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Citation de corinale
A bien renifler, il y a même une puanteur façon Côte d'Ivoire...
oui...renifler...
c'est ça ton style ...
c'est qui la bête...?
c'est qui que tu veux réifier..?
pour te sentir humain..?
tu perds ton temps...
dans le fond...
es tu deja allé au Mali..?
ils ont, là, bas..
plus d'humanité dans un cheveux...
que toi pétasse ...
dans toute ta suffisance...
et ta crasse ignorance rance...
et inculte..
mon p'tit robert...t'es plus con qu'un balai...
et plus laid qu'un poux....
et ça tu le sais....
pfft....!
Modifié il y a 6 ans, le mercredi 27 décembre 2017 à 00:19
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Citation de loreen78
l'union fait la force, non?
si les français étaient plus unis au lieu du chacun-pour-soi qui règne, on n'en serait peut-être pas là...
S'agit de savoir de quelle force.
Encore un lieu commun que le groupe, la foule, a sous l’escarcelle de sa bonne conscience, ne voyant pas toujours et par exemple que son histoire est jonchée de renversements entre les opprimés d’hier qui devinrent les oppresseurs de plus tard.
La foule, initialement rebelle d’une cause légitime par l’à propos justifiable de ses belles individualités passagères, est prise ensuite et trop souvent par l’ivresse de son nombre quand ce ne l’est pas du verre que lui fera boire un jour prochain ceux ayant décidé de s’en proclamer les chefs.
Je me suis, aussi loin que je remonte à mon enfance, toujours méfié de cette hydre, ne l’ayant jamais longtemps vu sous un " jour " d’apparence plus seyante.
La foule de la pensée commune et consensuelle établie est la pire.
Insidieusement et sans toujours qu’elle s’en aperçoive, elle aboutit à la censure, à ce qu’elle croit recevable une certaine légitimité de la censure ; et qu’évoquait par exemple dans son sujet, Duschnock, il y a peu.
Modifié il y a 6 ans, le mardi 26 décembre 2017 à 22:59
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loreen78 (clôturé)
il y a 6 ans
Citation de rienousipeu
S'agit de savoir de quelle force.
Encore un lieu commun que le groupe, la foule, a sous l’escarcelle de sa bonne conscience, ne voyant pas toujours et par exemple que son histoire est jonchée de renversements entre les opprimés d’hier qui devinrent les oppresseurs de plus tard.
La foule, initialement rebelle d’une cause légitime par l’à propos justifiable de ses belles individualités passagères, est prise ensuite et trop souvent par l’ivresse de son nombre quand ce ne l’est pas du verre que lui fera boire un jour prochain ceux ayant décidé de s’en proclamer les chefs.
Je me suis, aussi loin que je remonte à mon enfance, toujours méfié de cette hydre, ne l’ayant jamais longtemps vu sous un " jour " d’apparence plus seyante.
La foule de la pensée commune et consensuelle établie est la pire.
Insidieusement et sans toujours qu’elle s’en aperçoive, elle aboutit à la censure, à ce qu’elle croit recevable une certaine légitimité de la censure ; et qu’évoquait par exemple dans son sujet, Duschnock, il y a peu.
donc, la révolution française, la résistance, les alliés, mai 68, le mouvement hippie, etc... non?
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Citation de loreen78
donc, la révolution française, la résistance, les alliés, mai 68, le mouvement hippie, etc... non?
chacun voit ...
"le monde"...
le plus souvent comme il se voit lui même...
dans sa glace...
c'est ..un peu...
pendre la température du monde dans son cul...
tu vois une autre explication..?
Modifié il y a 6 ans, le mercredi 27 décembre 2017 à 00:24
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Les deux, là, s’étant commis à ne même pas lire un écrit dans le fond de ce qu’il voulait signifier, se gargarisent : pour l’une, de lieux communs d’un si facile d’à propos mais dont il lui échappe que pour un certain y avancé, par exemple elle ferait bien de se souvenir des exactions en terre de Vendée ; et, pour son suiveur, en seule guise de répartie, se commet-il de son presque habituel tissu larvaire de mots décousus, se pensant subtil alors qu’il n’offre à lire que son pitoyable tour de tête qui en deviendrait presque un tour de con et si gros qu’un miroir ne pourrait même en contenir l’image, au point qu’il tente si souvent (comme vu par ailleurs) de le confier à d’autres.
Reprenons :
Même si la foule, se commet parfois en des soubresauts légitimes, elle finit très souvent une fois atteint le but - ou tout au moins celui-ci en partie - par s’altérer pour aboutir à ce bruissement collectif sans passions réelles, sans remises en question, sans âmes, juste le perpétuel contentement consensuel d’elle-même.
Ainsi, le génie de la foule (cf :Bukowski) ce pourrait-il être aussi ce paradoxe qui voit trop souvent l’œuvre espérée du nombre finir dans la médiocrité quand ce n’est pas dans l’abime, avec une force tout autant égale que ce qui aura fait naître son rassemblement.
Rien n’est plus cruel que la foule…même vis-à-vis de son œuvre - de l’initial de son œuvre - qu’elle altère par la suite et sans qu’elle s’en aperçoive.
La foule, c’est la bête en marche de sa geste, de son esprit, rendue d’autant plus aveugle et ivre qu’elle est noyée de son nombre, dévalant la pente abrupte de ses désirs, chevauchant les paysages des individualités qu’elle piétine ; au plus fort de son nombre, gommant tout sur son passage, jusqu’à la moindre aspérité contraire à sa pensée.
Souvent plus qu’un chef qui la dirige, la foule est gouvernée par sa propre imposture car bien qu’elle s’en défende, ses buts inavoués ne sont jamais totalement innocents.
La foule c’est comme un pays indéterminé géographiquement qui se fabriquerait un patriotisme de circonstance, posant à l’entour les barrières de la frontière qui la sépare de tout ce qui lui est étranger.
Aucun regroupement d’humains se pensant unis pour une même cause n’aboutira durablement sur un meilleur plus tard.
Parce que l’humain donne l’impression de ne pas avoir encore compris qu’il est un paradoxe entre son égo et son vouloir vivre ensemble.
L’histoire, son histoire, toute son histoire dans l’entièreté de ce qu’elle est, est pourtant là pour le lui rappeler.
Et puis, que je m’ennuie de vos verbes, d’avec lesquels ne se mettant jamais trop en danger de leur dire par cette embourgeoisement de circonstance rassurante, il m’est impossible émotionnellement quand ce ne le serait intellectuellement, d’en bander.
Vous êtes à la turgescente curiosité de mon oreille, de mon écoute de ce qui aurait pu être surprenant chez l’autre, comme une "débandaison" ultime et assassine.
Dormez bien, braves gens, dans le confortable de vos habitudes si viles hissées !
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