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censure (clôturé)
il y a 7 ans
La culture de la haine, Christian Rioux, Le Devoir, 24 février 2017
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Mehdi Meklat était l’un des dignes représentants de cette sous-culture issue des mouvements antiracistes des années 1980. Au nom de la sempiternelle « diversité », ce blogueur né à Clichy, qui écrivait sur le Bondy Blog, créé lors des émeutes de 2005, avait été intronisé chroniqueur sur France Inter avec son alter ego Badrouine Saïd Abdallah.
Vedettes des plateaux de télévision, tous deux faisaient la une des hebdomadaires les plus branchés, comme Les Inrockuptibles, où ils avaient posé, il y a trois semaines à peine, en compagnie de l’égérie de la gauche, l’ancienne ministre Christiane Taubira.
Sauf que l’on apprend que, depuis 2012, Meklat a publié plus de 40 000 tweets racistes, sexistes, antisémites et homophobes
Des tweets dans lesquels il n’hésitait pas à appeler à liquider sans autre procès des juifs, des homosexuels, et surtout « ces chiens de Charlie Hebdo ». Sous son propre nom, il appelait aussi à « égorger » Marine Le Pen « selon le rite musulman ».
Ces « révélations », pourtant déjà largement éventées, ont finalement provoqué une petite commotion dans le monde des médias français. Elles illustrent l’irresponsabilité criminelle de ces sites, serveurs, blogues et réseaux animés par ces multinationales de la communication qui font en partie leur beurre de cette culture de la haine.
Quant aux médias de gauche où sévissait Meklat, ils oscillent ces jours-ci entre l’autocritique et le déni. Au moins le journaliste Claude Askolovitch aura-t-il eu le courage de se demander s’il aurait eu autant de scrupules devant un militant du Front national.
On aurait voulu caricaturer cet « antiracisme devenu fou » que dénonce depuis tant d’années le philosophe Alain Finkielkraut qu’on n’aurait pas trouvé mieux. D’ailleurs, Meklat n’avait-il pas ouvertement appelé à lui « casser les jambes » ?
On songe immédiatement à ces huées entendues dans les lycées pendant la minute de silence à la mémoire des victimes de Charlie Hebdo il y a deux ans. Sans oublier l’antisémitisme rampant qui règne en maître dans certaines banlieues. Toujours cette attirance des limites.
Ces tweets « expriment la frustration et le ressentiment d’une jeunesse nourrie au lait de la victimisation et de la repentance », affirme dans Le Figaro le journaliste Alexandre Devecchio, lui-même issu de ces quartiers et qui a travaillé au Bondy Blog. Il qualifie d’ailleurs cette jeunesse de « génération Dieudonné ».
Le parallèle est en effet frappant. Rappelons qu’avant de sombrer dans le délire antisémite qui le caractérise aujourd’hui, Dieudonné passait lui aussi pour un porte-étendard de l’antiracisme. C’est au nom de cette « coolitude » subversive et provocante qu’il était célébré de Paris… à Montréal !
Cet antiracisme délirant n’épargne d’ailleurs pas le Québec. N’a-t-on pas entendu des rappeurs assimiler de paisibles défenseurs du français à des « suprémacistes » en les accusant de faire la promotion d’un « Québec blanc » ?
Récemment, l’émission Corde sensible animée par Marie-Ève Tremblay a montré qu’à l’UQAM une assemblée fictive sur un thème aussi banal que « l’identité québécoise en péril » suscitait au nom de l’antiracisme des appels ouverts à la censure.
En France, il y a longtemps qu’en se drapant dans la coolitude, une certaine élite culturelle écoute avec des airs d’esthètes les appels de certains rappeurs à vomir la France. Jusqu’au jour où cette même élite, trop heureuse de se dédouaner à petits prix, joue les vierges offensées et s’amuse à broyer ses propres enfants. Comme si elle n’était pas le rouage premier de cette passion morbide.
http://www.ledevoir.com/international/europe/492479/la-culture-de-la-haine
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Il n'y a pas de racisme en France
Il n'y a pas de xénophobe en France
Il y a juste une immense majorité de Français qui en ont assez de voir des gens se servir dans leur réfrigérateurs.
Il y a juste une immense majorité de Français qui en ont assez de voir des inconnus installés dans leurs salons.
Les Français, comme tous les gens normaux, polis, gentils et généreux ont la légitime envie de recevoir des invités.
Les Français, comme tous les gens normaux, polis, gentils et généreux, ne veulent pas êtres envahis par des inconnus.
Les Français, dans leur immense majorité vont donc faire le nécessaire pour préserver leurs propriétés privées.
Les Français, dans leur immense majorité ne vont plus se faire dicter un comportement par une élite corrompue.
Les Français, dans leur légitime ras-le-cul, n'en n'ont strictement rien à foutre des crèves-la-faim et des profiteurs.
Les Français, dans leur légitime ras-le-cul, ne sont pas apte à accueillir tous les paumés, crèves-la-dalle du monde.
Les Français vont donc charger des responsables politiques de faire le ménage, de passer l'aspirateur, la serpillère.
Les Français vont donc missionner des dirigeants politiques avec des couilles pour nettoyer au Karcher la saleté.
Les Français, dans leur immense bonté, altruistes et bons, vont donc retrouver leur souveraineté, leur sécurité.
Les Français, dans leur grande compréhension, emmerdent profondément tous ceux qui ne sont pas d'accord...
Maître Robert - (Légitimiste du lance-flamme) -
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Citation de "censure"La culture de la haine, Christian Rioux, Le Devoir, 24 février 2017
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Mehdi Meklat était l’un des dignes représentants de cette sous-culture issue des mouvements antiracistes des années 1980. Au nom de la sempiternelle « diversité », ce blogueur né à Clichy, qui écrivait sur le Bondy Blog, créé lors des émeutes de 2005, avait été intronisé chroniqueur sur France Inter avec son alter ego Badrouine Saïd Abdallah.
Vedettes des plateaux de télévision, tous deux faisaient la une des hebdomadaires les plus branchés, comme Les Inrockuptibles, où ils avaient posé, il y a trois semaines à peine, en compagnie de l’égérie de la gauche, l’ancienne ministre Christiane Taubira.
Sauf que l’on apprend que, depuis 2012, Meklat a publié plus de 40 000 tweets racistes, sexistes, antisémites et homophobes
Des tweets dans lesquels il n’hésitait pas à appeler à liquider sans autre procès des juifs, des homosexuels, et surtout « ces chiens de Charlie Hebdo ». Sous son propre nom, il appelait aussi à « égorger » Marine Le Pen « selon le rite musulman ».
Ces « révélations », pourtant déjà largement éventées, ont finalement provoqué une petite commotion dans le monde des médias français. Elles illustrent l’irresponsabilité criminelle de ces sites, serveurs, blogues et réseaux animés par ces multinationales de la communication qui font en partie leur beurre de cette culture de la haine.
Quant aux médias de gauche où sévissait Meklat, ils oscillent ces jours-ci entre l’autocritique et le déni. Au moins le journaliste Claude Askolovitch aura-t-il eu le courage de se demander s’il aurait eu autant de scrupules devant un militant du Front national.
On aurait voulu caricaturer cet « antiracisme devenu fou » que dénonce depuis tant d’années le philosophe Alain Finkielkraut qu’on n’aurait pas trouvé mieux. D’ailleurs, Meklat n’avait-il pas ouvertement appelé à lui « casser les jambes » ?
On songe immédiatement à ces huées entendues dans les lycées pendant la minute de silence à la mémoire des victimes de Charlie Hebdo il y a deux ans. Sans oublier l’antisémitisme rampant qui règne en maître dans certaines banlieues. Toujours cette attirance des limites.
Ces tweets « expriment la frustration et le ressentiment d’une jeunesse nourrie au lait de la victimisation et de la repentance », affirme dans Le Figaro le journaliste Alexandre Devecchio, lui-même issu de ces quartiers et qui a travaillé au Bondy Blog. Il qualifie d’ailleurs cette jeunesse de « génération Dieudonné ».
Le parallèle est en effet frappant. Rappelons qu’avant de sombrer dans le délire antisémite qui le caractérise aujourd’hui, Dieudonné passait lui aussi pour un porte-étendard de l’antiracisme. C’est au nom de cette « coolitude » subversive et provocante qu’il était célébré de Paris… à Montréal !
Cet antiracisme délirant n’épargne d’ailleurs pas le Québec. N’a-t-on pas entendu des rappeurs assimiler de paisibles défenseurs du français à des « suprémacistes » en les accusant de faire la promotion d’un « Québec blanc » ?
Récemment, l’émission Corde sensible animée par Marie-Ève Tremblay a montré qu’à l’UQAM une assemblée fictive sur un thème aussi banal que « l’identité québécoise en péril » suscitait au nom de l’antiracisme des appels ouverts à la censure.
En France, il y a longtemps qu’en se drapant dans la coolitude, une certaine élite culturelle écoute avec des airs d’esthètes les appels de certains rappeurs à vomir la France. Jusqu’au jour où cette même élite, trop heureuse de se dédouaner à petits prix, joue les vierges offensées et s’amuse à broyer ses propres enfants. Comme si elle n’était pas le rouage premier de cette passion morbide.
http://www.ledevoir.com/international/europe/492479/la-culture-de-la-haine
Et ensuite vient le temps des regrets !
L'Afrique 50 ans après........
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tinoroussi35 (clôturé)
il y a 7 ans
Citation de "freedom03"Macron
Vite !
n importe nawak camarade tu délire.....
VOTE POUTOU LE VRAI CANDIDAT ANTI SYSTEME
REVOLUTION ROUGE
NO PASSARAN
LES FACHO AU POTO
VIVE LA DEMOCRATIE C TT
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