsi attachée, les yeux plein de reconnaissance, je peux la voir jouir longuement.
Elle en pisse de plaisir, ratant le seau en plastique bleu que je place pourtant au sol, juste devant les souliers à talons hauts qui habillent avec élégance ses pieds menus. Je passe la serpillère...
Elle adore ces moments intenses. Même si je n'ai pas l'âme d'un vrai "Maître", je m'en tire plutôt bien. Pour terminer, je la détache. Elle me tombe dans les bras, émue et amoureuse.
Je lui passe les menottes et lui fixe les mains derrière le dos. Après l'avoir fait mettre à genoux sur l'épais coussin de velours carmin, je m'installe dans le canapé.
Là, enfin, elle peut me sucer avec cette indicible passion. Je la regarde, les yeux fermés, entrain de se régaler en gémissant. Parfois, en fonction de ce que je lâche, je peux l'entendre glousser de plaisir en déglutissant.
L'éjaculation fut un grand moment. Trois saccades qui secouèrent mon corps d'agréables spasmes. Si je ne lui retire pas la tête, en la tenant par son catogan, elle repart pour un second tour. Je dois donc être vigilant et regarder la pendule.
Hors, son cocu, match perdu ou match gagné, rentrera invariablement pour minuit. Bourré si son équipe a gagné. Bourré si son équipe a perdu. Il faut donc que je la fasse filer pour vingt trois heure trente.
Elle revient mercredi soir pour une nouvelle séance. Pour dix neuf heure trente précise...
Maître Robert