Certains de ces films magnifiques ont été tournés avec des moyens similaires à des productions plus conventionnelles. Ce sont des longs métrages mettant le plus souvent en scènes des actrices et des acteurs sachant jouer la comédie. Les décors sont soignés. Les extérieurs superbement mis en images. Il y a un soin tout particulier apporté aux scénarios.
Les acteurs sont déjà bien body-buildés dès 1973. Certes, les ports de la moustache et des chaussettes restent une amusante constante récurrente. Les actrices sont toutes aussi sublimes les unes que les autres. En ces lointaines et glorieuses années, les filles n'étaient pas encore victimes du crétinisme hérétique de l'épilation. Elles étaient "nature".
Nous pouvons admirer ces merveilleuses toisons pubiennes magnifiquement exposées. La plupart de ces comédiennes portaient même de la toison fournie sous les aisselles. Les connasses épilées d'aujourd'hui n'imaginent pas un seul instant l'effet aphrodisiaque que ces poils exercent sur l'immense majorité des hommes normalement constitués !
Ce qui est époustouflant ce sont les "plans" caméras. La plupart saisissent sur le vif des rapports sexuels sans retenues. On voit de belles queues pénétrer de belles chattes dans de somptueux intérieurs. En ces lointaines années, les orgasmes étaient encore authentiques. Les actrices et les acteurs tournaient encore par amour du cul, dans la joie.
L'argent n'était pas encore le moteur motivant les carrières et productions actuelles. Certes, l'argent roi a toujours été la principale motivation. Mais à l'époque elle concernait d'abord les producteurs. Les acteurs s'éclataient dans des éclaboussures de cyprine, de sperme, de liquide séminal et de pipi. Le jus de couilles mélangé au jus de cramouille.
Les giclées de foutre sont souvent aussi étonnantes que passionnantes. Le joli minois des actrices, maculés de sperme, parfois mélangé à de la pisse, est mis en valeur par des éclairages évocateurs et terriblement suggestifs. Le caméraman est un virtuose. Le preneur de son est un mélomane, la maquilleuse est une véritable esthéticienne.
Les actrices qui se masturbent en pissant, savent viser. Pas une goutte sur l'objectif de la caméra. Elle jouissent en poussant de petits cris affolants sans faire saturer les micros. Pourtant, en ces lointaines époques, elles étaient "amatrices". Le concept de "professionnelles" n'existait pas encore. Ce qui rajoute encore à l'authenticité de leurs jeux.
Les acteurs se masturbent en étant de véritables "tireurs d'élites". Les bouches des filles sont correctement rempli. Juste la petite coulure de sperme épais, gluant et visqueux qui perle sur le menton de l'actrice avide de foutre et gourmande de jute. Nous assistons la plupart du temps, dans des films, à des prestations de très haute qualité.
Les scènes de partouzes de l'époque ne ressemblent en rien à celles d'aujourd'hui. En admirant les orgies de ces vieux films, nous n'avons pas cette détestable impression d'être devant le rayon charcuterie du supermarché. Non, c'est l'esthétisme à tous les niveaux. Ça s'enfile, ça se lèche, ça se suce, ça s'avale, ça se déglutit, ça se pisse dessus dans le plus parfait académisme. On serait à en déplorer le trop grand classicisme.
Je ne saurais trop recommander certains sites qui se sont spécialisés dans le vintage porno. C'est le plus souvent gratuit. Ce qui permet de passer de bons moments de cinéma en grignotant des chips, en buvant une bonne bière. Personnellement avec ma compagne, nous alternons. Elle me suce une demi-heure, je la lèche une demi-heure. Ce qui nous permet de découvrir ces anciens chef-d'œuvres avec un plaisir, et surtout un bonheur encore décuplés.
Je recomande la cinéphile en couple. A trois c'est très agréable également...
Maître Robert - (Hédoniste mondain)