|
peinardo (clôturé)
il y a 11 ans
_____________________________________________________ Hélas, ce ne sont pas les siennes ! Ce sont les couilles des financiers qui le manipulent comme le triste pantin qu'il est et qui mênera le pays vers un véritable chaos. Pourra t-il, malgré le froid de l'hiver, rester ainsi, avec le pantalon et le slip aux genoux, à longueur de temps ? Pauvre type va... _____________________________________________________
|
|
Si on veut, cher Peinardo, sauver les Finances Française ET Européennes, voici la loi qu'il faut combattre, la Loi sur laquelle il faut revenir ! - 1973 - loi Pompidou, Giscard ... http://www.atlantico.fr/decryptage/loi-1973-prets-etats-banques-privees-interdiction-banques-centrales-argent-taux-zero-jeanluc-schaffhauser-269187.html Mais pourquoi avait-on voté en 1973 cette loi imposant à l'Etat de passer par les banques privées ou les marchés pour financer sa dette ? Par cette loi, il devenait interdit au Trésor français de s'adresser directement à la banque centrale. 2e numéro de notre série en 5 volets sur les 40 ans qui ont permis à l'industrie de la finance de prendre le contrôle du monde réel. Pour lire la 1ère partie de notre série sur les 40 ans qui ont permis à l'industrie de la finance de prendre le contrôle du monde réél, c'est ici : Derrière l'enjeu du triple A, la question lancinante de l'indépendance de la BCE ! Comment sommes-nous passés, d’une société où, malgré toutes les imperfections humaines et sociales, l’économie travaillait pour l’homme, à une société où l’homme travaille pour l’économie et l’économie pour la finance ? Au centre de ce changement de nature, il y a, en France, la loi du 3 janvier 1973. Cette loi à peu près inconnue du grand public a en effet bouleversé l’organisation de la finance, et ses rapports avec l’État, garant de l’intérêt général. En effet, cette loi, directement inspirée du système américain de la FED (réserve fédérale américaine), interdit à la Banque centrale de faire des avances au Trésor. Dit autrement, de prêter directement à l’État de l’argent à taux zéro ou à un taux équivalent à celui qui prévaut lorsque la Banque centrale prête de l’argent aux banques. Dès lors, en vertu de cette loi, l’État est obligé de passer par le système des banques privées pour financer son endettement. Cette loi constitue en elle-même un véritable défi à la souveraineté étatique, puisqu’elle interdit au Souverain - l’État démocratique étant l’aboutissement politique et juridique du Peuple souverain - de se donner l’argent dont il est pourtant le seul garant et seul émetteur de monnaie de base. Et elle l’oblige, pour emprunter, à passer par des tiers privés (les banques) qui lui prêtent l’argent dont il est cependant le fournisseur en dernier ressort ! Une situation déjà ubuesque en elle-même, mais qui s’est encore aggravée depuis, puisque, en volant au secours des institutions financières lors de la crise de 2008, l’État est également devenu le fournisseur en premier ressort de ces mêmes institutions qui aujourd’hui lui reprochent son endettement, et lui appliquent en conséquence des taux usuraires… Comment en est-on arrivé là ? Le cas français. Il est tout à fait permis de croire à la bonne foi du législateur. Dans l’esprit de celui-ci et des hauts fonctionnaires de l'époque, il s’agissait avant tout, après la période de reconstruction de la France de l’après-guerre, d'instituer un garde-fou afin de préserver le pays des abus passés faits sur les épargnants et les rentiers par l’inflation et les dévaluations. Car en l'absence de limitation légale au pouvoir arbitraire de l'Etat de créer de la monnaie, l'équilibre du système repose uniquement sur la volonté des gouvernements de s'imposer une discipline budgétaire. Sans cette discipline, et s'il devient systématique, le financements des déficits par simple émission monétaire est un mauvais coup porté au reste de l'économie puisque cet argent "créé" l'est sans contrepartie réelle. En 1973, près de 30 années "d'abus" étatiques en matière de création monétaire viennent de s'écouler dans le cadre de la remise à flot de l'économie française suite aux destructions de la deuxième guerre mondiale. La France étant désormais reconstruite, il n’était plus aussi nécessaire de laisser persister des mécanismes qui s'étaient avérés bénéfiques pour le financement de dépenses d’investissements structurels. D'autant qu'en plus de ces investissements lourds, ces mécanismes de création monétaire "facile" avaient souvent été utilisés pour financer le fonctionnement courant de l'Etat. Aux yeux des hauts fonctionnaires ou des législateurs de l'époque, il était à la fois utile d'encadrer les potentielles dérives de l'Etat en la matière et souhaitable de sortir d'une ère d'économie administrée. Reste que ces bonnes intentions finirent par faire aussi le jeu du monde de la finance, celui-ci voyant bien l’intérêt qu’il pouvait retirer d’un système dans lequel l’État doit obligatoirement passer par lui pour emprunter. De ce point de vue, la loi de décembre 1973 fut également le fruit d'un habile lobbying bancaire visant à consolider ces "bonnes dispositions" politiques afin de "neutraliser" ceux qui auraient pu remettre en question l'argument d'un Etat trop dépensier et prompt à faire tourner la planche à billets pour continuer à s'endetter dans la mesure où en 1973, l'État français n'était quasiment pas endetté. Au final, comme on le sait, le nouveau système n’a bien évidemment pas empêché l’État de s’endetter ! Contrairement à ce qu’escomptaient certains, la loi de 1973 n’aura donc pas rempli son rôle de garde-fou budgétaire : l’endettement public s’est poursuivi. Et - circonstance aggravante - il a été contracté auprès de créanciers financiers privés pratiquant des rentes sur la dette. Tant et si bien que l’État est progressivement devenu l’otage d’un système financier privé. De la sorte, avec la loi de 1973, la France changeait en réalité de monde en mettant à mort le système qui pourtant avait permis sa reconstruction et son renouveau industriel. Il faut en effet en être bien conscient : sans les avances gratuites du Trésor, l’inflation et les dévaluations, la France d’après-guerre n’aurait pas pu se reconstruire. Si la France avait choisi la finance et le remboursement des dettes, à la sortie de la Seconde guerre mondiale, elle ne se serait jamais relevée, car elle aurait croulé sous le poids du passé. Si l’intérêt supérieur de la France n’avait pas été au-dessus, des épargnants, du rentier et du système financier pour privilégier l’économie réelle, la fabrication de véritables richesses industrielles, issues pour la plupart alors des grands programmes de l’État, n’aurait pas été possible. Jamais la France ne se serait hissée à la quatrième puissance économique mondiale avant 1970, si le Général de Gaulle n’avait pas mis la finance au service de l’économie du pays. Quand la dérive se mondialise... Toutefois, la France n’est pas la seule concernée par cette dérive. Ce système des nouvelles banques centrales, mettant le système privé au centre du financement public, va bientôt devenir mondial. Entre 1990 et 2001, 34 pays vont abandonner leur capacité à faire financer les excédents de dépenses publiques par leurs banques centrales pour la confier à l'industrie de la finance privée. Pour le plus grand profit de celle-ci : comme l’endettement public et privé a été croissant comme jamais, le bilan des banques privées dépasse désormais de plusieurs multiples le PIB des États. Il représente ainsi trois fois le PIB de la zone euro, rien que pour les banques travaillant au sein de la zone monétaire européenne unifiée. Rien que de très logique, puisque le système privé financier a fait de la dette - et en particulier de l’endettement public - son métier, avec une efficacité redoutable. Désormais, cette logique est comme on le sait inscrite dans le marbre des Traités européens qui interdisent à la Banque centrale européenne de procéder à des avances au bénéfice des États, au même taux qu’elle prête pourtant aux banques. Les États perdent donc leur capacité d’utiliser la monnaie pour soutenir leur développement économique : rien n'est possible sans le soutien des banques privées ou des marchés, même pour investir de manière rentable dans le long terme. Cette rigueur a toutefois ses limites : il est en effet permis à la BCE, par la force des choses, de fausser le marché en achetant indirectement la dette aux banques et au système financier comme elle l’a fait pour un montant de 200 milliards d’euros, via une forme de monétisation. L’on découvre alors que la BCE s’autorise à créer de la monnaie à partir de rien, mais seulement pour sauver les banques et le système financier, tout en s’interdisant la même technique pour sauver les États… On ne saurait mieux souligner combien le nouveau système issu de la loi de 1973, et ses épigones, aboutissent à une véritable prise de pouvoir du monde financier aux dépens des États, pourtant instruments et garants de l’intérêt général. Il ne peut y avoir deux souverains Ou bien l’État met sous contrôle la finance ou bien la finance met l’État sous son contrôle. Soit c’est le peuple qui est le souverain (via ses élus), soit c’est le système financier (agences de notation, banques, institutions financières) qui est le souverain, dictant au peuple et à ses élus, la politique à suivre. Et comme conséquence, un pouvoir qu’on ne peut plus sanctionner, puisqu’il n’est pas élu et n’a même pas de "visage". La dépossession progressive de toute latitude monétaire des États ne pose donc pas seulement un problème économique. Elle représente aussi un effroyable déni de démocratie, la volonté et les intérêts des acteurs de la finance primant de facto sur ceux des peuples. Pour la suite, 3ème partie et 4ème, c'est ici : Comment l'industrie financière a réussi son OPA idéologique sur le reste de l'économie Comment la crise des subprimes a mis l'Europe à la merci de Wall Street ________________ (je n'ai pas eu le temps de lire l'intégralité de cette analyse ... mais je connais le fond... ) et le fait de Savoir que Péniche Le Pen, elle aussi, combat cette loi (cette récupératrice ! ) ne m'empèchera pas d'être d'accord avec tous les autres dirigeants qui, eux aussi, combattent cette Loi ! Bien entendu, ce n'est pas tout, mais ça serait déjà un bon début, l'abrogation de cette Loi.
|
|
peinardo (clôturé)
il y a 11 ans
______________________________________ Je sais bien que cette décision d'endetter le pays sur les marchés financiers internationaux, plutôt que de continuer à faire fonctionner la Banque de France, est une des pires saloperies que le monde de la politique a infligé aux Français. Mais Pompidou, première grande salope de l'Histoire post-soixante huitarde, était aux ordres de la Francs-Maçonnerie, dont il n'était qu'une marionette. Les choses ont continué à empirer pour nous mener à la situation actuelle. Et pour que les choses perdurent, il faut décérébrer la jeunesse. Ce à quoi s'appliquent toutes les instances de la France, justice, éducation, informations, show-business, immigration dérégulée, agro-alimentaire, etc... Des budgets énormes sont voués à la décérébration ! C'est d'une priorité capitale pour la Franc-Maçonnerie. C'est elle qui doit penser pour le peuple pour lequel elle n'a qu'un criminel mépris. Leur toute dernière chance... ______________________________________________________ M'accuser de théoricien du complot ? Laissons ce genre de raisonnement aux cons, aux imbéciles et aux crétins... ______________________________________________________
|
|
" Et pour que les choses perdurent, il faut décérébrer la jeunesse. " Et ça marche très bien, hélas, Darling . très bien ....
|
|
Tenez : ça vous plaira aussi ( et je me contrefouds de savoir si Chomsky est franc-maçon ou pas ) http://french.irib.ir/analyses/articles/item/162191-armes-silencieuses-pour-guerres-tranquilles-par-noam-chomsky " Armes silencieuses pour guerres tranquilles, par Noam Chomsky Les dix stratégies de manipulation de masses La fabrication du consentement IRIB- Il importe, devant l’afflux d’informations de toutes sortes, dont nous sommes abreuvés, quotidiennement, de se forger une grille de lecture, pour garder une réflexion critique, sur les discours officiels, afin de ne pas se soumettre à la seule pensée dominante. On vous propose de vous inspirer du linguiste et philosophe, de sensibilité anarchiste, nord-américain, Noam Chomsky, professeur à "MIT", qui a élaboré une liste des «Dix Stratégies de Manipulation», à travers les média. Lorsque vous faites un exercice de relecture des grands thèmes actuels, dont on nous rabâche les oreilles, (l’Irak, le Moyen-Orient, les pensions, les roms, la délinquance, BHV, les people, la politique bling-bling, papa Daerden, TF1, les JT qui s’ouvrent sur des faits divers etc..) , à la lumière de ces décodages, vous vous apercevez qu’une cohorte de journalistes et d’intellectuels asservis servent de prêtrise sécularisée aux dominants. Voici l’éventail des «armes silencieuses pour guerre tranquilles» comme Chomsky les qualifie : [b]1/ La stratégie de la distraction Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles. « Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » 2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions Cette méthode est aussi appelée «problème-réaction-solution». On crée d’abord un problème, une «situation» prévue, pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics. 3/ La stratégie de la dégradation Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en «dégradé», sur une durée de 10 ans. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement. 4/ La stratégie du différé Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme «douloureuse mais nécessaire», en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. Cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. 5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants. Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans ». 6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements… 7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures ». 8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité Encourager le public à trouver «cool» le fait d’être bête, vulgaire, et inculte… 9/ Remplacer la révolte par la culpabilité Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !… 10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes. **************** Même s’il est contesté pour ses prises de position politiques, principalement, par les dirigeants israéliens, à qui il ne passe rien, étant lui-même juif, Chomsky a, énormément, contribué à décrypter les mécanismes de la « fabrication du consentement». Et on trouve un écho particulier aux stratégies 1-2 et 9. Mais il n’a rien inventé; les Romains avaient, déjà, tout compris "Panem et Circenses". "
|
|
barbacane (clôturé)
il y a 11 ans
N'oubliez pas le groupe BILDERBERG, il a toujours son mot a dire ! et dans le monde entier ...
|
|
Citation de "barbacane"N'oubliez pas le groupe BILDERBERG, il a toujours son mot a dire ! et dans le monde entier ... Hélas oui ...
|
|
Citation de "barbacane"N'oubliez pas le groupe BILDERBERG, il a toujours son mot a dire ! et dans le monde entier ... Et CARLYLE, qui n'a rien d'une association de philanthropes ...
|
|
barbacane (clôturé)
il y a 11 ans
Citation de "sibelius"Citation de "barbacane"N'oubliez pas le groupe BILDERBERG, il a toujours son mot a dire ! et dans le monde entier ...
Et CARLYLE, qui n'a rien d'une association de philanthropes ...
Et oui , aussi, et c'est bien lui qui gère la fortune des familles Bush et Ben Laden ...
|
|
tu a raisson en roumanie ils on ete plus radical
|
|
Citation de "barbacane"Citation de "sibelius"Citation de "barbacane"N'oubliez pas le groupe BILDERBERG, il a toujours son mot a dire ! et dans le monde entier ... Et CARLYLE, qui n'a rien d'une association de philanthropes ... Et oui , aussi, et c'est bien lui qui gère la fortune des familles Bush et Ben Laden ... Et de Khodovkhoski (pourquoi croyez-vous que l'ident cherche tant à le protéger et à le faire sortir ? )
|