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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Lu dans le journal ce matin :
Molenbeek ou l’islamisme ordinaire
1 avril 2016 |Christian Rioux, Le Devoir |
(...)
Un parmi tous les témoignages sur Molenbeek, celui de la journaliste flamande Hind Fraihi, intitulé « En immersion à Molenbeek (La Différence) » (...)
La journaliste était partie en reportage avec en tête cette phrase de Salman Rushdie : « Les musulmans ne sont pas le problème. Les musulmans ont un problème. »
Elle en revient avec la conviction que ledit problème est plus grave qu’elle ne le croyait.
Hind Fraihi raconte ni plus ni moins l’islamisation ordinaire d’un quartier de Bruxelles.
Comment celui-ci se transforme progressivement en ghetto et devient ce qu’elle nomme ironiquement une « petite république musulmane ».
Au cours de ces deux mois où elle s’est fait passer pour une étudiante en sociologie, Fraihi a parlé à des imans plus ou moins radicaux, elle a recueilli les confidences de femmes qui craignaient d’être « victimes de commérage » si elles ne portaient pas le voile. Elle a fait le tour des trois maisons de jeunes du quartier et a parlé à une faune étrange en quête d’identité qu’elle surnomme les « punks musulmans ».
Partout, c’est l’islam qui anime la vie, détermine les comportements, les codes vestimentaires et alimentaires. L’islam jusque dans les moindres replis de la vie de chacun.
Dans les bibliothèques, les mosquées et les associations culturelles, il n’y a qu’à se baisser pour ramasser des livres qui prêchent ouvertement le « grand djihad » et l’assassinat des Juifs.
Des jeunes, qui reprennent mot pour mot le discours de la victimisation, disent sans broncher préférer les revenus de la drogue aux bancs de l’école.
D’autres racontent comment des « barbus » ont tenté de les recruter en leur proposant une forme de « blanchiment moral », écrit Fraihi.
Plus on tourne les pages, plus l’atmosphère devient irrespirable.
Ce livre n’a rien à voir avec le récit idyllique de l’immigration. Il montre au contraire combien cette immigration est une souffrance. Surtout pour la seconde génération, qui ne possède ni les codes du pays d’origine ni ceux du pays d’accueil.
Des jeunes, plus ou moins analphabètes, qui en veulent tout autant à leurs parents qu’aux Belges pour ce vide moral, culturel et spirituel dans lequel on les a sciemment enfermés, sous prétexte d’ingénierie sociale.
Partout, Fraihi croise une population qui craint de parler et d’en dire trop. Comme si elle se sentait observée, comme si tout le quartier était soumis à une loi non écrite. Une sorte de régime mafieux dans lequel dénoncer un coreligionnaire, fût-il terroriste, serait trahir les siens.
On dit que la « radicalisation » passe plus par Internet que par les mosquées. Ce n’est pas ce que découvre Hind Fraihi. Les imans qu’elle croise n’hésitent pas à comparer les chrétiens à des chiens immondes. Ils rêvent de califat et traitent sans sourciller la Belgique de « pays de mécréants ».
On découvre à Molenbeek un islam totalement soumis à l’Arabie saoudite et au Maroc.
Bref, une religion qui n’a jamais connu l’équivalent du gallicanisme imposé par la force à l’Église de France dès la fin du Moyen-Âge.
Un islam auprès duquel, d’ailleurs, l’ex-bourgmestre socialiste de la commune, Philippe Moureaux, a acheté la paix sociale en sous-traitant ses responsabilités.
Certes, Fraihi tombe en partie dans le discours naïf du « véritable » islam qu’il faudrait distinguer du « faux ». Un peu comme à l’époque où il y avait le « bon » et le « mauvais » communisme. Comme si toutes les idées — et la religion en est une — ne devaient pas être jugées sur la façon dont elles s’incarnent dans le monde.
(...)
Modifié il y a 8 ans, le vendredi 1 avril 2016 à 22:22
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airderien1 (clôturé)
il y a 8 ans
tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "airderien1"tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
C'est donc pire que ce qu'il y paraît.
Modifié il y a 8 ans, le samedi 2 avril 2016 à 05:05
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airderien1 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "airderien1"tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
C'est donc pire que ce qu'il paraît.
ni pire ni meilleur pour celui qui sait bien regarder
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "airderien1"Citation de "apocope"Citation de "airderien1"tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
C'est donc pire que ce qu'il paraît.
ni pire ni meilleur pour celui qui sait bien regarder
C'est un point de vue, mais il n'est pas partagé
(Tu le constateras, si tu te donnes la peine de lire le résumé de l'article de presse que j'ai posté)
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diesirae2 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Lu dans le journal ce matin :
Molenbeek ou l’islamisme ordinaire
1 avril 2016 |Christian Rioux, Le Devoir |
(...)
Un parmi tous les témoignages sur Molenbeek, celui de la journaliste flamande Hind Fraihi, intitulé « En immersion à Molenbeek (La Différence) » (...)
La journaliste était partie en reportage avec en tête cette phrase de Salman Rushdie : « Les musulmans ne sont pas le problème. Les musulmans ont un problème. »
Elle en revient avec la conviction que ledit problème est plus grave qu’elle ne le croyait.
Hind Fraihi raconte ni plus ni moins l’islamisation ordinaire d’un quartier de Bruxelles.
Comment celui-ci se transforme progressivement en ghetto et devient ce qu’elle nomme ironiquement une « petite république musulmane ».
Au cours de ces deux mois où elle s’est fait passer pour une étudiante en sociologie, Fraihi a parlé à des imans plus ou moins radicaux, elle a recueilli les confidences de femmes qui craignaient d’être « victimes de commérage » si elles ne portaient pas le voile. Elle a fait le tour des trois maisons de jeunes du quartier et a parlé à une faune étrange en quête d’identité qu’elle surnomme les « punks musulmans ».
Partout, c’est l’islam qui anime la vie, détermine les comportements, les codes vestimentaires et alimentaires. L’islam jusque dans les moindres replis de la vie de chacun.
Dans les bibliothèques, les mosquées et les associations culturelles, il n’y a qu’à se baisser pour ramasser des livres qui prêchent ouvertement le « grand djihad » et l’assassinat des Juifs.
Des jeunes, qui reprennent mot pour mot le discours de la victimisation, disent sans broncher préférer les revenus de la drogue aux bancs de l’école.
D’autres racontent comment des « barbus » ont tenté de les recruter en leur proposant une forme de « blanchiment moral », écrit Fraihi.
Plus on tourne les pages, plus l’atmosphère devient irrespirable.
Ce livre n’a rien à voir avec le récit idyllique de l’immigration. Il montre au contraire combien cette immigration est une souffrance. Surtout pour la seconde génération, qui ne possède ni les codes du pays d’origine ni ceux du pays d’accueil.
Des jeunes, plus ou moins analphabètes, qui en veulent tout autant à leurs parents qu’aux Belges pour ce vide moral, culturel et spirituel dans lequel on les a sciemment enfermés, sous prétexte d’ingénierie sociale.
Partout, Fraihi croise une population qui craint de parler et d’en dire trop. Comme si elle se sentait observée, comme si tout le quartier était soumis à une loi non écrite. Une sorte de régime mafieux dans lequel dénoncer un coreligionnaire, fût-il terroriste, serait trahir les siens.
On dit que la « radicalisation » passe plus par Internet que par les mosquées. Ce n’est pas ce que découvre Hind Fraihi. Les imans qu’elle croise n’hésitent pas à comparer les chrétiens à des chiens immondes. Ils rêvent de califat et traitent sans sourciller la Belgique de « pays de mécréants ».
On découvre à Molenbeek un islam totalement soumis à l’Arabie saoudite et au Maroc.
Bref, une religion qui n’a jamais connu l’équivalent du gallicanisme imposé par la force à l’Église de France dès la fin du Moyen-Âge.
Un islam auprès duquel, d’ailleurs, l’ex-bourgmestre socialiste de la commune, Philippe Moureaux, a acheté la paix sociale en sous-traitant ses responsabilités.
Certes, Fraihi tombe en partie dans le discours naïf du « véritable » islam qu’il faudrait distinguer du « faux ». Un peu comme à l’époque où il y avait le « bon » et le « mauvais » communisme. Comme si toutes les idées — et la religion en est une — ne devaient pas être jugées sur la façon dont elles s’incarnent dans le monde.
(...)
Les gens s'indigne aujourd'hui à cause de ces malheureux actes des jours et mois derniers
Mais le mal est là et bien installé depuis des lustres
Installé et privilégié par nos politiques ,en jouant la carte de l'intégration !
Mais quel carte de l'intégration ?
Le quartier de molenbeek ça fait bien longtemps qu'on ni parle plus le francophone ... Et encore moins le vallon .
Et ça , nous tous , en cautionnant soit disant le président idéal parce qu'il a un dont soporifique du phraser et une poignée de main envoûtante
Bobo que nous sommes, réveillons nous ,le rêve est à la dérive, enfin... il n'est plus !
Déchausser ce loup aveuglant et ignorant qui vous entour ...
Hind Fraihi nous encourage par cela , grasse à son livre( sortie en 2006) des éclairages précis d'un terreau assassin du monde occidentale. Qui en Europe tranquillement nous sourie , nous salut , nous embrasse .... et nous trucide une fois le dos tourné
Intégration ratée
Ce livre est sortie en 2006 ...
Donc tout ceci n'est pas d'aujourd'hui
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "diesirae2"Citation de "apocope"Lu dans le journal ce matin :
Molenbeek ou l’islamisme ordinaire
1 avril 2016 |Christian Rioux, Le Devoir |
(...)
Un parmi tous les témoignages sur Molenbeek, celui de la journaliste flamande Hind Fraihi, intitulé « En immersion à Molenbeek (La Différence) » (...)
La journaliste était partie en reportage avec en tête cette phrase de Salman Rushdie : « Les musulmans ne sont pas le problème. Les musulmans ont un problème. »
Elle en revient avec la conviction que ledit problème est plus grave qu’elle ne le croyait.
Hind Fraihi raconte ni plus ni moins l’islamisation ordinaire d’un quartier de Bruxelles.
Comment celui-ci se transforme progressivement en ghetto et devient ce qu’elle nomme ironiquement une « petite république musulmane ».
Au cours de ces deux mois où elle s’est fait passer pour une étudiante en sociologie, Fraihi a parlé à des imans plus ou moins radicaux, elle a recueilli les confidences de femmes qui craignaient d’être « victimes de commérage » si elles ne portaient pas le voile. Elle a fait le tour des trois maisons de jeunes du quartier et a parlé à une faune étrange en quête d’identité qu’elle surnomme les « punks musulmans ».
Partout, c’est l’islam qui anime la vie, détermine les comportements, les codes vestimentaires et alimentaires. L’islam jusque dans les moindres replis de la vie de chacun.
Dans les bibliothèques, les mosquées et les associations culturelles, il n’y a qu’à se baisser pour ramasser des livres qui prêchent ouvertement le « grand djihad » et l’assassinat des Juifs.
Des jeunes, qui reprennent mot pour mot le discours de la victimisation, disent sans broncher préférer les revenus de la drogue aux bancs de l’école.
D’autres racontent comment des « barbus » ont tenté de les recruter en leur proposant une forme de « blanchiment moral », écrit Fraihi.
Plus on tourne les pages, plus l’atmosphère devient irrespirable.
Ce livre n’a rien à voir avec le récit idyllique de l’immigration. Il montre au contraire combien cette immigration est une souffrance. Surtout pour la seconde génération, qui ne possède ni les codes du pays d’origine ni ceux du pays d’accueil.
Des jeunes, plus ou moins analphabètes, qui en veulent tout autant à leurs parents qu’aux Belges pour ce vide moral, culturel et spirituel dans lequel on les a sciemment enfermés, sous prétexte d’ingénierie sociale.
Partout, Fraihi croise une population qui craint de parler et d’en dire trop. Comme si elle se sentait observée, comme si tout le quartier était soumis à une loi non écrite. Une sorte de régime mafieux dans lequel dénoncer un coreligionnaire, fût-il terroriste, serait trahir les siens.
On dit que la « radicalisation » passe plus par Internet que par les mosquées. Ce n’est pas ce que découvre Hind Fraihi. Les imans qu’elle croise n’hésitent pas à comparer les chrétiens à des chiens immondes. Ils rêvent de califat et traitent sans sourciller la Belgique de « pays de mécréants ».
On découvre à Molenbeek un islam totalement soumis à l’Arabie saoudite et au Maroc.
Bref, une religion qui n’a jamais connu l’équivalent du gallicanisme imposé par la force à l’Église de France dès la fin du Moyen-Âge.
Un islam auprès duquel, d’ailleurs, l’ex-bourgmestre socialiste de la commune, Philippe Moureaux, a acheté la paix sociale en sous-traitant ses responsabilités.
Certes, Fraihi tombe en partie dans le discours naïf du « véritable » islam qu’il faudrait distinguer du « faux ». Un peu comme à l’époque où il y avait le « bon » et le « mauvais » communisme. Comme si toutes les idées — et la religion en est une — ne devaient pas être jugées sur la façon dont elles s’incarnent dans le monde.
(...)
Les gens s'indigne aujourd'hui à cause de ces malheureux actes des jours et mois derniers
Mais le mal est là et bien installé depuis des lustres
Installé et privilégié par nos politiques ,en jouant la carte de l'intégration !
Mais quel carte de l'intégration ?
Le quartier de molenbeek ça fait bien longtemps qu'on ni parle plus le francophone ... Et encore moins le vallon .
Et ça , nous tous , en cautionnant soit disant le président idéal parce qu'il a un dont soporifique du phraser et une poignée de main envoûtante
Bobo que nous sommes, réveillons nous ,le rêve est à la dérive, enfin... il n'est plus !
Déchausser ce loup aveuglant et ignorant qui vous entour ...
Hind Fraihi nous encourage par cela , grasse à son livre( sortie en 2006) des éclairages précis d'un terreau assassin du monde occidentale. Qui en Europe tranquillement nous sourie , nous salut , nous embrasse .... et nous trucide une fois le dos tourné
Intégration ratée
Ce livre est sortie en 2006 ...
Donc tout ceci n'est pas d'aujourd'hui
Édité en néerlandais en 2005, mais traduit récemment en français
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airderien1 (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "apocope"Citation de "airderien1"Citation de "apocope"Citation de "airderien1"tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
C'est donc pire que ce qu'il paraît.
ni pire ni meilleur pour celui qui sait bien regarder
C'est un point de vue, mais il n'est pas partagé
(Tu le constateras, si tu te donnes la peine de lire le résumé de l'article de presse que j'ai posté)
un point de vue non partagé,,,,,,,
comment partage un point de vue non develloper
j'ai lu le document en entier !!
Modifié il y a 8 ans, le samedi 2 avril 2016 à 20:16
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apocope (clôturé)
il y a 8 ans
Citation de "airderien1"Citation de "apocope"Citation de "airderien1"Citation de "apocope"Citation de "airderien1"tout bon musulman te dira qu'il n'ya qu'un seul islam!!(normal ,puisque proteger par dieu)
aucun n'en saura te dire lequel(meme s'ils sont 1.2 milliard)
C'est donc pire que ce qu'il paraît.
ni pire ni meilleur pour celui qui sait bien regarder
C'est un point de vue, mais il n'est pas partagé
(Tu le constateras, si tu te donnes la peine de lire le résumé de l'article de presse que j'ai posté)
un point de vue non partagé,,,,,,,
comment partage un point de vue non develloper
j'ai lu le document en entier !!
Ah bon! D'après toi, le tableau que brosse cet article n'est pas suffisamment développé...
Voici un complément :
(...) En 2010-11, la Belgique a vécu sans gouvernement pendant près d'un an, et le gouvernement actuel est toujours au bord de la paralysie.
Dans ce contexte, les communautés marocaines, pauvres et francophones, ont été laissées à elles-mêmes, ou plus exactement aux mains des prédicateurs saoudiens auxquels un gouvernement irresponsable a « sous-traité » la tâche d'encadrer cette minorité déclassée et improductive....
L'article au complet :
http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/lysiane-gagnon/201603/24/01-4964267-une-charge-explosive.php
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