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cyril31100 (clôturé)
il y a 9 ans
Mots du coeur Si le coeur ne s attache qu à la beauté je me ferais ingrat pour ne pas être aimé j entretiendrais ma laideur en tout point avec rigueur attendre ces rides sur mon front savourer ces traces que les années font je cultiverais avec délectation tout ces outrages et ces affronts et si le temps n' a pas effacé ces traits tu pourrais les aimer Cyril
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "cyril31100"Mots du coeur Si le coeur ne s attache qu à la beauté je me ferais ingrat pour ne pas être aimé j entretiendrais ma laideur en tout point avec rigueur attendre ces rides sur mon front savourer ces traces que les années font je cultiverais avec délectation tout ces outrages et ces affronts et si le temps n' a pas effacé ces traits tu pourrais les aimer Cyril jolies pensées
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
De ce sanctuaire qui nous a lové dans ce qui peut être doux comme une ivresse Quand nos parfums se sont mêlés dans cette danse sous l’abondance de nos bouches gémissantes Une union sans détour sur l’apprentissage et la complicité des prémices en promesse, Retentis de ton corps cambré sous les sillons du plaisir désiré de nos âmes caressantes... d une inconnue
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu. Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ; Ton nom m’en avertit par un trouble imprévu, Ton âme s’y cachait pour éveiller la mienne. Je l’entendis un jour, et je perdis la voix ; Je l’écoutai longtemps, j’oubliai de répondre. Mon être avec le tien venait de se confondre, Je crus qu’on m’appelait pour la première fois. Savais-tu ce prodige ? Eh bien, sans te connaître, J’ai deviné par lui mon amant et mon maître ; Et je le reconnus dans tes premiers accents, Quand tu vins éclairer mes beaux jours languissants. Ta voix me fit pâlir, et mes yeux se baissèrent ; Dans un regard muet nos âmes s’embrassèrent ; Au fond de ce regard ton nom se révéla, Et sans le demander j’avais dit : Le voilà ! Dès lors il ressaisit mon oreille étonnée ; Elle y devint soumise, elle y fut enchaînée. Comme un timbre vivant, l’écho du souvenir Appelait par ton nom l’écho de l’avenir. Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes, Et je le relisais, et je versais des larmes. D’un éloge enchanteur toujours environné, À mes yeux éblouis il s’offrait couronné. Je l’écrivais… bientôt je n&rsquoai plus l’écrire, Et mon timide amour le changeait en sourire. Il me cherchait la nuit, il berçait mon sommeil ; Il résonnait encore autour de mon réveil ; Il errait dans mon souffle, et lorsque je soupire C’est lui qui me caresse et que mon cœur respire. Nom chéri ! nom charmant ! oracle de mon sort ! Hélas ! que tu me plais, que ta grâce me touche ! Tu m’annonças la vie, et, mêlé dans la mort, Comme un dernier baiser tu fermeras ma bouche. Message de déclaration d'amour de Marceline Desbordes-Valmore — Élégie : « J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu »
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cyril31100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "mislead" J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu. Ma vie, en se formant, fut promise à la tienne ; Ton nom m’en avertit par un trouble imprévu, Ton âme s’y cachait pour éveiller la mienne. Je l’entendis un jour, et je perdis la voix ; Je l’écoutai longtemps, j’oubliai de répondre. Mon être avec le tien venait de se confondre, Je crus qu’on m’appelait pour la première fois. Savais-tu ce prodige ? Eh bien, sans te connaître, J’ai deviné par lui mon amant et mon maître ; Et je le reconnus dans tes premiers accents, Quand tu vins éclairer mes beaux jours languissants. Ta voix me fit pâlir, et mes yeux se baissèrent ; Dans un regard muet nos âmes s’embrassèrent ; Au fond de ce regard ton nom se révéla, Et sans le demander j’avais dit : Le voilà ! Dès lors il ressaisit mon oreille étonnée ; Elle y devint soumise, elle y fut enchaînée. Comme un timbre vivant, l’écho du souvenir Appelait par ton nom l’écho de l’avenir. Je le lisais partout, ce nom rempli de charmes, Et je le relisais, et je versais des larmes. D’un éloge enchanteur toujours environné, À mes yeux éblouis il s’offrait couronné. Je l’écrivais… bientôt je n&rsquoai plus l’écrire, Et mon timide amour le changeait en sourire. Il me cherchait la nuit, il berçait mon sommeil ; Il résonnait encore autour de mon réveil ; Il errait dans mon souffle, et lorsque je soupire C’est lui qui me caresse et que mon cœur respire. Nom chéri ! nom charmant ! oracle de mon sort ! Hélas ! que tu me plais, que ta grâce me touche ! Tu m’annonças la vie, et, mêlé dans la mort, Comme un dernier baiser tu fermeras ma bouche. Message de déclaration d'amour de Marceline Desbordes-Valmore — Élégie : « J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu » Une façon de dire que qq fois il n'y a pas de hasard mais des rendez-vous
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
divin...destin
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
Elle m'offrait la cerise à sa bouche ; et ma bouche riait, et venait s'y poser. Citation de Victor Hugo ; Les Contemplations, VII, Nous allions au verger - Juillet 1843.
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cyril31100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "mislead"divin...destin Destinée, On était tous les deux destinés À voir nos chemins se rencontrer À s'aimer sans demander pourquoi Toi et moi Destinée, Inutile de fuir ou de lutter C'est écrit dans notre destinée Tu ne pourras pas y échapper C'est gravé (Refrain) L'avenir, Malgré nous, doit toujours devenir Tous nos désirs d'amour inespérés, imaginés, inavoués Dans la vie, Aucun jour n'est pareil, tu t'ennuies Tu attends le soleil impatiemment, éperdument, passionnément Destinée, Depuis longtemps j'avais deviné Qu'à toi l'amour allait m'enchaîner Quand je rencontrerais quelque part, Ton regard, Destinée, Où es-tu toi qui m'est destinée Si jamais vous vous reconnaissez Je voudrais vous entendre crier M'appeler (Refrain) Destinée, Encore une fois le cœur déchiré Je suis un clown démaquillé Le grand rideau viens de se baisser Sur l'été
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
Merci Cyril pour ces jolis mots, belle soirée a vous Certains soirs il y a dans tes yeux des éclats de rire où la nuit se dissipe et fait croire aux matins. Citation de Jacques Salomé ; Bonjour tendresse (1992)
Modifié il y a 9 ans, le mardi 13 octobre 2015 à 19:05
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cyril31100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "mislead"Merci Cyril pour ses jolis mots, belle soirée a vous Certains soirs il y a dans tes yeux des éclats de rire où la nuit se dissipe et fait croire aux matins. Citation de Jacques Salomé ; Bonjour tendresse (1992) Merci à toi ou plutôt merci à nous Bonne soirée à....... TOI.....sourire amusé
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mislead (clôturé)
il y a 9 ans
Une poésie Congolaise, une curiosité, j ai aimé "Mbu Mputu" Lueurs mélancoliques Il a fini par ne plus être monde Le monde de notre monde. Il a perdu sa rondeur Un monde où il n' est plus possible De se mettre debout Car tout ne repose plus que Sur rien Et n'est plus bon Que pour un rondeau Qu' est-il devenu Un peu rondelet Et on s'en sert comme rondin Et ces temps? Ils sont très mauvais Et ces jours? Ils sont sens dessus Dessous.
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viviedu60 (clôturé)
il y a 9 ans
quand on donne de soi, on ne perd jamais.... faire des choses entièrement et avec le cœur, c est déjà une victoire contre ceux qui font semblant
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cyril31100 (clôturé)
il y a 9 ans
Citation de "mislead"Une poésie Congolaise, une curiosité, j ai aimé "Mbu Mputu" Lueurs mélancoliques Il a fini par ne plus être monde Le monde de notre monde. Il a perdu sa rondeur Un monde où il n' est plus possible De se mettre debout Car tout ne repose plus que Sur rien Et n'est plus bon Que pour un rondeau Qu' est-il devenu Un peu rondelet Et on s'en sert comme rondin Et ces temps? Ils sont très mauvais Et ces jours? Ils sont sens dessus Dessous. Il y a LE monde et LES mondes, dans les mondes il y a le notre (chacun le sien) et ces modes là tournent à notre façon. A chacun de l' améliorer
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