Citation de rienousipeu
Oui, mais ça c'est valable uniquement pour celles qui sont insidieuses ; et "Lycée de Versailles " quand à aussi une frange de la gent masculine.
D'ailleurs, ton smiley fort à propos, ne s'y est pas trompé.
Ah mon presque voisin et probable ami ... ce smiley sarcastique et impertinent n'est il pas au fond un point d'interro-exclamation ? 3 points de suspension verticaux ...
Les seules femmes considérables, parfois aimables quand leurs corps comme leurs esprits n'ont pas été taillés à la serpe, sont celles subtiles ( c'est plus convenable et tout aussi redoutable qu’insidieuses non ? ) ....
Pour les autres. Les demeurées et les simplettes psychorigides à l'éducation bâclée et qui n'ont rien su apprendre de la vie, celles qui confondant faire preuve de caractère et avoir une grande bouche empressée de brailler pour s'exprimer, les mêmes qui s'érigent en bastion imprenable aux murailles de plâtre derrière des assomptions stupides du genre : je suis moi, je suis comme je suis et si tu m'aimes tu ne me changeras pas ...alors qu'aimer c'est justement le contraire, il suffit de relire l'histoire de Pygmalion pour s'en persuader et songer au jardinier qui parce qu'il aime son jardin n'admire pas béatement une friche mais tente d'y faire pousser ses graines ...Pour ces moins que rien dont heureusement il existe le pendant masculin dans des proportions équivalentes ... il y a ça :
On peut donc raisonnablement penser qu'aimer autrui n'est pas tant le considérer comme parfait mais comme potentiellement perfectible par nous ... qu'il ne s'agit pas tant d'admettre ou supporter ses défauts mais de s'y intéresser persuadés que notre amour à défaut de les éroder au moins les tempérera ... Quel plus bel exemple que celui de l'homme en colère dont le simple regard de tristesse ou le soupir de la femme amoureuse parviendra seul à le faire taire ?
Je suis misanthrope et l'admets. Je méprise avec une condescendance odieuse et puante les 9/10èmes de l'humanité. Il faut dire qu'elle me donne peu de raisons de mieux la considérer, à peine la regarder. Pourtant, je n'aurai de cesse, parce qu'au fond je dois bien l'aimer, de semer un scepticisme sain et salutaire au sein des certitudes infondées dans lesquelles elle se plait par facilité à se réfugier...
Adage du jour : L'amour propre comme les pantalons blancs ne le reste jamais longtemps.
re
Modifié il y a 4 ans, le vendredi 28 août 2020 à 11:35
Citation de caracal81
Ah mon presque voisin et probable ami ... ce smiley sarcastique et impertinent n'est il pas au fond un point d'interro-exclamation ? 3 points de suspension verticaux ...
Les seules femmes considérables, parfois aimables quand leurs corps comme leurs esprits n'ont pas été taillés à la serpe, sont celles subtiles ( c'est plus convenable et tout aussi redoutable qu’insidieuses non ? ) ....
Pour les autres. Les demeurées et les simplettes psychorigides à l'éducation bâclée et qui n'ont rien su apprendre de la vie, celles qui confondant faire preuve de caractère et avoir une grande bouche empressée de brailler pour s'exprimer, les mêmes qui s'érigent en bastion imprenable aux murailles de plâtre derrière des assomptions stupides du genre : je suis moi, je suis comme je suis et si tu m'aimes tu ne me changeras pas ...alors qu'aimer c'est justement le contraire, il suffit de relire l'histoire de Pygmalion pour s'en persuader et songer au jardinier qui parce qu'il aime son jardin n'admire pas béatement une friche mais tente d'y faire pousser ses graines ...Pour ces moins que rien dont heureusement il existe le pendant masculin dans des proportions équivalentes ... il y a ça :
On peut donc raisonnablement penser qu'aimer autrui n'est pas tant le considérer comme parfait mais comme potentiellement perfectible par nous ... qu'il ne s'agit pas tant d'admettre ou supporter ses défauts mais de s'y intéresser persuadés que notre amour à défaut de les éroder au moins les tempérera ... Quel plus bel exemple que celui de l'homme en colère dont le simple regard de tristesse ou le soupir de la femme amoureuse parviendra seul à le faire taire ?
Je suis misanthrope et l'admets. Je méprise avec une condescendance odieuse et puante les 9/10èmes de l'humanité. Il faut dire qu'elle me donne peu de raisons de mieux la considérer, à peine la regarder. Pourtant, je n'aurai de cesse, parce qu'au fond je dois bien l'aimer, de semer un scepticisme sain et salutaire au sein des certitudes infondées dans lesquelles elle se plait par facilité à se réfugier...
Adage du jour : L'amour propre comme les pantalons blancs ne le reste jamais longtemps.
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La dernière partie de ta subtile et décoiffante répartie, pourrait bien indiquer néanmoins (néanplus pourrait-on dire) que tu accompagnes ta certitude d'une subtilité consciente.
Ainsi, ne perds-tu pas espoir de rencontrer l'être subtil, une sorte de Graal.
Mais de l'être subtil, il ne faut pas attendre qu'il soit perfectible par nous ; au contraire, on a beaucoup à y gagner dans la composante initiale ou arrêtée de ce que l'on est.
En aparté : Clin d’œil à la manière de Jean GABIN : " T'as une belle écriture, tu sais ! "
Modifié il y a 4 ans, le samedi 19 septembre 2020 à 14:11
Citation de caracal81
Ah mon presque voisin et probable ami ... ce smiley sarcastique et impertinent n'est il pas au fond un point d'interro-exclamation ? 3 points de suspension verticaux ...
Les seules femmes considérables, parfois aimables quand leurs corps comme leurs esprits n'ont pas été taillés à la serpe, sont celles subtiles ( c'est plus convenable et tout aussi redoutable qu’insidieuses non ? ) ....
Pour les autres. Les demeurées et les simplettes psychorigides à l'éducation bâclée et qui n'ont rien su apprendre de la vie, celles qui confondant faire preuve de caractère et avoir une grande bouche empressée de brailler pour s'exprimer, les mêmes qui s'érigent en bastion imprenable aux murailles de plâtre derrière des assomptions stupides du genre : je suis moi, je suis comme je suis et si tu m'aimes tu ne me changeras pas ...alors qu'aimer c'est justement le contraire, il suffit de relire l'histoire de Pygmalion pour s'en persuader et songer au jardinier qui parce qu'il aime son jardin n'admire pas béatement une friche mais tente d'y faire pousser ses graines ...Pour ces moins que rien dont heureusement il existe le pendant masculin dans des proportions équivalentes ... il y a ça :
On peut donc raisonnablement penser qu'aimer autrui n'est pas tant le considérer comme parfait mais comme potentiellement perfectible par nous ... qu'il ne s'agit pas tant d'admettre ou supporter ses défauts mais de s'y intéresser persuadés que notre amour à défaut de les éroder au moins les tempérera ... Quel plus bel exemple que celui de l'homme en colère dont le simple regard de tristesse ou le soupir de la femme amoureuse parviendra seul à le faire taire ?
Je suis misanthrope et l'admets. Je méprise avec une condescendance odieuse et puante les 9/10èmes de l'humanité. Il faut dire qu'elle me donne peu de raisons de mieux la considérer, à peine la regarder. Pourtant, je n'aurai de cesse, parce qu'au fond je dois bien l'aimer, de semer un scepticisme sain et salutaire au sein des certitudes infondées dans lesquelles elle se plait par facilité à se réfugier...
Adage du jour : L'amour propre comme les pantalons blancs ne le reste jamais longtemps.
re
Adage du jour : L'amour propre comme les pantalons blancs ne le reste jamais longtemps.
Excellent.
Je viens, d'ailleurs, de teinter mes masques en tissu ainsi que mes slips en noir.
Citation de caracal81
Ah mon presque voisin et probable ami ... ce smiley sarcastique et impertinent n'est il pas au fond un point d'interro-exclamation ? 3 points de suspension verticaux ...
Les seules femmes considérables, parfois aimables quand leurs corps comme leurs esprits n'ont pas été taillés à la serpe, sont celles subtiles ( c'est plus convenable et tout aussi redoutable qu’insidieuses non ? ) ....
Pour les autres. Les demeurées et les simplettes psychorigides à l'éducation bâclée et qui n'ont rien su apprendre de la vie, celles qui confondant faire preuve de caractère et avoir une grande bouche empressée de brailler pour s'exprimer, les mêmes qui s'érigent en bastion imprenable aux murailles de plâtre derrière des assomptions stupides du genre : je suis moi, je suis comme je suis et si tu m'aimes tu ne me changeras pas ...alors qu'aimer c'est justement le contraire, il suffit de relire l'histoire de Pygmalion pour s'en persuader et songer au jardinier qui parce qu'il aime son jardin n'admire pas béatement une friche mais tente d'y faire pousser ses graines ...Pour ces moins que rien dont heureusement il existe le pendant masculin dans des proportions équivalentes ... il y a ça :
On peut donc raisonnablement penser qu'aimer autrui n'est pas tant le considérer comme parfait mais comme potentiellement perfectible par nous ... qu'il ne s'agit pas tant d'admettre ou supporter ses défauts mais de s'y intéresser persuadés que notre amour à défaut de les éroder au moins les tempérera ... Quel plus bel exemple que celui de l'homme en colère dont le simple regard de tristesse ou le soupir de la femme amoureuse parviendra seul à le faire taire ?
Je suis misanthrope et l'admets. Je méprise avec une condescendance odieuse et puante les 9/10èmes de l'humanité. Il faut dire qu'elle me donne peu de raisons de mieux la considérer, à peine la regarder. Pourtant, je n'aurai de cesse, parce qu'au fond je dois bien l'aimer, de semer un scepticisme sain et salutaire au sein des certitudes infondées dans lesquelles elle se plait par facilité à se réfugier...
Adage du jour : L'amour propre comme les pantalons blancs ne le reste jamais longtemps.
re
"Je méprise avec une condescendance odieuse et puante les 9/10èmes de l'humanité. "
Un accord parfait avec Dame Iseult, Arthur...
Si je peux me permettre...
"je n'aurai de cesse, parce qu'au fond je dois bien l'aimer, de semer un scepticisme sain et salutaire au sein des certitudes infondées"
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