cyril31100

A propos du beau..

il y a 9 ans
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cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Mots du coeur

Si le coeur ne s attache qu à la beauté
je me ferais ingrat pour ne pas être aimé
j entretiendrais ma laideur
en tout point avec rigueur
attendre ces rides sur mon front
savourer ces traces que les années font
je cultiverais avec délectation
tout ces outrages et ces affronts
et si le temps n' a pas effacé
ces traits tu pourrais les aimer

Cyril

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mislead (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "cyril31100"Mots du coeur

Si le coeur ne s attache qu à la beauté
je me ferais ingrat pour ne pas être aimé
j entretiendrais ma laideur
en tout point avec rigueur
attendre ces rides sur mon front
savourer ces traces que les années font
je cultiverais avec délectation
tout ces outrages et ces affronts
et si le temps n' a pas effacé
ces traits tu pourrais les aimer

Cyril


jolies pensées :O)

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mislead (clôturé) il y a 9 ans

De ce sanctuaire qui nous a lové dans ce qui peut être doux comme une ivresse
Quand nos parfums se sont mêlés dans cette danse sous l’abondance de nos bouches gémissantes
Une union sans détour sur l’apprentissage et la complicité des prémices en promesse,
Retentis de ton corps cambré sous les sillons du plaisir désiré de nos âmes caressantes...
d une inconnue ;-) (f)

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mislead (clôturé) il y a 9 ans

:-)
J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu.
Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ;
Ton nom m’en avertit par un trouble imprévu,
Ton âme s’y cachait pour éveiller la mienne.
Je l’entendis un jour, et je perdis la voix ;
Je l’écoutai longtemps, j’oubliai de répondre.
Mon être avec le tien venait de se confondre,
Je crus qu’on m’appelait pour la première fois.

Savais-tu ce prodige ? Eh bien, sans te connaître,
J’ai deviné par lui mon amant et mon maître ;
Et je le reconnus dans tes premiers accents,
Quand tu vins éclairer mes beaux jours languissants.
Ta voix me fit pâlir, et mes yeux se baissèrent ;
Dans un regard muet nos âmes s’embrassèrent ;
Au fond de ce regard ton nom se révéla,
Et sans le demander j’avais dit : Le voilà !

Dès lors il ressaisit mon oreille étonnée ;
Elle y devint soumise, elle y fut enchaînée.
Comme un timbre vivant, l’écho du souvenir
Appelait par ton nom l’écho de l’avenir.
Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes,
Et je le relisais, et je versais des larmes.
D’un éloge enchanteur toujours environné,
À mes yeux éblouis il s’offrait couronné.
Je l’écrivais… bientôt je n’osai plus l’écrire,
Et mon timide amour le changeait en sourire.
Il me cherchait la nuit, il berçait mon sommeil ;
Il résonnait encore autour de mon réveil ;
Il errait dans mon souffle, et lorsque je soupire
C’est lui qui me caresse et que mon cœur respire.

Nom chéri ! nom charmant ! oracle de mon sort !
Hélas ! que tu me plais, que ta grâce me touche !
Tu m’annonças la vie, et, mêlé dans la mort,
Comme un dernier baiser tu fermeras ma bouche.


Message de déclaration d'amour de Marceline Desbordes-Valmore — Élégie : « J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu »

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cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "mislead":-)
J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu.
Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ;
Ton nom m’en avertit par un trouble imprévu,
Ton âme s’y cachait pour éveiller la mienne.
Je l’entendis un jour, et je perdis la voix ;
Je l’écoutai longtemps, j’oubliai de répondre.
Mon être avec le tien venait de se confondre,
Je crus qu’on m’appelait pour la première fois.

Savais-tu ce prodige ? Eh bien, sans te connaître,
J’ai deviné par lui mon amant et mon maître ;
Et je le reconnus dans tes premiers accents,
Quand tu vins éclairer mes beaux jours languissants.
Ta voix me fit pâlir, et mes yeux se baissèrent ;
Dans un regard muet nos âmes s’embrassèrent ;
Au fond de ce regard ton nom se révéla,
Et sans le demander j’avais dit : Le voilà !

Dès lors il ressaisit mon oreille étonnée ;
Elle y devint soumise, elle y fut enchaînée.
Comme un timbre vivant, l’écho du souvenir
Appelait par ton nom l’écho de l’avenir.
Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes,
Et je le relisais, et je versais des larmes.
D’un éloge enchanteur toujours environné,
À mes yeux éblouis il s’offrait couronné.
Je l’écrivais… bientôt je n’osai plus l’écrire,
Et mon timide amour le changeait en sourire.
Il me cherchait la nuit, il berçait mon sommeil ;
Il résonnait encore autour de mon réveil ;
Il errait dans mon souffle, et lorsque je soupire
C’est lui qui me caresse et que mon cœur respire.

Nom chéri ! nom charmant ! oracle de mon sort !
Hélas ! que tu me plais, que ta grâce me touche !
Tu m’annonças la vie, et, mêlé dans la mort,
Comme un dernier baiser tu fermeras ma bouche.


Message de déclaration d'amour de Marceline Desbordes-Valmore — Élégie : « J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu »


Une façon de dire que qq fois il n'y a pas de hasard mais des rendez-vous

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mislead (clôturé) il y a 9 ans

divin...destin ;-) (f)

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 9 ans

Elle m'offrait la cerise à sa bouche ; et ma bouche riait, et venait s'y poser.
Citation de Victor Hugo ; Les Contemplations, VII, Nous allions au verger - Juillet 1843. :-)

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cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "mislead"divin...destin ;-) (f)

Destinée,
On était tous les deux destinés
À voir nos chemins se rencontrer
À s'aimer sans demander pourquoi
Toi et moi

Destinée,
Inutile de fuir ou de lutter
C'est écrit dans notre destinée
Tu ne pourras pas y échapper
C'est gravé

(Refrain)
L'avenir,
Malgré nous, doit toujours devenir
Tous nos désirs d'amour inespérés, imaginés, inavoués
Dans la vie,
Aucun jour n'est pareil, tu t'ennuies
Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément

Destinée,
Depuis longtemps j'avais deviné
Qu'à toi l'amour allait m'enchaîner
Quand je rencontrerais quelque part,
Ton regard,

Destinée,
Où es-tu toi qui m'est destinée
Si jamais vous vous reconnaissez
Je voudrais vous entendre crier
M'appeler

(Refrain)

Destinée,
Encore une fois le cœur déchiré
Je suis un clown démaquillé
Le grand rideau viens de se baisser
Sur l'été

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 9 ans

Merci Cyril pour ces jolis mots, belle soirée a vous :-)

Certains soirs il y a dans tes yeux des éclats de rire où la nuit se dissipe et fait croire aux matins.
Citation de Jacques Salomé ; Bonjour tendresse (1992)

Modifié il y a 9 ans, le mardi 13 octobre 2015 à 19:05

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cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "mislead"Merci Cyril pour ses jolis mots, belle soirée a vous :-)

Certains soirs il y a dans tes yeux des éclats de rire où la nuit se dissipe et fait croire aux matins.
Citation de Jacques Salomé ; Bonjour tendresse (1992)


Merci à toi ou plutôt merci à nous
Bonne soirée à....... TOI.....sourire amusé

Photo de cyril31100
cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "actif11"https://www.facebook.com/Sous-le-regard-de-Plume-bleue-427153020708523/timeline/[/quote]

En effet joli profil que plume bleue

Photo de mislead
mislead (clôturé) il y a 9 ans

Une poésie Congolaise, une curiosité, j ai aimé :-) (f)

"Mbu Mputu" Lueurs mélancoliques

Il a fini par ne plus être monde
Le monde de notre monde.
Il a perdu sa rondeur
Un monde où il n' est plus possible
De se mettre debout
Car tout ne repose plus que
Sur rien
Et n'est plus bon
Que pour un rondeau
Qu' est-il devenu
Un peu rondelet
Et on s'en sert comme rondin
Et ces temps?
Ils sont très mauvais
Et ces jours?
Ils sont sens dessus
Dessous.

Photo de viviedu60
viviedu60 (clôturé) il y a 9 ans

quand on donne de soi,
on ne perd jamais....
faire des choses entièrement et avec le cœur,
c est déjà une victoire contre ceux qui font semblant

Photo de cyril31100
cyril31100 (clôturé) il y a 9 ans

Citation de "mislead"Une poésie Congolaise, une curiosité, j ai aimé :-) (f)

"Mbu Mputu" Lueurs mélancoliques

Il a fini par ne plus être monde
Le monde de notre monde.
Il a perdu sa rondeur
Un monde où il n' est plus possible
De se mettre debout
Car tout ne repose plus que
Sur rien
Et n'est plus bon
Que pour un rondeau
Qu' est-il devenu
Un peu rondelet
Et on s'en sert comme rondin
Et ces temps?
Ils sont très mauvais
Et ces jours?
Ils sont sens dessus
Dessous.


Il y a LE monde et LES mondes, dans les mondes il y a le notre (chacun le sien) et ces modes là tournent à notre façon. A chacun de l' améliorer


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