Chères amies lectrices
Voilà donc cette suite tant attendue.
Cette suite qui relate la séance de "retrouvailles" avec une ancienne "complice".
Je publie cette suite avec son consentement. - © -
Bonne lecture.
Le romantisme "Glamour" de la soumission (Episode 2)
Comme convenu, elle est revenue mercredi soir pour dix neuf heure trente. Son cocu ayant entraînement dans son club de foot-ball jusqu'à vingt deux heure trente, nous avions deux bonne heures à consacrer aux plaisirs de madame.
Chères amies lectrices, à tant me lire, vous n'êtes plus sans ignorer à quel point j'aime préparer de délicieux petits repas à mes complices. Aussi, ce mercredi, une fois encore, je me suis donné beaucoup de peine afin de préparer un délicieux petit plat.
Lorsque nous sommes sortis de table, madame m'a demandé de l'attacher aux poutres apparentes de mon salon. Les bras levés, les mains menottées, je lui attachais également les chevilles aux deux extrémités de cette barre qui l'oblige à rester jambes écartées.
Madame adore être "tourmentée" avec tous les égards dues à son rang. Une fois attachée, conformément à sa demande, j'allais m'asseoir dans le fauteuil à côté de la bibliothèque. Là, en sirotant un jus de mangue, j'admirais à la fois mon travail et la Dame. Remarquable spectacle...
Madame était vêtue d'une jupe noire, d'un chemisier mauve, chaussée de souliers à talons hauts, noirs, maintenus par une délicate sangle de cuir autour de ses fines chevilles. Ses longs cheveux en libertés pendaient sur le haut de son dos. Un spectacle épatant !
Au bout d'une dizaine de minutes, la boule de caoutchouc, maintenue dans sa bouche par une sangle qui enserrait délicatement sa tête, laissait déborder de la salive qui coulait sur son menton. Des coulures commençaient à maculer le haut de son chemisier.
C'est son regard, suppliant, qui me poussa à mettre fin à mon observation méditative. Je me levais pour venir m'occuper de ma "captive" volontaire. Passant ma main sous sa jupe, je touchais son sexe pour me rendre compte qu'il était trempé. Je stimulais doucement son petit bouton de plaisir. Ses gémissements ne laissaient subsister aucun doute quand à son état.
J'enfonçais mon index dans sa petite grotte à plaisir. La tête rejetée en arrière, ma coquine se mit à gémir. De la salive, suintant entre la boule de caoutchouc et ses lèvres, coulait partout. J'accélérais mon mouvement. Les sursauts du bassin de la dame ne laissaient aucun doute quand à son bonheur.
Comme toujours, j'avais placé le seau en plastique bleu entre les jambes de la Dame, juste devant la barre horizontale. Je savais que le stimuli de mon doigt allait causer quelques épanchements. Aussi, au bout de quelques minutes d'un mouvement rapide, je sentais le liquide chaud s'écouler sur ma main. Aussitôt, rapidement, je retirais mon doigt.
Comme la dernière fois, madame se mit à pisser un peu n'importe comment. Le jet ratant le seau pour venir se briser un peu plus loin et même sur ma chaussures droite. Cela lui coulait sur les cuisses pour venir faire une flaque sur les lames de mon plancher de chêne. Beaux reflets...
Son regard, plein de reconnaissance, amoureux et humide fixait mes yeux avec insistance. Je savais ce que la Dame désirait à présent. Mais, avant de la détacher, ouvrant ma braguette, me glissant derrière elle, je la pénétrais doucement, avec une infinie tendresse. Ses gémissements reprirent de plus belle.
Je stimulais son clitoris turgescent d'une main, pendant que je la tenais par le menton de l'autre. Je maintenais un rythme régulier, pénétrant profondément la "prisonnière" volontaire. Je restais ainsi, une bonne dizaine de minutes, à lui faire l'amour.
Je me retirais. Je revins me placer devant elle. Ses yeux humides, plein de gratitude, me suppliaient de lui offrir, enfin, ce qu'elle désirait tant. Je la détachais. Je lui retirais la boule de caoutchouc. Son visage, quelques mèches de ses cheveux, étaient trempés de salive. La tenant par ses cheveux, j'entraînais la Dame vers le canapé. Avant cela, je la promenais un peu dans le salon. Elle adore mes attitudes. Surtout quand j'agis ainsi, après lui avoir menotté les poignets derrière le dos.
Je jetais le coussin de velours carmin au sol, devant le canapé où je me vautrais, pantalon à mi-cuisses. Je la forçais à se mettre à genoux sur le coussin. Puis, la maintenant toujours par ses cheveux, j'enfonçais sa bouche sur la rigidité sans condition de mon sexe dressé vers le plafond.
En gémissant de plaisir madame se mit à me sucer avec cette passion qui suscite mon admiration sinon ma dévotion. J'éjaculais une première fois au bout d'une vingtaine de minutes. Madame gloussait de bonheur. Puis, avec cette concentration soudain silencieuse, elle repartait pour un second tour de pompe.
Je surveillais l'horloge Westminster, entre la bibliothèque et le piano.; Son cocu rentrait pour vingt trois heure. Il était déjà vingt deux heure. J'invitais donc ma coquine à prendre ce postulat en considération. Me fixant dans les yeux, soutenant mon regard inquisiteur, la Dame me suçait comme si sa vie en dépendait.
Je lâchais quelques petits jets précis pour admirer ses réactions. Madame déglutissait en gloussant. Parfois avec peine, en toussant, car, un peu vicelard, j'en lâchais une giclé plutôt qu'un jet. Enfin, pour vingt deux heure trente, j'éjaculais une seconde fois. De longs spasmes agitèrent nos deux corps fins et humides.
Dix minutes plus tard, après s'être rendu visage humain à la salle de bain, pendant que je séchais ses cheveux au sêche-cheveux, la Dame fila à toute vitesse pour être à la maison avant son mari. Rendez-vous fut fixé à samedi soir. Son cocu ayant un match de foot-ball, nous aurions toute latitude pour nous offrir une nouvelle séance.
Après son départ, je passais la serpillère...
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Mr Robert