Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs
Nous voilà devant un nouveau constat. En fait, à bien y regarder, c'est toujours le même constat. Inquiétant, angoissant et édifiant. Le premier ministre vient de donner sa démission de son poste pour pouvoir se consacrer à sa candidature. On ne rit pas s'il vous plaît ! En effet, Manuel Valls veut se présenter comme candidat de la "gauche" aux prochaines élections présidentielles. Si ! Il le prétend fort ! Personne ne lui a strictement rien demandé si ce n'est de faire son boulot de premier ministre avec conviction et concentration.
Il restait six mois à Manu pour assurer et terminer, le mieux possible, sa fonction de premier ministre. Lui, notre toréador national. Cet individu qui, la main sur le cœur, prétendait quand même, il y a peu : < Je veux m'investir en tant que premier ministre ! > Manu rajoutait même, à ceux qui prêtaient une oreille : < Je veux m'investir pour le bien de notre pays, pour l'avenir de la France ! > Et voilà que pour satisfaire son ambition personnelle, son désir carriériste, le même défenseur de la corrida donne sa démission ! Farce ?
Nous pourrions en sourire. Nous pourrions en rire. Si ce n'était pas notre avenir à nous qui était une fois de plus méprisé. Humilié même. Ces politiciens de gauche et de droite, qui prétendent agir pour le bien de peuple et qui s'empressent de l'abandonner pour leurs causes. Tous ces gens-là n'entrent pas en politique pour servir un pays, pour servir une nation. Non ! Ils viennent satisfaire leurs désirs. Désirs de conquêtes. Désirs d'avoir une limousine avec chauffeur. Désirs de se payer des putes de luxe du showbiz. Des "acteurs".
Nous voilà une fois encore devant le spectacle navrant d'un abandon de navire par son capitaine. Et juste devant les falaises. Brume ! Manuel Valls croit-il sincèrement, et un seul instant, que nous serons dupes ? Nous avons compris son petit stratagème si minable. Pour se ménager un avenir politique et faire oublier le bilan accablant du président qu'il a servi, il préfère se sauver. Donner le change. Il pourra ainsi prétendre, la main sur le cœur : < Ce n'était pas moi ! C'était "l'autre" ! Je n'ai fait qu'appliquer la politique de Hollande ! >
En face, il y a le même énergumène, poussé par la même fièvre égocentrique, François Fillion. Tous les deux sont de parfaits jumeaux. Tous les deux ont servi leur Président. Ils ont obéit à leur MAÎTRE ! Ils ont mené les "affaires" du pays. Ils ont conduit le pays là où il est ! Et ces deux parfaites ordures, pour servir leur arrogante soif de pouvoir et de puissance, viennent pontifier sans honte dans nos médias. Ils portent le lourd bilan de tous les échecs de leur politique. Et, le pire, c'est que ces parfaits salopards voudraient la poursuivre. En pire !
Quel mépris pour l'humain ! Quelle insulte à chaque citoyen. Quelle gifle à notre intelligence. Jusqu'où oseront-ils aller ? C'est criminel ! Tous les politiciens font absolument ce qu'ils veulent car nous les laissons faire sans les empêcher de nous nuire. Nous sommes des cons. Ces politiciens savent que nous sommes de vrais cons. Ils n'ont même plus besoin de faire croire qu'ils ont la moindre estime pour nous. Pourquoi le feraient-ils, d'ailleurs ? Ils savent que nous aimons ramasser des coups de pieds au popotin, prendre des raclées et la fermer !
Aussi, dans un soucis de légitime défense contre ces racailles de gauche et ces crapules de droite, il est temps de prendre des décisions. Ils vont venir dans nos villes. Ils vont venir bonimenter. Ils seront en "campagne". Ils donneront des meetings et des conférences. Si ! Le sursaut citoyen serait alors de nous emparer de tous ces dangereux psychopathes et de leur faire passer le goût du mensonge. Sans haine. Sans violence. Mais avec une froide détermination. La détermination d'un retour aux valeurs humaines fondamentales.
Que faisons-nous, lorsque nous avons des cafards sous nos éviers ? Nous les éradiquons. Sans haine. Sans violence. Par hygiène ! Hors, les politiciens ne sont qu'un sous-genre du cafard domestique qui pullule dans les toilettes publiques de nos campagnes. La raison, la réflexion et l'intelligence devraient donc nous pousser à avoir le même comportement avec ces parasites inutiles. Ces parasites inutiles, ces véritables fraudeurs, ces voyous truqueurs, ces iconoclastes corrompus, nous veulent le plus grand mal.
Seulement voilà ! Nous sommes des peuples de lâches. Nous n'avons donc que les ordures et les salopards que nous méritons...
Maître Robert - (Monarchiste de Droit Constitutionnel) -
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Modifié il y a 7 ans, le jeudi 8 décembre 2016 à 10:46