Citation de lindien39
Coucou Liz
Il me rappelle ce vieil alcoolique dans mon village , il se tenait devant chez lui et insultait tous les gens qui passaient et surtout les femmes.
Bien sûr tout le monde essayait de l'éviter quit a faire un grand détour.
Un jour après une nième insulte , des passants l'ont retrouvé raide mort dans le caniveau . Pathétique.
Belle journée à toi
Bonsoir Lindien,
laisse tomber..
c'est un malade ...
Tiens toi bien :
il est l'inventeur de son pseudo ..
alors que c'est le titre d'un film...
sur un mec à la masse ....
(va voir sur mon topic
à quel point il est fou )
tous les arthur
de tous les sites,
c'est lui ....
il est propriétaire d'une façon d'écrire sur le net,
des points de suspension ..........................
Coucou Liz
On est complètement d'accord . Ça ne sert absolument à rien de lui répondre tout comme ça ne servait à rien d' essayer de discuter avec le vieil alcoolique dont je te parlais.
Je me pose juste une question, faut il avoir de la compassion pour des personnes malades comme ça ? Tout en restant éloigné d'eux bien sûr pour ne pas en souffrir.
Au passage , toute mon admiration au personnel soignant des hôpitaux psychiatriques, il faut vraiment avoir un mental hors du commun pour pouvoir travailler là dedans .
Si il y a des malades non violents mais seulement perdus dans leur vie , il y a aussi des malades extrêmement violents verbalement ( ici on en a un spécimen ) ou physiquement.
Garder tout de même un bon équilibre mental dans ces conditions ne doit pas être simple .
Bise
Citation de lindien39
Coucou Liz
On est complètement d'accord . Ça ne sert absolument à rien de lui répondre tout comme ça ne servait à rien d' essayer de discuter avec le vieil alcoolique dont je te parlais.
Je me pose juste une question, faut il avoir de la compassion pour des personnes malades comme ça ? Tout en restant éloigné d'eux bien sûr pour ne pas en souffrir.
Au passage , toute mon admiration au personnel soignant des hôpitaux psychiatriques, il faut vraiment avoir un mental hors du commun pour pouvoir travailler là dedans .
Si il y a des malades non violents mais seulement perdus dans leur vie , il y a aussi des malades extrêmement violents verbalement ( ici on en a un spécimen ) ou physiquement.
Garder tout de même un bon équilibre mental dans ces conditions ne doit pas être simple .
Bise
ouvre un topic...
"tête d’œuf"...
c'était déjà ...
ton totem "indien"...
chez les scouts..
dans ton village à la con...?
mdr...
Modifié il y a 5 mois, le samedi 8 juin 2024 à 13:50
C’est partout le bruit des bottes
C’est partout l’ordre en kaki
En Espagne on vous garotte
On vous étripe au Chili
On a beau me dire qu’en France
On peut dormir à l’abri
Des Pinochet en puissance
Travaillent aussi du képi
Quand un Pinochet rapplique
C’est toujours en général
Pour sauver la République
Pour sauver l’Ordre moral
On sait comment ils opèrent
Pour transformer les esprits
Les citoyens bien pépères
En citoyens vert-de-gris
A coup d’interrogatoires
De carotte et de bâton
De plongeon dans la baignoire
De gégène et de tison
Il se peut qu’on vous disloque
Ou qu’on vous passe à tabac
Qu’on vous suicide en lousdoc
Au fond d’un commissariat
Il se peut qu’on me fusille
Pour avoir donné du feu
Pour avoir joué aux billes
Avec un petit hébreu
On va t’écraser punaise
Pour avoir donné du pain
Pour avoir donné du pèze
Au petit nord-africain
Il se pourrait qu’on m’accuse
Avec un petit gourdin
D’avoir étudié Marcuse
D’avoir été sartrien
Ils auront des électrodes
Ils diront tu veux du jus
Pour connaître la période
Où j’étais au P.S.U.
A moins qu’ils me ratatinent
Pour mon immoralité
Pour avoir baisé Delphine
Pour avoir été pédé
A moins qu’ils ne me condamnent
A mourir écartelé
Entre l’amour de Roxane
Et celui du beau Dédé
Il se peut qu’on me douillette
Pour que je veuille attester
Qu’en mil neuf cent soixante-sept
Je lisais l’Humanité
Il se peut qu’on me tourmente
Et qu’on me fasse avouer
Que dans les années soixante
J’étais à la C.G.T.
A moins qu’ils me guillotinent
Pour avoir osé chanter
Les marins du Potemkine
Et les camps de déportés
A moins qu’avec un hachoir
Ils me coupent les dix doigts
Pour m’apprendre la guitare
Comme ils ont fait à Jara
C’est partout le bruit des bottes
C’est partout l’ordre en kaki
En Espagne on vous garotte
On vous étripe au Chili
Il ne faut plus dire qu’en France
On peut dormir à l’abri
Des Pinochet en puissance
Travaillent aussi du képi
Travaillent aussi du képi
Le bruit des bottes
Chanson de
Yann Perreau
Ne les entends-tu pas
Bruyantes comme le tonnerre
Marcher au pas de l'oie
Écraser les frontières
Et défoncer les portes
De leurs semelles cloutées
Prétextant la défense
Des droits et libertés
N'entends-tu pas
Le vent qui porte
Le bruit des bottes
Elles sont là des millions
Qui n'attendent qu'à résonner
Reste qu'à trouver les pieds
Qui voudront les chausser
La haine est partout
Alors ils font la queue
Pour un peu de pouvoir
Et une paire bien à eux
N'entends-tu pas
Le vent qui porte
Le bruit des bottes