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azalee.zoa (clôturé)
il y a 10 ans
Au JT de 13 heures hier ou avant hier, les journalistes faisaient remarquer qu'en 1998, au moment où la France a gagné la coupe du monde, la cote de Jacques Chirac était remontée de 18 points. Ils en espèrent autant pour François Hollande. A quoi ça tient tout de même!!!! Désolant!
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eros23 (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "azalee.zoa"Au JT de 13 heures hier ou avant hier, les journalistes faisaient remarquer qu'en 1998, au moment où la France a gagné la coupe du monde, la cote de Jacques Chirac était remontée de 18 points. Ils en espèrent autant pour François Hollande. A quoi ça tient tout de même!!!! Désolant! Moi j'ai horreur du foot. Les joueurs sont bien payé juste pour taper dans un ballon.
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astrium14 (clôturé)
il y a 10 ans
Si ces cons mouilaient au moins le maillot sur le terrain.. mais même pas. Leurs prestations sont proportionnelles àleurs prîmes. Le Brésil, prime de qualification (juste un nom sur une liste), hotel 10 étoiles, les putes de luxe, prime de match, prime de etc etc... Et en plus ils trouvent cela normal...
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Citation de "eros23"Citation de "azalee.zoa"Au JT de 13 heures hier ou avant hier, les journalistes faisaient remarquer qu'en 1998, au moment où la France a gagné la coupe du monde, la cote de Jacques Chirac était remontée de 18 points. Ils en espèrent autant pour François Hollande. A quoi ça tient tout de même!!!! Désolant! Moi j'ai horreur du foot. Les joueurs sont bien payé juste pour taper dans un ballon. Je pense exactement comme vous ! ! Et en plus, il faut mobiliser tous les flics de la région, etc .. C'est lamentable !
Modifié il y a 10 ans, le vendredi 30 mai 2014 à 15:12
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Citation de "astrium14"Si ces cons mouilaient au moins le maillot sur le terrain.. mais même pas. Leurs prestations sont proportionnelles àleurs prîmes. Le Brésil, prime de qualification (juste un nom sur une liste), hotel 10 étoiles, les putes de luxe, prime de match, prime de etc etc... Et en plus ils trouvent cela normal... Oui .. bientôt, ils inventeront les primes de prime ....
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peinardo (clôturé)
il y a 10 ans
________________ Toutes les racailles, tous les voyous, tous les malfrats, tous les délinquants se réjouissent lorsqu'il y a un match de foot-ball ! En effet, toutes les forces de police sont monopolisées aux abords du stade ! Le foot-ball, c'est du pain béni pour la crapule... _________________
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Citation de "peinardo"________________ Toutes les racailles, tous les voyous, tous les malfrats, tous les délinquants se réjouissent lorsqu'il y a un match de foot-ball ! En effet, toutes les forces de police sont monopolisées aux abords du stade ! Le foot-ball, c'est du pain béni pour la crapule... _________________ C'est hélas tout à fait cela ! !
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oliver88 (clôturé)
il y a 10 ans
Moi pareil je déteste le foot par contre sa va être rigolo cette année rien n'est finis alors que je sais plus combien sa a coûté mais extrêmement chère la toiture pour les gradins seras même pas terminé à temps
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Il serait tout de même temps que les pays se recentrent sur le sport, et pas sur les projets pharaoniques si coûteux et ne servant qu'une fois ...
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h42ansreims (clôturé)
il y a 10 ans
Citation de "azalee.zoa"Au JT de 13 heures hier ou avant hier, les journalistes faisaient remarquer qu'en 1998, au moment où la France a gagné la coupe du monde, la cote de Jacques Chirac était remontée de 18 points. Ils en espèrent autant pour François Hollande. A quoi ça tient tout de même!!!! Désolant! Malheureusement, la classe dominante depuis l'antiquité a comme slogan "Circus et Panem" (du pain et des jeux) afin de contrôler le vulgus pecum et la vox populi (en un mot: le peuple). Boniface a très bien décrit ce processus dans son livre: Football et mondialisation. Résumé du livre: Le football a conquis le monde de façon pacifique. Le soleil ne se couche jamais sur son empire. C'est le symbole même de la mondialisation. Mais alors que la mondialisation est perçue comme une force venant dissoudre les identités nationales, le football en est le plus sûr ciment les populations se rassemblent autour de leur équipe nationale, porte-drapeau d'un pays et symbole consensuel d'une unité mise à mal. Que ne dit-on pas sur les compétitions sportives, football en tête, accusées de favoriser la violence civile, de détourner les mobilisations populaires et d'être instrumentalisées par les régimes répressifs ? Pourtant, à y bien réfléchir, ne doit-on pas penser que le stade est parfois le lieu résidentiel de contestations interdites ailleurs ? Dans cette mesure, l'organisation de grandes compétitions sportives, loin de servir la propagande de tel ou tel régime, peut mettre en lumière ses zones d'ombres. Dans cet essai stimulant et enlevé sur les ressorts et les paradoxes de la " planète football ", Pascal Boniface met son talent reconnu d'analyste de l'actualité politique internationale et sa passion de supporter du ballon rond au service de questions qui gênent ou surprennent. Un tir au but droit au fond des filets du politiquement correct !
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