Citation de "isabelleolivia"Citation de "carmencitalarevoila"Citation de "isabelleolivia"Citation de "carmencitalarevoila"Ce n'est pas comme cela par des actes violents qu'ils empêcheront le FN de grimper
http://www.planet.fr/politique-marion-marechal-le-pen-malmenee-a-la-sortie-dun-meeting.931332.29334.html?xtor=ES-1-922714[Planet-a-la-Une]-20150919
au contraire! la preuve que les opposants ont la frousse! avec tous les problèmes en France en ce moment clair que le FN monte! vive Marine je suis avec toi! oups
Ce sont ces mêmes gars qui squattent les maisons des personnes âgées, et manifestent lourdement contre tous projets qui les dérangent, même s'ils sont positifs
s'ils allaient bosser ils n'auraient pas le temps pour les conneries![/quote]
-allonge.php" target="_blank">http://www.lefigaro.fr/emploi/2015/05/07/09005-20150507ARTFIG00168-areva-total-dim8230la-liste-des-plans-sociau-allonge.php
L'inversion de la courbe du chômage n'est définitivement pas pour cette année. Ces dernières semaines, une vague de suppressions d'emplois déferle sur l'Hexagone.
Dernière annonce en date, révélée par Le Figaroet confirmée par Areva: la suppression de 5000 à 6000 postes au niveau mondial sur trois ans, dont 3000 à 4000 en France. Le géant nucléaire, en proie à de grandes difficultés, engage ce jeudi la négociation du volet social de son plan de sauvetage.
Ces chiffres gonflent une liste déjà importante de suppressions annoncées au cours d'un mois d'avril particulièrement sombre sur le front de l'emploi.
Des postes disparaissent chez Renault Trucks (600 postes), Vallourec (900), Dim (265), Total (180), la Halle aux vêtements (1500), Radio France (300 à 400), les Galeries Lafayette (plus de 200)....
Sans oublier les 500 suppressions d'emplois prévues chez Gefco, les 2150 chez MoryGlobal et les 600 de la filiale logistique d'Intermarché.
Le groupe informatique IBM France entend également supprimer près de 350 postes d'ici octobre via un plan de départs volontaires, selon les syndicats.
Ces plans sociaux ont un point commun: ils ont presque tous été annoncés après les élections départementales. Mais pour le gouvernement, il s'agit là d'une simple coïncidence. «Vous croyez que les entreprises vont se précuper de savoir s'il y a une élection départementale, ou pas d'élection départementale?», s'agaçait le ministre des Finances, Michel Sapin, au micro de France Inter mi-avril.
Selon lui, les entreprises n'ont pas retardé leurs annonces pour des raisons politiques. Leurs difficultés «ne datent pas d'aujourd'hui», a-t-il expliqué.
Quoi qu'il en soit, selon une étude du cabinet Altares, le nombre de défaillances d'entreprises en France a augmenté de 7,6% sur un an au premier trimestre pour atteindre un niveau historique.
Incertitudes pour les salariés de Norbert Dentressangle, Siemens, Schlumberger...
Les mauvaises nouvelles ne semblent d'ailleurs pas prêtes de s'arrêter. L'avenir s'annonce incertain pour les salariés de Schneider Electric.
Selon Les Echos, le géant français des équipements électriques va délocaliser ses activités de production de transformateurs pour industriels en Pologne et annoncer deux plans sociaux portant sur 170 emplois au total, en Moselle et en Seine-Maritime.
Un nuage noir plane également au-dessus des 1500 employés français du groupe parapétrolier Schlumberger. Plombé par la dégringolade des prix du baril, ce dernier prévoit de supprimer 20.000 postes dans le monde, soit 15% de ses effectifs.
De son côté, le conglomérat allemand Siemens vient d'annoncer qu'il allait supprimer 4500 emplois supplémentaires dans le monde en plus des 7800 suppressions déjà prévues dans le cadre de sa réorganisation annoncée il y a un an. Le sort des 7000 salariés français n'a pas été précisé.
Même incertitude pour les salariés de la société de transport Norbert Dentressangle, rachetée par l'américain XPO Logistics.
La nouvelle maison-mère s'est certes engagée à maintenir l'emploi dans l'Hexagone mais pour une période de 18 mois seulement.
Les salariés d'Alcatel Lucent, racheté par Nokia, restent aussi vigilants, même si le groupe finlandais a promis de faire de la France le «centre névralgique du nouvel ensemble».
Quelques rares éclaircies apparaissent toutefois dans ce ciel sombre. Parmi elles, l'annulation du plan social de l'usine de plasturgie de Gallion dans le Rhône mais aussi le sauvetage in extremis des 159 salariés de Gastronome, usine de volailles de Luchéringé (Sarthe) rachetée par Casino.
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