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On reproche souvent aux assurés sociaux et aux médecins de creuser le trou de la Sécurité Sociale. |
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Citation de "azalee.zoa"On reproche souvent aux assurés sociaux et aux médecins de creuser le trou de la Sécurité Sociale. |
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Citation de "compote.depomme"Citation de "azalee.zoa"On reproche souvent aux assurés sociaux et aux médecins de creuser le trou de la Sécurité Sociale. Modifié il y a 10 ans, le mardi 24 juin 2014 à 20:36 |
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Dans un autre genre : pour une opéra au bloc, seule solution en l'occurence pour ce que j'avais. Modifié il y a 10 ans, le mardi 24 juin 2014 à 20:38 |
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Mon père très âgé prenait bien ses médicaments jusqu'au jour ou le pharmacien lui a donné des génériques. Il était perdu, ne les reconnaissait plus. Il pensait qu'il n'en avait plus alors il prenait rien. Alerté le médecin a écrit "non substituable" sur l’ordonnance. Mais le pharmacien, qui rappelons-le, a une marge plus grande avec les génériques, continuait. Alors le médecin, avec un sourire, lui a prescrit une infirmière pour lui donner ses médocs 2 fois par jour. payé par la sécu bien sur. |
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Citation de "azalee.zoa"Citation de "sibelius"Dans le département de l'Yonne, un pharmacien a été suspendu car il avait reconditionné des médicaments qui lui avaient été rapportés. |
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Citation de "sibelius"Citation de "azalee.zoa"Citation de "sibelius"Dans le département de l'Yonne, un pharmacien a été suspendu car il avait reconditionné des médicaments qui lui avaient été rapportés. |
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Citation de "compote.depomme"Mon père très âgé prenait bien ses médicaments jusqu'au jour ou le pharmacien lui a donné des génériques. Il était perdu, ne les reconnaissait plus. Il pensait qu'il n'en avait plus alors il prenait rien. Alerté le médecin a écrit "non substituable" sur l’ordonnance. Mais le pharmacien, qui rappelons-le, a une marge plus grande avec les génériques, continuait. Alors le médecin, avec un sourire, lui a prescrit une infirmière pour lui donner ses médocs 2 fois par jour. payé par la sécu bien sur. |
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1977, une bouquin que j'ai parcouru il y a quelques temps, qui décrit bien le mécanisme de cette industrie et le fait qu'elle entretient structurellement un système très coûteux. |
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Citation de "lancelo"1977, une bouquin que j'ai parcouru il y a quelques temps, qui décrit bien le mécanisme de cette industrie et le fait qu'elle entretient structurellement un système très coûteux. |
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C'est vrai, en ce qui concerne les médicaments. Mais la réalité se trouve ailleurs. C'est une question de conditionnement. Imaginons chaque boite munie de x médicament, le coût deviendrai plus élevé. le problème, c'est que les médicaments doivent être conditionnés dans leur emballage d'origine. Donc impossibilité de détail. Un peu comme dans un super marché, les produits sont conditionnés dans des emballages prédéfinis,leurs quantités nous est imposés. A l'exception des fruits et légumes, car eux ne demande pas justement un conditionnement particulier. A l'inverse des médicaments. Et puis effectivement, pour les laboratoires ce serait guère avantageux. Moins d'argents laissé par le patient et coût plus élevé. En ce qui concerne les génériques, guère de différence. Les types souches sont les mêmes et le coût de mise en oeuvre réduit. Pour cela, il faut que les médicaments soient présent depuis un nombre d'année important sur le marché. Et ils concernent que les traitements dits lourds. |